-44% Le deal à ne pas rater Samsung Galaxy M33 5G 6GB Ram 128 Go 5000 mAh Dual Sim € € Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives CorbeillePartagez Aller à la page 1, 2AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Dim 7 Mar - 2335 Mais qu’était-elle en train de faire ? Tout se passait à merveille, il était gentil, drôle et ils passaient une agréable soirée. Mais non c’était beaucoup trop pour elle, il fallait qu’elle flippe et aille s’enfermer dans les toilettes. Pathétique ! Elle n’allait quand même pas tout gâcher ? Elle désirée tout sauf blesser Aaron mais elle était incapable de sortir de là , son cœur battant beaucoup trop fort et ses mains tremblant sous la pression. Elle semblait prête à s’évanouir d’une minute à l’autre et avait du mal à respiré. Elle était totalement angoissé et sa soudaine fragilité la conforté dans l’idée que rejoindre le jeune homme maintenant aurait était une mauvaise idée. Elle tourna en rond dans la minuscule pièce, pensant un instant s’enfuir par la fenêtre mais elle avait des barreaux et l’appartement n’était pas au premier étage. Qu’allait-elle faire ? Elle voulait partir d’ici au plus vite et faire en sorte qu’Aaron ne se rende pas compte pas de son émoi mais elle n’avait aucune issue de sortie. Pourquoi fallait-il qu’elle soit aussi émotive tout à coup ? Elle savait bien que venir ici était une mauvaise idée…Allez Casey du calme. Relax. Il ne c’était rien passé alors aucune raison de flipper… Elle avait beau se dire cela mais plus les secondes passaient plus elle se sentait prisonnière, se disant qu’Aaron allait la prendre pour la fille la plus étrange et compliqué qu’il soit. Le pauvre ne devait sûrement rien comprendre de son comportement et elle s’en voulait de l’avoir lâchement abandonner a table. Pourquoi avait-il fallût qu’elle se lève…Elle entendu alors de l’agitation dans la salle à manger et le stress l’envahit d’avantage. S’ayez Aaron allait commençait à se poser des questions c’était certain ! Aaron – Casey? Tout va bien? »La logique aurait voulut qu’elle lui réponde un oui oui bien sûr » complètement mensonger mais aucun son ne voulut sortir de sa bouche. Pourquoi n’avait-elle pas la possibilité de se déplacer d’un lieu a un autre en un claquement de doigt ? Ça aurait tellement était pratique. L’espace d’une seconde elle envisagea une solution… Aiden ! Après tout il lui suffisait de lui envoyer un sms pour lui dire de l’appeler pour qu’il le fasse elle en était certaine. Ensuite elle aurait qu’à dire à Aaron qu’il était au téléphone et qu’elle devait partir de toute urgence. Mais était-ce une bonne idée ?Aaron – T'es tombée dans le trou? Le Chili est mal passé? Si c'est le cas, tu me dis si je dois mettre les toilettes en quarantaine pour éviter de contaminer tout New-York avec l'odeur. »Elle eut un sourire. Pourquoi fallait-il qu’il se trouve si LUI alors qu’elle était en total panique ? Pourquoi fallait il qu’il est ce don inouïe de la rendre heureuse et de la l’apaiser juste en étant là ? Non Casey ne gâche pas tout…. Elle poussa un soupir pour se donner du courage, ses mains ne tremblant déjà plus et eut alors une idée pour se sortir de cette galère et éviter qu’il sache tout de sa crise d’angoisse… Une seconde plus tard, elle ouvrait la porte, souriante et assurée, fidèle a elle-même. Elle tomba nez à nez avec Aaron qui se trouvait juste a côté et lui adressa un – Très drôle. J’ai fait tomber mon portable dans la cuvette » lui dit-elle d’un air blazer en lui tendant l’objet métallique qui était en effet des plus trempé. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Lun 8 Mar - 044 Casey S. & Aaron que Casey veuille à tout prix partir d'ici ne m'avait pas effleuré l'esprit. A vrai dire, nous passions une soirée tellement bonne que je me permettais même de penser que j'avais mis notre Texane totalement à l'aise. Cette idée me fit sourire. Le fait est que je pouvais rester moi-même, ne pas jouer un rôle, celui d'un homme avec quelques facettes qui ne me correspondent pas, uniquement pour pouvoir lui plaire. Non. Avec Casey, je pouvais réellement rester moi même, le Aaron amusé à longueur de temps, avec des blagues parfois douteuses, un côté puéril et arrogant. Je n'avais pas à me cacher à ses yeux. Elle semblait énormément m'apprécier au naturel. Ce genre de choses est devenue tellement rare de nos jours que je ne pouvais qu'être heureux de cette soirée. En effet, combien de fois portons nous des masques lorsque nous sommes en présence d'une personne qui nous intéresse grandement et avec qui nous ne sommes pas encore totalement familier, comme après dix ans de vie commune? Nous le faisons certainement très souvent. Mais avec Casey, j'étais naturel, moi-même, je n'avais aucun masque à faire tomber. Et aussi idiot que cela puisse paraître, ne jouer parfois aucun rôle pour un comédien peut faire beaucoup de bien. Et j'espérais que ce que je ressentais était pareil pour elle. J'étais persuadé qu'elle était également fidèle à elle-même, assumant totalement son caractère, comme pour dire à tout le monde "Si je ne vous plaît pas au naturel, allez vous faire voir". Si elle était aussi à l'aise que moi en présence l'un de l'autre, ce serait parfait, magique, mais également étrange et ambigüe car notre histoire restait tout de même fait est que je connaissais Casey comme une personne ayant de sérieux problèmes avec les sentiments et les décisions importantes. En effet, si une relation semblait prendre un peu trop d'ampleur à ses yeux, directement elle se braquait. D'un côté, si je pouvais la voir dans un état de stress, j'aurais pu le prendre très bien d'un certain côté. Oui, cela prouverait que je lui plais réellement. D'un autre côté, si je n'avais pas pris conscience de son côté "j'ai peur des relations sérieuses", j'aurais pu mal prendre un tel comportement. Finalement la porte des toilettes s'ouvrit sur une Casey étrangement trop souriante comparée à l'état où elle s'était trouvée en sortant de table, quelques minutes auparavant. Mes sourcils se froncèrent légèrement tandis que je penchais la tête sur le côté, comme pour trouver une petite faille chez elle, comme pour comprendre ce qu'il y avait d'étrange dans cette situation. Néanmoins, mes questions et hypothèses s'envolèrent de mon esprit lorsqu'elle me tendit son téléphone portable complètement trempé. Casey "Très drôle. J’ai fait tombé mon portable dans la cuvette."Maladroite? Assez oui, pour le coup. Je prenais son téléphone portable dans ma main, afin de l'examiner. Comment avait-elle fait pour le faire tomber dans la cuvette des toilettes? Soit. Ça expliquerait pourquoi elle avait pris autant de temps dans cette pièce, bien que je sentais qu'il manquait un bout de la vérité. Allez savoir pourquoi, mais j'ai toujours eu un don pour détecter ce genre de choses. Casey ne m'avait pas tout dit. Aaron "Il a l'air d'avoir survécu. Bon, il risque de faire un son un peu étrange quand quelqu'un t'appellera mais ça aurait pu être pire."Finalement j'attrapais la petite serviette qui servait à se sécher les mains, puis essuyais le portable avec. Et, sur un ton amusé, je lui "Comment t'as fait pour le faire tomber dans la cuvette? T'étais stressée, et t'as voulu appeler quelqu'un pour qu'on vienne te sauver de cette soirée?"A noté que ce n'était pas une hypothèse mais plutôt une petite plaisanterie. Du moins jusqu'à ce que je remarque que ça n'était pas totalement idiot, surtout venant de la part de Casey. En effet, ce genre de comportement lui allait plutôt bien. Sourcils froncés, je me tournais vers elle, comme si je venais de comprendre quelque chose. Trois solutions un, à ses yeux, notre relation devenait trop importante et la fuite est la meilleure solution pour éviter de céder à la tentation ; deux, cette soirée n'était parfaite qu'à mes yeux et absolument par pour elle ; ou trois, je me trompais sur toute la ligne. Aaron "Si c'est le cas je dois le prendre comment? Ça voudrait dire que je te plaît et que ça te fait peur? Ou bien qu'au contraire, ma présence t'es vraiment désagréable?"Oui, j'ai toujours été assez direct, bien que j'aurais pu faire un petit effort pour une personne aussi phobique au niveau des sentiments que Casey. Qu'elle me pardonne d'avance, je ne sais pas tourner autour du pot. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Lun 8 Mar - 149 Aaron – Comment t'as fait pour le faire tomber dans la cuvette? T'étais stressée, et t'as voulu appeler quelqu'un pour qu'on vienne te sauver de cette soirée? »Oh non pas ça… Pas cette question… Pourquoi fallait-il qu’il soit aussi proche de la vérité ? Elle sentit le rouge lui venir au joue, elle qui n’avait jamais honte de rien et le stress l’envahit de nouveau. Elle avait le regard rivait sur Aaron et son air gentil de bisounours la fit culpabilisait d’avantage. Résultats elle paniqua totalement et lui dit la – Oui bon okays okaysj’l’ai fait tomber exprès dans la cuvette !!! »Elle se cacha le visage avec sa main, ce trouvant vraiment des plus stupides avant de regarder Aaron semblant vraiment désolé et secouer par la – Mais c’est pas s’tu crois enfin j’veux dire… » Se justifia-elle dans tout ses états. Qu’est-ce que tu as dit ? » s’interrompit –elle sur un ton beaucoup plus sérieux alors que les mots d’Aaron lui revenait en mémoire et arrivait à son cerveau seulement maintenant. » Ça voudrait dire que je te plaît et que ça te fait peur? Ou bien qu'au contraire, ma présence t'est vraiment désagréable? » Il avait tout deviné… Au fond il la connaissait peut-être mieux qu’elle ne le soupçonnait. Elle poussa un soupir et se mordit la lèvre inférieure pour géré sa nervosité avant de reprendre la – J’avoue. Tu me plait. J’ai flippé. J’avoue. »Qu’est-ce qu’elle pouvait se sentir idiote ! Non mais sérieusement ! Quelle fille équilibré réagissait comme ça quand elle se trouvait avec l’homme qu’il lui plaisait ? Lui avouer ses peurs finissait de l’achever et elle n’avait qu’une envie s’était aller se coucher, s’enfuir sous sa couette et attendre la fin du monde. Elle le regarda en instant des plus désolé et perdu. Casey – jpense que j’devrais y aller » lui dit-elle en détournant les yeux, le regard d’Aaron étant comme une torture pour quoi bon rester plus longtemps puisqu’il devait déjà la prendre pour la pire des névrosés ? Il fallait vraiment être ravagé pour noyer son propre portable pour cacher ses angoisses ! Elle passa sa main dans ses cheveux et regarda de part et d’autre, cherchant sa veste des yeux sans la trouver. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 9 Mar - 014 Casey S. & Aaron "Oui bon okay okay j’l’ai fait tomber exprès dans la cuvette !"Et bien voila qui avait le mérite d'être clair. Je ne savais pas si je devais arborer un sourire amusé, ou bien si au contraire je devais être surpris et quelque peu vexé. Je décidais donc de rester neutre, le temps qu'elle m'éclaircisse davantage. En effet, je préférais entendre ses arguments, la raison de son comportement, avant d'ouvrir ma bouche et prononcer quelques mots. J'attendais donc là , adossé contre le mur du couloir, une main dans la poche de mon pantalon de costume noir, la seconde me servant à tenir ma pomme déjà entamée et à porter cette dernière à mes lèvres, afin de la "J’avoue. Tu me plais. J’ai flippé. J’avoue."Cette fois ci, un large sourire se dessina sur mes lèvres. Je lui plaisais? C'était tellement bon à entendre, tellement doux pour mes oreilles. La femme que je convoitais tant me désirait également, à la seule différence, elle était bien plus responsable que moi et comprenait donc plus facilement qu'entamer une liaison était dangereux au niveau professionnel et en plus de ça, elle n'était pas une grande habituée pour ce qui est de ressentir quelque chose pour quelqu'un, notamment pour l' savais que mon don pour détecter avec une grande facilité les mensonges, était déconcertant pour toutes personnes souhaitant me mentir, ou bien me cacher quelque chose. Certains avaient même l'impression que je pouvais lire dans les pensées - c'était d'ailleurs la raison pour laquelle ces quelques individus m'approchaient moins -. Le fait est qu'il ne me suffisait que d'observer le comportement, les gestes, l'expression de leur visage pour en déduire bien des choses. Après tout, j'étais comédien. J'avais longuement travaillé là -dessus pour être crédible. De plus, j'ai toujours été un fin observateur. Aucun détail ne m'échappe. Ce n'est pas comme si je choisissais d'être comme cela. Je suis comme un philosophe qui ne peut s'empêcher d'analyser chaque phrase lorsqu'il lit un livre. Ce n'était pas volontaire, mais plutôt automatique. Désespérant autant pour les autres, que pour moi. Ainsi, je m'amusais à observer les gens passer dans la rue. Par exemple devinais rapidement si une femme trompait son mari. Je n'avais qu'à voir une démarche plus sûre d'elle, une expression sur son visage comme si elle se sentait beaucoup plus désirée, un air de renouveau, des vêtements plus sexys. Qui irait mettre des talons aiguille pour aller chercher son pain chez le boulanger? Une femme mariée qui a redécouvert le monde du désir et de la "Jpense que j’devrais y aller."Ses paroles ne parvinrent pas directement à mes oreilles, tout simplement parce que mon esprit ne faisait que répéter "Tu me plais. J'avoue.". Ainsi je continuais de sourire comme le pire des idiots, totalement sur mon petit nuage. Enfin sa dernière phrase arriva jusqu'à mon cerveau. J'avais l'impression d'être un de ses personnages de cartoon qui court rapidement sur une falaise, jusqu'au bord, et qui continue de courir dans les airs. Et ce n'est que lorsqu'il prend conscience qu'il court dans le vide, qu'il finit par tomber. A cet instant précis, j'étais ce personnage de cartoon. Et j'étais en train de tomber de cette fameuse falaise. Non, il ne fallait pas qu'elle parte. Aaron "Non attends."Mon regard se posa sur elle. J'avais envie que cette soirée finisse comme elle avait commencé. Si Casey ne se sentait pas prête pour une relation sérieuse, et encore moins pour une relation compliquée de base car nos statuts professionnels nous interdisaient tout simplement cela, je comprendrais. Mais je n'avais pas dit mon dernier mot. Je voulais que cette journée se termine dans la joie et la bonne humeur. Instinctivement, je tendis la main vers elle et attrapai la sienne, après avoir jeté la pomme dans la petite poubelle de la pièce. Entrelaçant mes doigts avec les siens, je m'approchais d'elle de telle façon qu'elle dû se reculer et se retrouver dos au mur. A présent, je l'observais dans les yeux, comme pour y déceler une petite faiblesse pour la faire "Oublie quelques instants, le temps d'une soirée, que je suis ton professeur et que tu es mon étudiante. Oublie quelques instants que cette histoire est compliquée de base et le fait que tu es quelques difficultés à exprimer tes sentiments. Reste comme tu es ce soir, reste toi même, ne vois que le côté positif et je serais uniquement l'homme qui te plaît."Je ne désirais qu'une chose, qu'on laisse le côté compliqué de cette histoire à l'écart, et que l'on profite de cette soirée, que l'on s'abandonne à nos désirs respectifs, être dans notre petit monde l'espace de quelques heures, jusqu'au lendemain matin où malheureusement, l'horrible réalité reprendra le dessus. Mon corps se cala contre le sien, et l'unique fait de sentir sa poitrine s'écraser contre mon torse me procura un frisson des plus agréables, le long de ma colonne vertébrale. Mon visage à quelques millimètres du sien, je pouvais sentir son parfum enivrant. J'effleurais son nez avec le mien, désireux de goûter de nouveau à ses lèvres, alors que ces dernières étaient à une faible proximité des miennes, si bien que je pouvais sentir leur présence. Aaron "Reste avec moi cette nuit. Ici, personne ne peut nous voir, on peut être nous même, ensemble, sans avoir à se cacher. Donc oui, reste avec moi cette nuit." Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 9 Mar - 111 Aaron – Non attends. »Il posa son regard sur elle alors que son cœur était déjà à deux doigts d’exploser. Pourquoi fallait-il qu’il la torture d’avantage alors qu’elle désirait prendre la fuite au plus vite avant de réaliser qu’elle était déjà en train de tomber amoureuse de lui ou qu’elle l’était déjà tout simplement ? Elle voulait l’oublier au plus vite avant que leurs histoire ne se complique d’avantage mais il l’empêcher de fuir. Il était comme une encre au bateau qu’elle était, la ramenant vers la terre ferme et l’empêchant de sombrer dans les eaux troubles d’un océan inconnu qui ne lui aurait apporté que solitude et désolation…Il avait sa main dans la sienne à présent et le contact de sa peau la troublée d’avantage. Il l’emmena au mur sans qu’elle n’anticipe le piège et elle se retrouva vite prisonnière de son regard tandis qu’elle baissait les yeux sur leurs mains, troublée qu’elles se sentent aussi bien l’une dans l’autre. Mais au bout de quelque seconde, sentant le regard d’Aaron sur elle, elle leva la tête et le dévisagea en déglutissant avec difficulté. Elle avait le souffle coupé et ne supportait pas de se dévoiler autant à lui. Elle avait encore en mémoire le sourire qu’il avait eut quand elle lui avait avoué qu’il lui plaisait alors qu’elle se trouvait pathétique et ridicule à souhait. Il aurait dût se moquer d’elle ou avoir l’air contrarier ou encore choquer au lieu d’être si fier comme si c’était la meilleure chose qu’il soie. Il la regardait d’une façon si touchante qu’elle ne pouvait qu’en être d’avantage – Oublie quelques instants, le temps d'une soirée, que je suis ton professeur et que tu es mon étudiante. Oublie quelques instants que cette histoire est compliquée de base et le fait que tu es quelques difficultés à exprimer tes sentiments. Reste comme tu es ce soir, reste toi même, ne vois que le côté positif et je serais uniquement l'homme qui te plaît. »Pourquoi a l’entendre ça avait l’air si simple ? Pourquoi dans la bouche d’Aaron et alors qu’elle ne cessait de le regarder tout semblait l’attiré vers lui comme une évidence alors qu’elle faisait tout pour se débattre de cet amour naissant ? Pourquoi fallait-il quand quelque mots il détruise ses bonnes résolution et lui donne envie d’écouter son cœur plutôt que sa tête ? Il se rapprocha d’elle et elle sentit son corps contre le siens tandis que leurs visage n’étaient plus qu’a quelque centimètre. Sans le vouloir elle baissa deux seconde les yeux vers sa bouche, la désirant sur l’instant mais étant incapable de bouger, paralyser par l’ – Reste avec moi cette nuit. Ici, personne ne peut nous voir, on peut être nous même, ensemble, sans avoir à se cacher. Donc oui, reste avec moi cette nuit. »Il lui demandait ce qu’elle souhaite sans l’avouer et songeait ne serait qu’une seconde a lui dire non et a le décevoir était la pire des tortures. Elle ne voulait pas lui faire du mal et surtout elle ne voulait pas le perdre…Casey – Je reste… » Cette fois le cœur était plus fort que la raison… Mais ne dit on pas que le cœur a ses raison que la raison ignore ? Sans plus attendre et sans plus se poser de question, elle se laissa alors dicter par ses sentiments en vrai impulsive qu’elle était et glissa ses mains derrière son cou avant de l’embrasser avec passion. Elle resterait avec lui cette nuit. Elle en avait envie. Elle voulait ses bras. Ses lèvres. Toucher sa peau. Respirer son odeur Ressentir sa tendresse. Admirer son sourire. Passer la main dans ses cheveux. Glisser ses doigts sur son torse. Caresser sa langue du bout de la sienne. Embrasser son cou. Elle voulait tout ça… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 9 Mar - 2029 Casey S. & Aaron Je reste… »Je ne pus retenir un sourire, tandis qu’elle semblait céder à mes envies, ainsi qu’à les siennes par la même occasion. J’en eu la confirmation lorsqu’elle enroula ses bras autour de mon cou et cala ses lèvres contre les miennes. Intérieurement, j’étais fou de joie, heureux qu’elle accepte enfin totalement le fait qu’elle soit attirée par moi. Ses lèvres avaient un goût légèrement sucré, ce qui expliquait le fait que j’appelais ses baisers des douceurs ». Avec elle, le fait de s’embrasser relevait tout simplement d’une délicieuse torture. La passion et le désir nous animaient et il m’était difficile de me retenir de lui arracher ses vêtements et de la prendre là , maintenant, contre ce mur. Le bout de nos langues se rencontraient à plusieurs reprises, se caressaient. Je m’amusais souvent à me vanter en disant que je maniais à la perfection le French Kiss » étant donné que j’avais vécu la majorité de ma vie en France. Bien évidemment, je ne croyais pas réellement mes dires. Heureusement, il n’y avait pas qu’une seule façon d’embrasser. Le fait est qu’un baiser est l’expression des sentiments, du désir, de la tendresse. J’aimais ceux de Casey au plus haut point, si bien que j’aurais pu m’occuper de ses lèvres un très long moment. Aaron Ah, je vais devoir dormir sur le canapé du coup. »Lançais-je sur un ton malicieux, alors que je venais de réussir à me détacher quelques instants de ses lèvres. J’avais prononcé ces quelques mots uniquement pour la provoquer, lui faire croire que rien de sexuel n’était possible entre nous, que je ne ressentais aucune attirance. Mon but ? L’énerver, bien entendu ! On ne change pas les bonnes vieilles habitudes ! Néanmoins je connaissais une certaine difficulté à jouer la comédie tout simplement parce que je brûlais d’envie de l’embrasser à nouveau, de l’enlacer, de m’endormir dans le creux de ses bras. Ce n’était pas vraiment étonnant de ma part. J’avais tendance la nuit à me coller inconsciemment à la personne qui partage mon lit. De plus, l’odeur naturelle de Casey me rendait fou, tellement ce dernier était agréable. De ce fait, vous pouviez être sûrs que je n’allais pas rester dans le coin de mon lit, alors que je peux passer toute une nuit à respirer un parfum des plus enivrants. Décidemment, elle avait tout pour me plaire et quelque part ça m’agaçait car je cherchais un quelconque défaut qui pourrait être assez important pour me dégoûter d’elle. En effet, je n’étais pas prêt non plus à me lancer dans une relation sérieuse, tout simplement car je n’avais pas fait totalement le deuil de ma femme. Pourtant, il est clair que je prenais le chemin pour avoir envie d’une histoire à long terme avec Casey, tout simplement parce que… c’est Casey. Indescriptible. Elle me plaisait bien trop pour que je la laisse filer entre mes doigts, et ça, sans chercher à me battre pour Sauf si tu es d’accord pour me faire une petite place. Je ne suis pas très gros. Une petite place dans tes bras me suffit amplement. »Mes mains s’étaient déposées quelques secondes plus tôt sur la taille fine de Casey. Ces mêmes mains qui glissèrent dans son dos, s’amusèrent à passer en dessous de son haut. Ainsi, je pouvais sentir sa peau brulante sous mes doigts, une sensation très agréable. Attirant davantage son corps contre le mien, mes lèvres se déposèrent sur son menton, afin d’y déposer quelques baisers remplis de tendresse, accompagnés de quelques mordillements sensuels et malicieux. Des mordillements qui s’étalèrent également au niveau de son cou. A croire qu’on était les acteurs d’un nouveau film mettant en scène des vampires. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 9 Mar - 2205 Casey – Quoi ?!? » lui dit-elle perplexe alors qu’elle n’en revenait pas de ce qu’elle revenait d’entendre. Lorsqu’il lui avait proposé de rester cette nuit elle n’avait pas pensé une seule seconde que cela signifiait seulement rester… Certes elle n’avait pas forcément imaginé être posséder par lui dans les secondes à venir et seul sa présence l’aurait contenté mais elle aurait au moins espéré pouvoir s’endormir dans ses bras… Elle se sentait tout à coup une peu idiote d’avoir céder si vite alors qu’au final sa demande ne correspond pas vraiment a ses attentes et à l’ampleur de ses – Tu me demande de rester et tu ne veux même pas être avec moi ??? Non mais j’y crois pas !!! »Sur ce elle voulut se dérobait de lui, tombant dans son piège et s’emportant en vrai passionnant qu’elle était. Mais à peine s’eut elle déplacer sur le côté qu’elle reprit sa place initiale, réalisant le ton malicieux que le jeune homme avait employé. Elle eut un sourire et roula ses yeux vers le ciel, réalisant qu’une fois de plus il avait joué de son caractère explosif et de sa capacité à réagir vivement. Bravo Casey ! Il fallait qu’elle apprenne à se maitriser sinon un jour ça finirait pas lui faire du tord. Aaron - Sauf si tu es d’accord pour me faire une petite place. Je ne suis pas très gros. Une petite place dans tes bras me suffit amplement. »Elle le regarda avec malice, ne le quittant pas des yeux et cette fois bien décidé à le suivre dans ce petit jeu de joute verbale dont ils avaient l’habitude. S’il savait la faire tourner en bourrique, elle était persuadé arrivait à pire avec lui. Surtout ne pas la sous estimé. Prêt d’Aaron elle se sentait bien et ne regrettait pas le moindre du monde d’être – Hum… je ne sais pas » fit-elle avec espièglerie, faisant semblant de réfléchir tandis qu’elle lui souriait avec insolence. C’est trèèèèèèèès dur pour moi de décider. Est-ce que tu as des arguments pour me convaincre ? » Demanda-t-elle avec une certaine provocation et beaucoup d’ pour répondre a ses mots, il fit glissait ses mains dans son dos et le Texane poussa un léger soupir comme si c’était la seule façon qu’elle avait trouvait pour respiré tant il lui coupé le souffle. Sa peau brûlante trahissait bien le désir qu’elle avait pour lui et son cœur battait en cadence à un rythme effréné comme s’il allait cesser de battre d’une minute à l’autre sous le poids de l’émotion. Il la ramena a lui et elle se laissa faire sans le quitter des yeux, elle qui était pourtant tous sauf docile à l’ordinaire. Elle avait toujours était une tigresse indomptable prête a sortir les griffes en cas d’attaque mais il semblait avoir trouvé une façon pour l’apprivoiser. Il promena ses lèvres sur son menton avant de les loger dans son cou et elle bascula sa tête vers l’arrière en fermant les yeux pour s’savourer ses caresses. Puis d’un seul coup, elle se redressa et le poussa légèrement en arrière alors qu’il ne s’y attendait pas, en se mettant à rire. Elle se déroba de lui, joueuse, et fit quelque pas vers la chambre alors qu’Aaron devait sûrement rester sur sa faim. Elle se retourna vers se dernier et le regarda avec malice. Casey – Intéressant mais… je suis sûre que tu peux faire mieux. »Sur ce elle lui adressa un sourire mutin tandis que son regard se faisait charmeur et amusé. Elle le regarda une seconde avant de se retournait vers la porte, curieuse de savoir s’il avait d’autre arguments à lui soumettre avant qu’elle ne gagne la chambre et le fasse dormir sur le canapé… Après tout c’était lui qui l’avait proposé ! Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 9 Mar - 2315 Casey S. & Aaron la façon dont Casey était impulsive. L'énerver et l'obliger à hausser le ton était devenu un don, ainsi qu'un réel amusement. Bien entendu, elle comprenait très vite que je ne jouais que la comédie, et donc, qu'elle avait réagit au quart de tour, assez mal. Mais ceci faisait parti du jeu. J'aimais énormément la voir se sentir idiote lorsqu'elle faisait preuve d'autant d'impulsivité, au lieu de prendre le temps de voir que je ne voulais que la taquiner. J'avais beau lui faire cette blague à plusieurs reprises, elle tombait toujours dans le panneau, et ça, c'était "arguments", comme elle se plaisait à les appeler, n'était autre que les petites caresses que je lui prodiguais. Et visiblement, ces dernières faisaient leur effet. Casey semblait totalement soumise à chacun de mes baisers, à chacun de mes mordillements. Cela m'amusait dans la mesure où justement, notre Texane n'est pas du genre à se laisser faire ainsi. Elle était comme une tigresse bien difficile à apprivoiser, et c'est ce que j'aimais chez elle. Notre première fois ensemble avait été extraordinaire par rapport à ça. Cela avait été bestial, tout les deux voulant montrer notre côté dominateur. Finalement nous nous étions également beaucoup amusés. A la fois sauvage et sensuel, romantique et bestial, j'en avais encore un très bon souvenir. Ainsi, quand j'entendis Casey soupirer de cette façon, un large sourire se dessina sur mes lèvres, ce qu'elle put certainement sentir comme ma bouche était plaquée contre son cou. C'était comme si à cet instant précis, j'étais le dominateur et elle, la personne soumise. Bien évidemment, je savais que cela n'allait pas durer. J'eus cette confirmation en sentant les mains de la jeune femme s'abattre sur mon torse afin de me repousser. A cet instant précis, je la haïssais de me faire subir cela, et d'un autre côté, j'admirais son côté joueur, bien heureux d'avoir retrouvé "Intéressant mais… je suis sûre que tu peux faire mieux."Et de ce fait, elle commença à se diriger vers ma chambre, comme pour mettre fin à notre petit échange. Un sourire malicieux se dessina sur mes lèvres. Néanmoins, je tournais également les talons, comme pour lui dire "Tu peux toujours courir ma belle.". Bien évidemment, il ne fallait pas être devin pour comprendre que je pensais tout le contraire. D'ailleurs, je comptais bien lui faire part de mes autres "arguments", mais avant, j'ouvris doucement la porte de la chambre de Jade. Cette dernière était déjà en pyjama, couchée dans son lit, avec son cahier d'école dans les mains, endormie. Visiblement, ses devoirs l'avaient achevé, ce qui me fit sourire. Entrant discrètement dans la pièce, je la débarrassais du petit livre, le posant sur la table de chevet. Je remettais correctement la couette sur la petite, puis déposais un baiser sur sa joue. Quelle petite puce. Tiago, notre Golden Retriever, dormait également paisiblement à ses pieds. Je lui donnais une caresse, il releva la tête, et cala son museau contre la paume de ma main. Quelques minutes plus tard, je me retrouvais devant la porte de ma chambre, avec une bouteille de crème chantilly tout juste sortie du réfrigérateur, dans ma main, ainsi qu'une barquette de petites fraises dans l'autre. Après tout, nous n'avions pas pris de dessert et avec cela, j'étais quasiment sûr qu'elle voudrait bien me laisser entrer. Un sourire amusé sur les lèvres, je réajustais quelque peu mon gilet de costume, retroussais les manches de ma chemise blanche, puis frappais doucement à la porte afin de prévenir Casey de ma "Tu me laisses entrer si je te dis que j'ai une bouteille de crème chantilly et des fraises avec moi?"Le regard malicieux, j'attendais qu'elle se manifeste pour me répondre, tout en restant devant la porte de ma propre chambre. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mer 10 Mar - 016 Il ouvrit la porte de la chambre Jade, lui rappelant alors qu’ils n’étaient pas seuls et qu’une fillette se trouvait juste à côté. Cela aurait pût refroidir Casey et la dissuader de resté, lui donnant envie de faire marche arrière mais étrangement ce ne fût pas le cas. Peut-être parce qu’il était déjà trop tard pour elle, le moment n’étant plus à la fuite car quitte a tomber elle préférait avancer dans le noir et l’inconnu que rester sur place. Laissant Aaron allait border sa fille, elle rentra dans sa chambre et trouva une pièce a son image, ce qui la fit sourire. Elle sauta sur le lit et s’empara d’un des cousins qu’elle serra contre elle avec douceur en inspirant profondément. Elle voulait mémoriser et s’enivrait de l’odeur d’Aaron tant qu’il n’était pas là et qu’il ne pouvait voir son comportement si fille ». Au bout de quelques minute elle finit par entendre sa voix derrière la porte et elle relâcha le cousin et s’assit sur le lit, impatiente de le voir de nouveau. Aaron - Tu me laisses entrer si je te dis que j'ai une bouteille de crème chantilly et des fraises avec moi ? »Un sourire apparut sur ses lèvres. Il avait toujours sue faire preuve d’imagination et n’en manquer jamais pour la satisfaire. Une chose encore qu’elle appréciait chez lui. Elle l’imaginait devant la porte avec ses fraises et sa chantilly attendant gentiment qu’elle ouvre la porte de sa propre chambre. Ça la fit rire et lui donna envie de l’embêter d’avantage. Casey – Euuuuuh… non ! » Répondit-elle avant de rire, ravie de lui opposer pareille après avoir prononçait ses mots, une seconde plus tard la porte s’ouvrit sur une Casey au sourire rayonnant et la mine insolente. Elle le regarda avec malice, l’envie du jeu se lisant dans son regard qu’elle finit par baisser vers les fraises. Elle en attrapa une et la mangea d’une façon des plus sensuelle, bien décider a torturé d’avantage – Plutôt délicieuse. » déclara-t-elle avec un sourire et un regard plein de charme. Tu peux rentrer. »Elle s’écarta de l’entrée, et lui laissant la place pour rentrait et le regarda s’avançait dans la pièce en souriant. Casey – Tu en a mis du temps. » lui dit-elle pour l’embêter. J’ai bien cru mourir d’ennui ici toute seule, allongé sur ce grand lit. » Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mer 10 Mar - 1302 Casey S. & Aaron "Euuuuuh… non !"Comme si elle était crédible. Je levais des yeux au plafond, agréablement exaspéré par son comportement. Combien de temps allait-elle prendre pour m'ouvrir cette fichue porte? De plus, c'était ma propre chambre. Elle faisait semblant d'hésiter, même de refuser de me laisser entrer, alors que nous savions très bien tout les deux qu'elle ne faisait que jouer la comédie. Allez Casey, bouge tes fesses et viens m'ouvrir. Et puis, ce n'était pas comme si elle était indifférente face à de la crème chantilly ainsi qu'à des fraises. Dans ma tête se déroulait un décompte. Trois... Deux... Un... Et voila que notre charmante Texane ouvrait la porte de la chambre pour s'emparer d'un des fruits rouges. Mes yeux bleus se posèrent sur ses lèvres, face à ce fabuleux spectacle. Pourquoi se sentait-elle obligée de manger cette fraise aussi sensuellement? Voulait-elle ma mort? Je me mordillais la lèvre inférieure, comme pour contrôler mes envies. Casey "Plutôt délicieuse. Tu peux rentrer."Face à ce sourire charmant, je ne pus m'empêcher d'attraper sa main et de déposer un baiser sur le dessus de cette dernière, en bon gentleman. Puis je passais à côté d'elle, afin d'entrer dans ma chambre. Casey "Tu en as mis du temps. J’ai bien cru mourir d’ennui ici toute seule, allongée sur ce grand lit."Dos à elle, mes sourcils se haussèrent, le sourire toujours sur les lèvres, dévoilant mes dents. Je n'avais pas dit mon dernier mot. Ce que je voulais? L'énerver le plus possible, comme elle aimait le faire de son côté. Comme si cela allait nous aider à voir qui a l'esprit le plus chieur ici, dans cette pièce, ainsi que le côté le plus sadique. Ainsi, je me tournais vers elle, les bras croisés, tandis que j'avais posé la bouteille de crème chantilly et la barquette de fraises sur le sol. Aaron "Ah? Et tu veux jouer à quoi pour arrêter de mourir d'ennui?"Suite à cette question, le regard malicieux, je m'approchais d'elle, comme un prédateur. Mon corps à présent juste devant le sien, j'approchais son visage de son cou, effleurant sa peau uniquement avec le bout de mon nez, comme si je m'apprêtais à la couvrir de baisers d'une seconde à l'autre. Mes mains puissantes glissèrent dans son dos, cette fois ci par-dessus son haut, émettant quelques caresses, avant de descendre mes doigts jusqu'au bas de ses reins, avec un air exagérément innocent sur le visage. Je remontais mes lèvres vers les siennes, sans tout de même l'embrasser, me contentant uniquement de les effleurer. Et, au moment où elle s'y attendait le moins, j'attrapais une manette de la console Wii qui traînait sur la commode juste à côté de Casey. C'était avec une expression toujours aussi malicieuse que je l'observais, avant de me détacher d'elle Aaron "J'ai trouvé à quoi on va jouer ! La Wii !"Le don de casser ce genre de moments sensuels, uniquement dans le but d'énerver sa partenaire. Je me demandais si nous étions beaucoup d'hommes à avoir ce petit talent certain... ainsi que cette retenue, car j'avais toujours envie de lui arracher ses vêtements et de déguster de la crème chantilly sur son corps. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Ven 12 Mar - 027 Il se retourna face à elle, les bras croisé et elle continua de le regardait avec insolence, désireuse de le faire réagir mais c’était sans pensée qu’a ce jeu là Aaron était lui aussi très doué. Et merde ! Aaron – Ah? Et tu veux jouer à quoi pour arrêter de mourir d'ennui? »Il jouait les innocents et cela la fait sourire de nouveau, elle qui savait bien qu’ils pensaient à la même chose. Elle voyait dans le regard du jeune homme qu’il désirait le même jeu, mais leurs échange verbale en était également un et pour rien au monde elle y aurait mis fin. Pourtant lorsqu’elle le vit approcher et sentit ses mains dans son dos ainsi que ses caresses alors que son visage était tout prêt, elle fût certaine qu’il allait cesser de la provoquer et que leur langue allait se lier de nouveau. Mais non ! Le pire c’est qu’elle ne l’avait pas vu venir cela là , suivant ses lèvres en même temps qu’il les promenait prêt des siennes, pensant que d’une seconde à l’autre, ils s’embraseraient encore… Mais non il la laissa sur sa faim en s’emparent d’un objet que Casey aurait volontiers pulvérisé avec le regard sur l’instant. Saloperie de console ! Aaron – J'ai trouvé à quoi on va jouer ! La Wii »Ooooooh le sale traitre ! Elle n’en revenait pas qu’il ait le culot de lui sortir ça exprès pour l’agacer. C’était si… c’était si… Il lui paierait ! Bouche ouverte, elle semblait scandalisait et restait sur sa faim. Mais une seconde plus tard elle se ressaisit, bien décider a le frustré encore plus qu’il ne venait de le faire. Prenant alors un air assuré et légèrement fière, elle s’adressa alors à lui avec un faux air – Excellente idée. J’ai entendu dire que cette console muscler et assouplissez beaucoup de muscle en général. Et ça peut être bien pratique dans… certain sport. »Un sourire malicieux, elle était certaine qu’il comprendrait ce qu’il y avait à comprendre par certain sport ». Sans attendre elle lui enleva alors la manette des mains et s’assit sur le lit face a la télé bien décidé à jouer. Après tout c’était l’idée d’Aaron non ? Il voulait jouer à la Wii ? Ils joueront à la Wii !!! Et dire qu’elle avait des choses à lui proposer qu’il n’imaginait même pas dans ses fantasmes les plus fou. Mais bon s’il voulait jouer à la Wii… c’était son choix hein ! Elle n’allait tout de même pas le contrarier ? Le défiant du regard, elle se releva ensuite et attrapa la chantilly et les fraises qu’il avait – Tiens j’me demande si les fraises sont toujours aussi bonne avec la chantilly. » Sur ce elle attrapa une fraise et dirigea la bombe vers le fruit. Sauf que le diffuseur se trouvait du mauvais côté… Résultat lorsqu’elle appuya dessus ce n’est pas la fraise qui se retrouva pleine de chantilly mais Aaron qui se trouvait juste à côté. Casey – Oups » Fit-elle en mettant sa main sur sa bouche comme si elle s’excusait d’une terrible bêtise avec une fausse innocence. Mais depuis quand Casey était elle aussi maladroite et tête en l’air ? Depuis jamais ! Elle l’avait fait exprès tout simplement et son oups » totalement surjoué le trahissait tout à fait. Plus joueuse que jamais, elle essuya alors la joue d’Aaron a l’aide de son index, le caressant doucement avant de le porter à sa bouche. Elle suça son doigt avec une sensualité divine, tout en ne lâchant pas Aaron du regard, avant de l’ôter de sa – Humm… c’est si bon. »Elle eut un sourire plein de malice alors qu’elle le dévorait toujours des yeux, ÇA c’était pour la Wii ! D’ailleurs en parlant de ça, elle attrapa la manette et fit de nouveau face a la télé comme si de rien n’était. Il voulait jouer ? Ils allaient jouer ! Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Ven 12 Mar - 2358 Casey S. & Aaron savais qu'elle n'allait absolument pas s'attendre à ce genre de choses, bien que ça correspondait entièrement à mon caractère. Ce que j'aurais dû prévoir, c'est qu'elle n'allait pas se laisser faire, elle se vengerait, de sorte que je capitule le premier, que je cède avant elle à mes pulsions et à mon désir. Cette nuit risquait d'être "Excellente idée. J’ai entendu dire que cette console musclait et assouplissait beaucoup de muscles en général. Et ça peut être bien pratique dans… certains sports."En entendant cette parole, un fin sourire en coin se dessina sur mes lèvres. Oui, probablement... Suite à cette pensée très peu catholique, l'expression béate de mon visage se transforma en une mine un tantinet plus sérieuse. En effet, Casey semblait prendre tout au pied de la lettre. Ainsi, elle s'était déjà assise sur le lit afin de jouer à la Wii. Ok... j'avais plutôt espéré qu'elle cèderait à ses pulsions et me sauterait dessus. Non. Elle était bien trop têtue et avait bien trop d'amour propre pour cela. Donc, elle décidait de me faire chier jusqu'au bout, quitte à devoir jouer à la console. Mais j'étais prêt à entrer dans son jeu. Ainsi, je m'asseyais à côté d'elle, également prêt à "Tiens j’me demande si les fraises sont toujours aussi bonnes avec la chantilly."Allez savoir pourquoi je sentais le coup venir. Ainsi, le "Oups" ainsi que la crème chantilly que je venais de recevoir sur la joue, ne m'étonnèrent pas. Retenant un sourire, essayant de retenir avec difficulté mon sérieux, j'observais Casey avec une fausse sévérité. Néanmoins, je ne cherchais pas à la repousser lorsqu'elle essuya la crème avec son doigt et portant ce dernier à ses lèvres. Je la regardais faire, les sourcils légèrement haussés. Ah... En la voyant agir comme cela, il n'y avait rien d'étonnant au fait que les hommes fantasment en voyant une femme entrer quelque chose d'assez "cylindrique" dans sa bouche. Casey "Humm… c’est si bon."Je la détestais. Je la détestais encore plus lorsqu'elle reprit la manette de la Wii afin d'y jouer. Comment pouvait-elle me laisser ainsi sur ma faim? Ah les femmes... Bien décidé à me venger, je m'asseyais sur le lit, derrière elle. Mes doigts balayèrent sa chevelure brune de sa nuque, dévoilant ainsi cette dernière. Un sourire fendit mon visage en deux, tandis que je déposais mes lèvres contre sa peau. Ainsi, sa nuque put recevoir quelques baisers sensuels, quelques mordillements. Quant à mes bras, je les avais enroulés autour du corps fin de notre charmante Texane et mes mains se baladèrent sur son ventre. Mes lèvres finirent par se déposer sur son oreille et mes dents prirent possession de son lobe, avec douceur et sensualité. Ah j'adorais faire ça. Le seul problème, c'est que mon désir montait en flèche. Ainsi, je laissais mes mains retomber à plat sur la couette, avant de finalement attraper la bouteille de crème "Ah ça fait longtemps !"La vengeance se lisait parfaitement sur mon visage, sauf que Casey ne pouvait pas le voir, étant donné que j'étais dos à elle. Me redressant légèrement, sur les genoux, je déposais mon regard par-dessus son épaule et observais... oua ! Quelle vue imprenable d'ici ! Un sourire malicieux et sadique se dessina sur mes lèvres. Je continuais de couvrir de baisers sa joue, son cou, et discrètement, j'approchais la bouteille. Enfin, après quelques secondes de "calcul", j'appuyais sur le bouton et la crème chantilly vint remplir le décolleté de Casey. A partir de cet instant, un rire s'échappa de ma gorge, un rire sincère et rempli de bonne humeur. Mon côté enfantin avait reprit le dessus. Au moins, je lui avais donné une bonne excuse pour qu'elle retire son haut. Aaron "Oh mon Dieu ! Je suis désolé, mais c'était trop tentant !"Réussis-je enfin à lâcher, entre deux rires. Ah ça faisait du bien de s'amuser comme ça. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Dim 14 Mar - 2228 Elle adoré le provoquer, mettre tout ses sens en émois et attiser d’avantage le désir en lui sans pour autant lui céder par la suite. C’était plus fort qu’elle, elle aimait ce jeu du chaud et du froid et pour rien au monde elle ne s’en serait passée. Mais plus elle restait en sa compagnie, plus elle sentait qu’elle aurait de plus en plus de mal à le laisser en plan tant elle désirait ses bras et ses lèvres. Seulement elle était bien trop têtue et fière pour céder la première. Elle devait lui résister et restait forte. Il fallait que ce soit lui qui ne puissent plus retenir ses envies et non elle. C’est ce qu’elle ne cessait de se répétait tandis que les lèvres d’Aaron embrassait sa nuque et qu’elle souhaitait le voir continuait encore et ailleurs. Mais elle avait dans l’idée qu’il cesserait d’une minute à l’autre pour mieux la faire enrager alors elle se refusait d’y prendre goût même si… hum c’était si bon ! Il l’entourait de ses bras et elle se sentait en sécurité là où elle aurait pût se sentir prisonnière avec un autre. Après tout elle était une tigresse indomptable qui ne s’offrait que rarement aux hommes mais Aaron savait la prendre et comment se comporter avec elle pour lui faire rentrer les griffes. Elle eut un sourire lorsqu’il lui mordilla l’oreille bien qu’elle s’efforçait de rester droite, regardant la télé éteinte comme si l’émission du siècle y était diffusée et tenant toujours la manette de la Wii dans sa main. Il finit par attraper la bouteille de chantilly et arrêta ses caresses tandis qu’elle poussait un – Ah ça fait longtemps ! »Salaud ! Elle le savait bien qu’il cesserait mais elle avait eut beau avoir prémédité ses actes elle n’en restait pas moins frustré avec l’idée de sauter sauvagement sur lui pour lui arracher ses vêtements. Mais alors qu’elle s’efforçait de chasser ses idées perverses qu’il avait lui-même provoqué il revint la hanter, l’embrassant de nouveau a diverses endroit avant de…Elle se releva d’un seul coup en sentant la chantilly assez froide dans son décolleté et le regarda d’un air mi choqué mi amusé. Ah oui ? Il voulait jouer à ça ? Aaron semblait fier de lui et la belle Texane avait déjà dans l’idée de lui faire ravalé son sourire qui… la laissait tant rêveuse ! Mais elle ne le montrait pas et se contentait d’adresser a son adverses de jeu un regard qui signifier bien on verra bien qui rira bien le dernier. »Casey – Bin bravo Maïté maintenant j’vais être obligé d’enlever mon haut. »Un sourire malicieux sur les lèvres, elle le regarda avec charme, sachant tout à fait qu’il n’attendait que ça. Elle attrapa le bas de son top et le releva jusqu'à la moitié de son ventre puis elle le lâcha d’un seul coup comme si elle venait de réaliser quelque chose. Casey – Oh puis tu sais quoi, non j’vais l’enlever dans la salle de bain ça sera mieux. »Elle se dirigea vers la porte en se retournant deux trois fois, son regard pouvant facilement s’interpréter. Que disait-il ? Rattrape moi et enlève moi le haut avant que je n’ai le temps de sortir. » La balle était le camps d’Aaron c’était à son tours de jouer….[HJ désolé un peu pourrie…] Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mar 16 Mar - 2349 Casey S. & Aaron "Bin bravo Maïté maintenant j’vais être obligé d’enlever mon haut."Maïté? Comment osait-elle m'appeler ainsi? Pfff... de toute façon, c'est une grande dame ! Oui, en tant que français - et quelque part, je l'étais, tout comme j'étais irlandais -, je ne pouvais pas ne pas connaître cette grande cuisinière. C'était à la fois blessant de me comparer à elle car son physique n'était pas très agréable, avouons le. D'autre part, c'était mélioratif dans la mesure où elle a un talent certain. Ainsi, un fin sourire se dessina sur mes lèvres. Je voyais clairement que Casey était amusée par la situation, mais également qu'elle appréciait notre petit jeu. En effet, j'avais déjà eu l'occasion de voire notre Texane lorsqu'elle est réellement énervée et il n'y avait aucun doute, à cet instant précis, elle était très heureuse. Nous étions enfermés dans notre petite bulle, à l'abri des regards indiscrets. Nous n'avions pas à avoir peur que quelqu'un découvre notre liaison. Nous étions en "sécurité", et sincèrement, ça nous faisait le plus grand qu'elle allait retirer son haut me fit sourire. Oui, je reste un homme et Casey est très attirante. A mes yeux, elle est tout simplement parfaite, que ce soit sur le plan de physique, que sur le plan de la personnalité. Oui, pour moi, cette Texane est le genre de femmes qui attirent bien plus mon regard que toutes les autres réunies. Elle a ce petit truc qui fait que lorsque je la vois, je soupire de bien être. Ah... Casey... Big Smile. Mes yeux suivirent son geste, elle dévoila son ventre. Je rêvais d'y déposer des baisers. Mais, d'un coup, elle relâcha son "Oh puis tu sais quoi, non j’vais l’enlever dans la salle de bain ça sera mieux."De toute façon, elle pouvait bien retirer ce haut dans la salle de bain, mais étant donné qu'elle n'avait pas d'affaires de rechange, elle serait obligée de revenir ici. Quand bien même elle aurait voulu prendre une de mes chemises ou bien un de mes T-shirts, elle aurait dû repasser par la chambre. Donc, dans tout les cas, je l'aurais vu sans son haut. Y avait-elle pensé? Certainement pas, à moins qu'elle compte passer la nuit enfermée dans la salle de bain, ce dont je doutais beaucoup. Je voulais - simplement pour l'énerver - la laisser filer, pour quelle se rende compte de la stupidité de son acte. Néanmoins, elle passa son temps à se retourner vers moi, me faisant comprendre autrement que par des paroles, qu'elle voulait que je l'arrête et prenne les choses en main. En comprenant cela, un nouveau sourire à la fois enfantin et malicieux se dessina sur mes esprit joueur me disait clairement "Non, ne cède pas, énerve la encore, jusqu'à ce qu'elle craque.". Pourtant, d'un autre côté, une autre voix me lançait "Arrête de patienter comme ça. Tu la désires... n'essaie pas de le nier, ton entre-jambes le montre assez clairement... Et puis, elle a aussi envie de toi. En plus, elle a plein de crème chantilly sur le corps... T'attends quoi?! Des centaines de milliers d'hommes voudraient être à ta place !" Mh... très charmant. Enfin, une dernière petite voix disait "Quel sourire... t'es totalement amoureux.". Et, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je m'approchais d'elle et la plaquais doucement, bien qu'avec un geste brusque, contre le mur. Je capturais ses lèvres avec une passion brûlante, alors que mes mains attaquaient ce haut - qui soit dit en passant, était de trop -. Je remontais mes paumes le long de son corps, contre sa peau chaude, tout en emportant avec elles son vêtement. Je dus quitter ses lèvres quelques secondes afin de lui retirer son haut, que je finissais par jeter sur le sol. Mes mains finirent par emprisonner les siennes contre le mur, un peu au-dessus de sa tête. Enfin, je l'observais dans les yeux, avec cette flamme dans le regard. Un sourire apparut de nouveau sur mon visage, alors que je lâchais une de ses mains pour passer mon index au creux de sa poitrine, afin de prendre de la crème, que je portais à mes lèvres. Finalement, je me penchais légèrement pour déguster le reste de la chantilly, en faisant glisser le bout de ma langue entre ses seins. "Délicieuse... et soumise. Que demande le peuple?"Soumise? Oui, mon esprit chieur reprenait le dessus. J'adore la provoquer, que voulez-vous y faire? Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mer 17 Mar - 125 Elle lui adressait un regard qui en aurait fait craquer plus d’un et elle voyait bien à la bosse dans son pantalon que le choix entre son désirs et sa raison devait être difficile. Mais il avait voulut qu’elle reste alors elle ne se gênerait pas pour le tenter. Elle était tellement bien ici avec lui et libre d’être elle même et de dire et faire tout ce qu’elle voulait avec Aaron. Cette soirée avait des airs de paradis et le bonheur était plus qu’omniprésent dans la pièce. Un sourire de satisfaction et de joie se dessina sur ses lèvres quand elle le vit approcher, sachant d’avance qu’elle venait pour la déshabillai comme elle le souhaitait tant. Elle poussa un petit gémissement de plaisir malgré elle quand il la planqua au mur et elle se laissa faire sans protester tant la frustration s’était emparé d’elle en quelque seconde. C’était si bon de regoûter de nouveaux à ses baisers… Elle eut un léger rire lorsqu’il parcourut son index sur son décolleté pour enlever la chantilly, son doigt la chatouillant légèrement. Elle se mordilla la lèvre inférieure lorsqu’il lui fit glisser sa langue entre ses seins comme pour retenir un son de plaisir avant qu’il se s’écarte d’elle. Aaron – Délicieuse... et soumise. Que demande le peuple? »Casey – Soumise ??? Vraiment ?!? Tu en es sûr ?? » Elle en haussant légèrement un sourcil plein de reproche. Soumise ! S’il avait bien quelque chose qu’elle n’était pas et qu’elle ne serait jamais c’était soumise . Une Salvadore n’était pas soumise . Casey n’était pas soumise. Et elle ne serait jamais . JAMAIS !!! Elle était prête a être n’importe quoi sauf ça ! A tous les coups il l’avait fait exprès. Elle lui adressa un sourire des plus hypocrites avant de reprendre. Casey – Je t’aurais volontiers mis un coup de pied où j’pense pour te faire ravaler tes stupides paroles tout à fait honteusement mensongères mais… je risque d’en avoir besoin dans l’heure qui suit. » termina-t-elle sur un ton plus doux et moins agressif. Mais de toute façon elle n’avait pas besoin de ça pour se défaire de son emprise. Il avait lâché un de ses poignets pour enlever la chantilly de son index. Elle le poussa donc de sa main libre et le fit pivotait contre le mur. Désormais c’était lui qui se retrouvait à sa place, lui le prisonnier. Toutefois elle ne lui saisit pas les poigner, se contentant de le retenir avec le regard. Elle fit glisser ses mains sur sa chemise, les remontant lentement sur son torse et se hissa sur la pointe de pied pour lui mordiller doucement l’oreille avant de lui chuchoter avec charme et – Et maintenant c’est qui le soumis ? »Sur ce elle se retourna, et se mettant à rire elle courut jusqu’au lit pour s’y allonger. Elle le regarda en souriant, de plus en plus impatiente qu’ils arrêtent de jouer pour se donner l’un à l’autre… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Mer 17 Mar - 2105 Casey S. & Aaron L.[justify]Il était évident que caractériser Casey de "soumise", allait l'énerver. D'ailleurs, c'est bel et bien pour cette raison que ce mot est sorti de mes lèvres. Je savais qu'ainsi, elle chercherait à se venger et qui sait? Peut-être qu'elle voudrait laisser sortir la tigresse qui sommeillait en elle? Cette idée me fit sourire. Cela serait très intéressant dans la mesure où j'aimais plus que tout nos ébats "Soumise? Vraiment?! Tu en es sûr? Je t’aurais volontiers mis un coup de pied oùj’pense pour te faire ravaler tes stupides paroles tout à faithonteusement mensongères mais… je risque d’en avoir besoin dans l’heurequi suit."Je retenais un sourire, troquant ce dernier contre une expression faussement outrée. Ainsi, mes yeux s'écarquillèrent, mes sourcils se haussèrent et mes lèvres s'entre-ouvrirent, comme si j'allais dire quelque chose mais que les mots me manquaient, tant j'étais "choqué" par ses paroles. J'aimais le côté brusque de Casey. Les femmes trop douces, trop "bon chic, bon genre", qui veulent remplir leurs rôles parfaitement, mettant à l'écart tout ce qui pourrait mettre en péril lors sainteté, c'est à dire les gros mots, l'alcool, les cigarettes, les situations de dernières minutes, le côté sauvage, etc... tout ça, ça me dépassait. Trop de pureté, tue la pureté... Avec Casey, il n'y avait aucun problème de ce côté. Elle assumait totalement de ne pas être une femme trop "pure". De toute façon, je pense que cela l'aurait très vite ennuyée. je m'épanouissais totalement dans son côté joueur. Après tout, elle est Texane !Avant d'avoir eu le temps de dire "ouf", les rôles s'échangèrent et ce fut à mon tour de me retrouver plaqué dos contre le mur - ce qui n'était pas pour me déplaire -. J'aurais pu l'empêcher de faire cela, lui montrer que j'avais plus de force qu'elle, néanmoins, vu le regard insistant qu'elle me lançait, je n'avais qu'une envie, me laisser dompter. Lorsque ses mains glissèrent sur mon corps, jusqu'à mon torse, un agréable frisson me parcourut. Je n'avais qu'une envie, celle de lui faire l'amour maintenant. Mais cette envie ne fut rien, comparé au moment où elle mordilla le lobe de mon oreille. En effet, cela faisait parti d'un de mes points faibles. Casey "Et maintenant, c'est qui le soumis?"Je tournais légèrement la tête vers elle, afin de l'observer dans les yeux. Quand nos regards se croisèrent, ses quelques mots sortirent de ma bouche, de façon ironique Aaron "Je te déteste."C'est à cet instant précis que Casey se mit à rire et se dirigea rapidement sur le lit afin de s'y allonger. Un sourire se dessina sur mes lèvres, alors que je faisais quelques pas en avant, dans le but de la rejoindre. Je pris place sur le matelas, passant au-dessus de son corps. Mes mains se glissèrent dans les siennes, tandis que je baissais mes lèvres dans son cou. J'y déposais des baisers brûlants, les descendant petit à petit le long de son corps. [justify] Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Lun 22 Mar - 2025 RP POUVANT CHOQUER LA SENSIBILITÉ DES PLUS JEUNES Aaron la rejoint sur le lit, se trouvant au dessus d’elle et déposa des baisers dans son cou alors que leurs mains étaient l’une dans l’autre. Ses lèvres descendirent plus bas et plus près de sa poitrine et Casey lâcha alors ses mains afin de porter les siennes à son chemiser pour le déboutonner. Elle regarda Aaron avec malice tandis qu’il la regardait faire et se releva légèrement pour ôter les manches. Puis brusquement elle s’avança et vint se coller contre son amant et de l’embrassa avec passion. Continuant de lier sa langue à la sienne, elle déboutonna la chemise du jeune homme à son tour avant de lui ôter avec une certaine rapidité, sauvage et impatiente comme elle était. Le jeu avait bien trop durée et son désir était bien trop grand désormais. Elle avait chaud et envie de lui. Elle fit glisser ses mains sur son torse avant de quitter ses lèvres et se pencha en arrière, se rapprochant du lit. Elle l’observa avec insolence et malice, ne le quittant plus des yeux et ne cessant de sourire. Allongé le regard charmeur et insolent, elle était désireuse de savoir s’il aimait ce qu’il voyait. Elle n’avait d’yeux que pour lui et ne désirait que sa bouche et ses bras. Casey – Alors monsieur le professeur de Théâtre, une réplique ? » lui demanda-t-elle avec avait dit cela seulement pour l’agacé comme lui prenait un malin plaisir à le faire avec elle mais il était d’avantage qu’un enseignant pour elle. Il était Aaron. Celui qui la faire rire. Celui qui la faisait sourire. Celui qui la rendait heureuse. Celui à qui elle n’avait cessé de pensé des jours entier après qu’ils aient couché ensemble. Elle se souvenait encore l’avoir souvent observé sans qu’il ne le sache. A la cantine. Dans les couloirs. Sur le parking… Chaque fois qu’il était dans le coin son regard tombait sur lui sans qu’elle ne puisse y faire quelque chose. Un peu comme s’il avait exercé sur elle un pouvoir d’attraction. Et à présent elle était là avec lui, dans sa chambre prête à revivre une nuit comme celle dont elle rêvait encore quand elle fermait les yeux… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Jeu 25 Mar - 2311 Casey S. & Aaron le regard espiègle de Casey. Et, tandis que je couvrais son cou de baisers, descendant ces derniers jusqu'à la naissance de sa poitrine, elle, elle déboutonnait son chemisier au fur et à mesure, ce qui m'arracha un sourire satisfait. De mon côté, je retirais mon gilet de costume, le lançant derrière moi et le laissant atterrir sur le sol, sans rompre le contact entre mes lèvres et sa peau. De là , son odeur corporel m'enivrait, un délicieux parfum qui me rendait fou. Néanmoins, je dus cesser mes baisers afin qu'elle retire son haut. Ainsi, elle se redressa légèrement, m'offrant un fabuleux spectacle. Et, face à celui ci, un sourire espiègle arbora mon visage. Avant même d'avoir eu le temps de dire "ouf", Casey se colla à moi, déclenchant des vagues de frissons le long de ma colonne vertébrale, alors qu'elle avait tout simplement capturer mes lèvres. Le désir montait en flèche tandis que nous partagions un baiser brûlant de passion. Mes mains puissantes se déposèrent sur sa peau nue, les remontant dans son dos, en de légères caresses. Quant à notre Texane, elle s'attaqua à ma chemise et je me retrouvais torse nu en quelques secondes, après l'avoir aidée à la retirer. J'avais envie d'elle d'une force inestimable. Finalement Casey quitta mes lèvres pour s'allonger sur le dos, sur le matelas. Offerte à moi, je savourais la vue que j'avais d'elle ici. C'était bien une des seules personnes avec qui je pouvais être, sans avoir à me demander si j'étais assez agréable à regarder. Pourtant, face à une aussi belle femme, je me serais habituellement demandé si torse nu, j'étais plaisant, car je n'avais que des muscles finement dessinés, loin d'avoir la carrure d'un catcheur. Je me serais demandé si elle aimait ou non la pilosité que j'avais sur le torse et autour du nombril. De plus, en temps normal, je me serais caché le plus possible de cette imposante cicatrice que je possédais au niveau de l'abdomen, la trouvant trop voyante à mes yeux. Avec Casey, je ne me posais pas autant de questions. J'étais à l'aise, totalement à l' "Alors monsieur le professeur de Théâtre, une réplique?"Une réplique? Elle voulait une réplique? D' "Ouaou..."Lançais-je en souriant, laissant mes yeux se balader de son visage à son corps. Je me souvenais du tatouage qu'elle avait au dessus de la cuisse et j'avais bien envie de le voir une nouvelle fois. Le corps de Casey semblait parfait. Enfin, il aurait pu avoir des défauts, elle restait une des plus belles femmes que je connaissais. Aussi merveilleuse à l'intérieur qu'à l'extérieur et ça, ce n'est pas donné à tout le monde. De nouveau je m'approchais d'elle, faufilant mon bassin entre ses cuisses, tandis que je déposais de nouveau mes lèvres sur les siennes. Nos sexes s'effleurèrent à plusieurs reprises, ayant nos pantalons pour unique barrière. Et, en sentant mon bas ventre à ses endroits, un nouveau frisson me parcourut et je mordillais avec envie son menton, où j'avais commencé à déposer des baisers. Mes mains s'attaquèrent à son jean, le détachant assez facilement, puis se faufilèrent à l'intérieur, contre ses fesses, par-dessus son sous-vêtement, entraînant avec elles le pantalon qui glissait le long de ses cuisses puis de ses jambes. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Ven 26 Mar - 045 Elle se mit à rire, un de ses rire franc et trahissant une bonne humeur communicatifs. Un de ses rires si innocent et plein de joie qui font plaisir. Elle le regarda en souriant avec malice amusé par ses mots ». Casey – Hey bien si tu veux mon avis tu devrais revoir ton texte. Pas sûr que tu sois pris à une audition avec un dialogue pareil. Mais entre nous… le premier rôle t’ait déjà offert. »Il la regardait de la sublime des façons, la rendant belle rien qu’avec son regard. Elle se sentait désirait et exceptionnelle et lui rendait au même titre toute l’attention qu’il lui portait. Elle n’avait d’yeux que pour lui et était bien docilement allongé sur le lit elle qui était si sauvage, ronronnant gentiment en attendant d’être dominer. Elle le sentit alors se glissait contre elle tandis qu’il se rapprochait de ses lèvres et son cœur lui compressa la poitrine alors qu’il battait toujours aussi fort et qu’un frisson la parcourait. S’ils n’avaient pas était habillé… Elle serra ses cuisses contre lui tandis qu’il s’occupait justement de ce détail, faufilant ses mains à l’intérieur de son jean après l’avoir déboutonner. Pendant qu’il agissait elle gardait ses mains sur son torse, se cramponnant à lui avec force alors qu’elle continuait de l’embrasser. Elle écarta alors ses cuisses de lui afin de l’aider à enlever complètement son jean à l’aide de ses mains. Elle se trouvait désormais en sous-vêtements et un ravissant shorty noir en dentelle s’offrait à la vue d’Aaron. Il pouvait notamment aussi notamment admirer son ravissant tatouage juste au dessus de l’élastique sur le côté gauche, représentant le signe chinois de l’espoir. Le jeune homme avait déjà eut l’occasion de le voir mais la jeune Texane était persuadé qu’il était ravis de pouvoir l’observer de nouveau, tout comme elle était aux anges d’être de nouveau dans ses bras. Sa peau était brulante et elle retenu son souffle en entende de ses baisers alors que ses lèvres s’attarder sur son menton. Elle se redressa et fit glisser ses mains sur les boutons de son pantalon, se sentant fiévreuse et ayant hâte de pouvoir de nouveau enrouler ses jambes autour de lui pour se rapprocher de son corps qui l’appelait de plus en plus. Aaron avait beaucoup plus de charme qu’il ne le soupçonner sûrement, étant un homme dont beaucoup devaient rêver mais c’était elle avec qui il était à l’instant et aucune autre. Casey ne savait pas ce qu’elle avait fait pour mériter cela mais elle était certaine que lui méritait son affection et ses regards. Peut-être même son amour… Invité Empire State of MindInvité Sujet Re C'est une amie à papa [Casey] Sam 27 Mar - 205 Casey S. & Aaron "Hey bien si tu veux mon avis tu devrais revoir tontexte. Pas sûr que tu sois pris à une audition avec un dialogue entre nous… le premier rôle t’ait déjà offert."Mes sourcils se haussèrent, trouvant la fin de sa phrase terriblement touchante. Gardant le sourire aux lèvres, je me répétais dans ma tête à quel point elle était charmante et agréable. J'avais envie d'elle, mais pas de la même façon dont j'avais envie d'une femme que je venais de rencontrer dans un bar. Nous n'étions pas sur le point de coucher ensemble, nous étions sur le point de faire l'amour. Il y avait une énorme différence. J'avais des sentiments réels pour Casey, bien que je n'étais pas en mesure de savoir si c'était de l'amour. Néanmoins, c'était une sensation très plaisante où je me sentais renaître. Faire l'amour à une femme en ressentant cela, est tellement plus plaisant. J'avais envie d'elle, lui faire comprendre que j'étais attaché à elle, à l'aise à ses côtés, tout en restant bestial. Aaron "Pourtant, je n'ai pas besoin de jouer un rôle avec toi."Lui lançais-je en souriant, sincère. Avec elle, j'étais au naturel, j'étais moi-même et sûr de moi. Mes lèvres se déposèrent une nouvelle fois sur les siennes. Ses baisers étaient de véritables douceurs. Quel charmant bout de femme. Elle m'aida à retirer son jean, je le laissais tomber sur le sol. Mes yeux bleus se déposèrent quelques instants sur la partie du tatouage que je pouvais voir, juste au dessus de son shorty qui d'ailleurs était très sexy. Je me mordillais la lèvres inférieure, montrant ainsi mon
Labosse sur le nez est le plus souvent une source de complexes aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Grâce à la rhinoplastie, il existe aujourd’hui plusieurs solutions pour enlever cette forme disgracieuse et
Fin d’un long weekend pour beaucoup de Français. C’est que cette année, par le hasard des dates, deux jours fériés se suivaient dans la même semaine le 8 mai et l’Ascension. Et comme c’était un mercredi et un jeudi, c’était l’occasion de faire ce que nous appelons Faire le pont, c’est-à -dire prendre aussi le vendredi pour enchaîner avec le weekend. Cette année, c’est bien tombé ! . Mais bien sûr, tous les ans, invariablement, il y en a pour nous expliquer que ça tombe très mal. Rendez-vous compte, l’économie est en danger, avec tous ces Français qui ne pensent qu’à se reposer. Quelle calamité, ces jours fériés qui tombent en mai-juin ! Eh oui, le 1er mai, fête du travail et le 8 mai tombent toujours en mai, et qui plus est, le même jour de la semaine … L’Ascension est toujours un jeudi, le lundi de Pentecôte – sans surprise un lundi – est plus ou moins férié aussi, en mai ou juin selon les années. Ces gardiens de notre productivité oublient en général de dire que cela s’équilibre au fil du temps et que certaines années, le 1er et le 8 mai tombent le weekend. Tout comme Noël et le Jour de l’An. Ils oublient aussi de mentionner que de plus en plus de Français travaillent ces jours-là , dans les magasins et les supermarchés, parce que ce serait dommage quand même de ne pas pouvoir consommer, acheter, dépenser ! Ils oublient aussi que la terre ne va pas s’arrêter de tourner pour ça. Long weekend donc, et beaucoup de monde à Marseille, touristes c’est bon pour l’économie! et Marseillais, pour flâner du côté des nouveaux musées de la ville, installés dans des lieux rendus au public ou du côté du Vieux Port, qui vient de faire peau neuve, avec son ombrière aux multiples reflets. Une chose est sûre, c’est que ces jours fériés sont d’abord des jours de congé ! Certains et certaines sont un peu dans le vague quant au pourquoi de ces dates. Ce qui reflète la place de la religion catholique et montre que les Français n’ont pas tous retenu les cours d’histoire ! A écouter ici – Je me suis pas posé la question, je vous avouerais ! – Non non, je suis pas au courant 1. Il y a un jour férié ? – Ben oui. C’est l’Ascension. – Oui, oui, c’est l’Ascension, non ? – Bien sûr, le 8 mai, c’est la fin de la deuxième guerre mondiale. Comme d’habitude, depuis toujours 2, un défilé et un hommage, sous l’Arc de Triomphe, au Soldat Inconnu. – Le 8 mai ? L’Ascension ! – Alors, attendez, le 8 mai 45, c’était la Libération de Paris 3. – C’est la Pentecôte, c’est ça ? Ou l’Ascension. Je sais plus. Je sais pas exactement. – Moi, je sais pas. Tout ce que je sais, c’est que je bosse 4 pas ! – Bah, la Libération de 45. On fête la victoire, de l’arrêt de la guerre entre l’Allemagne et les pays alliés. – Ça représente d’abord des souvenirs personnels puisque à cette époque-là , j’avais neuf ans et je venais de recevoir, sur les maisons que j’habitais, à deux reprises 5, des obus qui venaient de je ne sais où et où j’ai failli 6 perdre ma grand-mère d’une part et ma petite sœur d’autre part. Pour moi, c’est fondamental, d’une part parce que j’ai vécu cette période et puis d’autre part pour les jeunes générations. Ils ont besoin – et j’ai une petite fille qui a dix ans et qui a besoin de savoir – et donc il est important pour les générations qui viennent derrière nous que ces cérémonies se poursuivent dans le temps. Quelques détails 1. ne pas être au courant ne pas savoir 2. depuis toujours en fait, le 8 mai n’a plus été un jour férié pendant longtemps. Il a été rétabli en 1981. 3. la Libération de Paris c’est en fait en août 1944. Le 8 mai 45 est le jour où a été annoncée la capitulation de l’Allemagne. 4. bosser travailler familier 5. à deux reprises deux fois 6. j’ai failli + verbe c’est presque arrivé mais finalement, non. Par exemple J’ai failli l’appeler. Mais finalement, je me suis débrouillée toute seule. / Il a failli perdre la vie en faisant l’ascension de l’Everest. On emploie ce verbe faillir au passé composé uniquement aujourd’hui. Parfois au plus-que-parfait il avait failli… et au passé simple dans les romans il faillit… Les mères. Leurs fils. Nos fils. Tout ce qu’on fait avec eux, pour qu’ils deviennent grands. Et aussi ce qu’on jurait de ne jamais faire ! Parce qu’on ne savait pas encore. Histoires de mères et de leurs fils devenus grands. Histoires d’amour pour toujours. Mais qui va s’occuper de ton linge ? » Question éternelle, posée avec humour ici ! …Son fils partant, voulant partir, vers 18 ans, 19 ans, [elle] a dit – et c’est… c’est une phrase que j’ai mise dans le texte évidemment, dans… dans le scénario1 Mais qui va s’occuper de ton linge ? » Et là , je me suis moquée. J’avais pas encore d’enfants. J’ai dit Oh bah quand même ! 2 C’est pas… » Oui, ça va 3 ! Tu verras, tu verras ! » J’ai vu ! Effectivement ! Il y a plein de mères qui sont trop contentes que leur fils arrive avec leur ballot 4 de linge à laver à la maison, alors qu’ils ont… Franchement, ils peuvent… il y a toutes les laveries de la terre à proximité, hein, si ils veulent. Parce que ça reste un lien, même s’il est nase 5! Bon, on préfère avoir d’autres liens. Moi je préfère discuter… J’ai un fils qui est luthier 6, je préfère qu’il me parle de son métier plutôt que de me faire laver ses chemises, on va dire. Ce qu’il fait pas, d’ailleurs… Et que je fais de temps en temps… Quand il arrive, je dis Tu veux que… » Mais non. » Si… » Voilà . Discrètos 7, mais je le fais discrètement. Comment dire ? C’est vrai que une absence… Quand j’ai interviewé des fils, entre 20 ans et 50 ans, ce que j’ai réco[lté]… recueilli, à part un déni – parce que les gens sont dans le déni 8, voilà . Les mères disent » Mais c’est normal, mais c’est naturel qu’ils s’en aillent. Moi, j’ai aucun problème avec ça. » Bien sûr que c’est naturel et c’est normal. Il faut qu’ils s’en aillent ! Mais c’est barbare ! Je veux dire, quand on aime un homme, quand on aime quelqu’un, on fait tout pour le garder. On se fait le plus belle 9 possible, le plus intelligente, le plus drôle, le plus amoureuse, le plus tout…, le plus, le plus, le plus, pour le garder. Avec les enfants, on fait le plus, le plus, le plus, pour qu’ils s’en aillent. Ce qui est quand même donc biza[…] enfin, c’est pas bizarre, c’est naturel, c’est naturellement barbare. Mais bon, donc j’ai interviewé une vingtaine de garçons et ils m’ont tous dit J’adore ma mère. Mais elle est un peu lourde 10.» En gros 11, je résume. Il y a un Corse, un jeune acteur corse que j’avais rencontré au moment de Noël, et à qui je dis Qu’est-ce que tu vas faire à Noël ? Tu… tu vas en Corse ? » Il m’avait répondu Oh, bah si j’y vais pas, ma mère, elle m’envoie une équipe ! » Ce qui m’avait fait beaucoup rire et je m’étais dit Ah ! Si moi j’avais le pouvoir d’envoyer une équipe ! C’est pas mon genre 12. Mais donc il y a des mères dont on sent que c’est incontournable. Moi je suis plus laxiste que ça. Je pleure dans les coins 13 mais jamais… Alors en plus, on pleure dans les coins ! On pleure pas… on pleure pas devant eux. Quelques explications 1. le scénario Brigitte Rouan est cinéaste donc il s’agit du scénario de son dernier film Tu honoreras ta mère et ta mère. que je n’ai pas vu. 2. Bah quand même ! cette exclamation sert à protester et à affirmer le contraire de ce qui vient d’être dit. Par exemple – Tu vas savoir faire ? – Oh bah quand même ! = bien sûr, ce n’est pas si compliqué que ça. – Tu as pensé à son anniversaire ? – Bah quand même ! = je ne suis pas totalement idiot. Je suis capable de penser à ces choses-là . Ou bien c’est tellement important que je ne risque pas d’oublier. – Il faut que je lui fasse son repas. – Oh bah quand même ! = il est assez grand pour le faire lui-même. 3. ça va cette expression a beaucoup de sens différents. On peut l’utiliser comme ici pour attaquer » la personne qui vient de nous dire quelque chose, quand on n’accepte pas une réflexion, une critique, pour montrer que ça nous irrite. Voici deux exemples – Je trouve que tu n’aurais pas dû lui dire ça. – Oh, ça va ! Je dis ce que je veux ! – Tu te lèves trop tard le matin. – Oh, ça va ! Je ne suis jamais en retard au travail. Evidemment le ton n’est pas le même que quand on dit que tout va bien. C’est un ton agacé. 4. Un ballot un sac, un paquet 5. nase nul / mauvais familier 6. un luthier il fabrique des violons, des altos. 7. Discrètos discrètement. Vous ne trouverez pas ce mot dans le dictionnaire, c’est juste oral et familier 8. être dans le déni refuser de voir la réalité en face 9. le plus belle possible il faudrait dire la plus belle possible. Et même chose pour la suite la plus intelligente, etc… C’est bizarre de mélanger du féminin et du masculin comme ça, même à l’oral, qui est pourtant plus souple. 10. Elle est lourde = elle m’agace, elle est pénible. 11. En gros sans entrer dans les détails 12. Ce n’est pas mon genre ce n’est pas ma manière de faire. Par exemple – Appelle-le ! Insiste ! – Oh, c’est pas mon genre d’insister. J’attends qu’il prenne le temps de me répondre. 13. Dans les coins en cachette, sans se montrer. Et un peu de vocabulaire familier pour terminer, avec les mots qui se terminent par -os, en devenant de l’argot, comme discrètos – calmos= calmement. ça va calmos aujourd’hui. On n’a pas beaucoup de clients. Oh ! Calmos ! C’est quoi, tout ce bruit ici ? – craignos douteux / dangereux. Il est craignos, ce type. C’est craignos ici. Je reste pas ! – nullos nul Tu es un gros nullos ! – chicos chic, élégant Il était habillé chicos pour le mariage de sa sœur! – du matos du matériel Ce photographe, il a du super matos ! – gratos gratuitement Dis-lui que tu viens de ma part. Il te réparera ça gratos. On prononce le s » à la fin de ces mots L’Assemblée Nationale et le Sénat ont déjà voté en première lecture le texte de loi défendu par la Ministre de la Justice sur le mariage pour tous. Il ne s’agit pas de mariage religieux, il s’agit de donner les mêmes droits à tous et de protéger tous les enfants. Mais les opposants ont contribué à créer une situation très malsaine vis-à -vis des homosexuels. Au nom de la morale, de l’intérêt de la famille et de l’enfant, ce sont en fait tout simplement des attitudes homophobes de rejet, de haine qui ont été encouragées. De telles attitudes sont possibles car il est de bon ton chez certains aujourd’hui d’être décomplexé » comme on dit, d’oser exprimer ouvertement et publiquement des opinions jusque-là considérées comme douteuses. Oser dire tout haut ce qu’on pense tout bas. Quand vous entendez le terme décomplexé » aujourd’hui, traduisez-le selon les cas par raciste, xénophobe, homophobe, misogyne, antisémite ou contre les avancées sociales. Bref, tout ce qui est du côté de l’intolérance et de l’obscurantisme. Voici d’abord deux témoignages sur ce climat. Alors, comme cela fait du bien ensuite d’entendre des gens comme Christiane Taubira défendre des idées qui un jour paraîtront tellement évidentes que nos enfants, comme elle le souligne, se demanderont comment notre société pouvait être à ce point en retard ! En tout cas, il y a des gens qui se sentent, je crois, plus autorisés aujourd’hui, beaucoup plus autorisés aujourd’hui à dire des horreurs sur les homosexuels parce que vous avez les principaux leaders de l’opposition à l’égalité des droits, de l’opposition au mariage pour tous qui rajoutent de l’huile sur le feu 1 chaque jour et qui parlent d’un climat qui serait presque un climat de guerre civile . Mais de guerre civile contre qui ? Enfin voilà , donc je pense qu’il faut revenir un peu… qu’il faut… comment dire… revenir un peu à la raison, qu’il faut se détendre, être plus serein et aussi regarder les choses en face 2. Ce projet de loi, il va enlever aucun droit aux hétérosexuels, il va enlever aucun droit aux familles hétéroparentales. Par contre, il pourra permettre aux couples homosexuels, aux enfants qui grandissent dans ces familles qui existent de bénéficier des mêmes droits et des mêmes sécurités que tout le monde. Donc c’est un projet de vivre ensemble, c’est un projet de cohésion sociale, c’est l’inverse de la guerre civile qu’on voudrait nous… nous…. nous décrire. Et donc vraiment, j’appelle en tout cas les principaux leaders de l’opposition à tempérer leurs propos et… et à calmer le jeu 3, voilà . Les mots sont les leurs Ça va péter 4. Nous mènerons jusqu’au bout ce combat. » C’est eux qui mettent en garde. On a peur de ce qu’on constate déjà , qui est un durcissement à la fois du ton et des violences sur la communauté… les communautés LGBT 5, c’est-à -dire que depuis… depuis quelques semaines, on assiste à des agressions ouvertement homophobes, à la fois sur des personnes, comme ça a été largement médiatisé 6 la semaine dernière, et aussi sur des bâtiments, et aussi sur des véhicules. Et on a peur et c’est réel, c’est-à -dire que le durcissement, il a déjà commencé à avoir lieu. On n’est plus dans le respect du processus démocratique. On a en France deux chambres qui votent des lois et on a maintenant des gens qui disent que ces lois ne sont pas démocratiques, qu’ils ne respectent pas le processus démocratique. Pendant les débats à l’Assemblée Monsieur le député, vous n’allez pas nous faire croire que vous vivez dans un igloo et que vous n’avez aucune connaissance de la diversité des familles dans ce pays, que vous ignorez complètement qu’il y a des familles homoparentales dans ce pays, que vous ne savez pas qu’il y a autant d’amour dans des couples hétérosexuels que dans des couples homosexuels, qu’il y a autant d’amour vis-à -vis de ces enfants et que tous ces enfants sont les enfants de la France. Alors oui, monsieur le député, le gouvernement présente un texte de loi de grand progrès, de grande générosité, de fraternité et d’égalité 7. Et nous apportons la sécurité juridique à tous les enfants de France et je dois vous dire que j’en suis particulièrement fière. Vos objections n’ont pas de fondement, sauf une réelle difficulté… sauf une réelle difficulté à inclure dans vos représentations la légitimité de ces couples de même sexe. Mais vos enfants et vos petits-enfants les incluent déjà et les inclueront de plus en plus. Et vous serez bien mal à l’aise lorsque, par curiosité, ils viendront voir les compte-rendus de nos débats. Après le vote Merci à tous pour ces jours et ces nuits 8 passés ensemble pour ces… pour ces sourires, pour ces rires, pour ces confrontations aussi, convictions contre convictions. Les protections et les sécurités que promet ce texte concernent évidemment les conjointes et les conjoints 9, mais par dessus tout les enfants. En cas de séparation, le juge pourra s’en mêler. Il pourra donc protéger la plus vulnérable ou le plus vulnérable des conjointes ou conjoints, mais surtout préserver l’intérêt des enfants 10. En définitive, en définitive 11 , ce projet de loi nous a conduits à penser autrui 12, à consentir à l’altérité. Penser autrui, disait Emmanuel Levinas, relève de l’irréductible inquiétude pour l’autre. C’est ce que nous avons fait tout le long de ce débat. Des explications 1. rajouter de l’huile sur le feu l’expression habituelle, c’est verser / jeter de l’huile sur le feu. Mais l’idée est la même cela signifie que quelqu’un cherche à agraver un conflit, une dispute et tient des propos qui ne vont absolument pas calmer la situation ni contribuer à une discussion. 2. Regarder les choses en face être lucide et réaliste. 3. Calmer le jeu tenter d’apaiser les colères, ramener le calme dans une situation conflictuelle. C’est le contraire de Jeter de l’huile sur le feu ». 4. ça va péter ça va exploser. Le mécontentement va mener à une vraie rupture de l’ordre. familier 5. LGBT Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transgenres 6. médiatiser un événement beaucoup en parler dans les médias télé, radio, internet, presse écrite, etc… 7. fraternité et égalité il s’agit de deux des principes de la République Française, inscrits par exemple à l’entrée des écoles ou dans les mairies Liberté, Egalité, Fraternité. 8. Ces jours et ces nuits elle fait référence à la longueur des débats, qui ont eu lieu aussi la nuit. 9. Un conjoint / une conjointe c’est le terme utilisé pour les gens mariés. 10. L’intérêt des enfants elle répond là à l’accusation des anti-mariage pour tous de mettre en danger les enfants qui ne pourraient pas avoir un père et une mère, qui affirment qu’un enfant ne peut pas grandir normalement avec des parents homosexuels. 11. En définitive pour conclure. 12. Autrui les autres 13. l’altérité concept qui renvoie au fait d’être autre et différent. Vous pourriez aussi écouter et regarder Christiane Taubira ici. Elle y parle de différence, de respect et d’égalité des droits. Femme de culture, de conviction et de grande intelligence Christiane Taubira cite Damas face à Mariton par aussiebum80 J’aime ce que dessine et raconte Chloé Cruchaudet. Dans son album Groënland Manhattan, elle donne corps aux récits d’exploration du Pôle Nord, au temps où Robert Peary ramenait de si loin des météorites et des Esquimaux pour les livrer à la curiosité de ses contemporains. Histoire du déracinement de Minik, enfant puis adulte entre deux mondes. Histoire vraie et reflet d’une époque encore si proche. Histoire banale de la domination d’un monde sur un autre. Chloé Cruchaudet explique dans cette petite vidéo pourquoi elle a eu envie d’entrer dans l’histoire de Minik, avec ses belles couleurs. Transcription L’idée de ma bande dessinée Groënland Manhattan vient de mes goûts en matière de 1 lecture. J’aime beaucoup les récits de voyage, les récits d’explorateurs . C’est quelque chose qui est tellement à l’inverse de ma personnalité pantouflarde 2 que ça m’a toujours fascinée ! Un jour, je suis tombée sur 3 l’histoire vraie d’un petit esquimau qui s’appelle Minik, qui a vécu à l’extrême nord du Groënland, à la fin du 19ème siècle. Et ce petit garçon et quelques membres de sa tribu ont été ramenés par un explorateur américain du Groënland jusqu’à New York. Ce qui m’a beaucoup touchée, c’est que c’est une histoire de déracinement. C’est quelqu’un qui s’est jamais sent bien là où il était à New York, on l’a traité comme le gentil Esquimau polaire, délicieusement exotique. Et une fois de retour chez lui, il a été traité comme un mythomane 4, parce que évidemment, tous les autres membres de sa tribu ne croyaient pas du tout au récit de sa vie New Yorkaise. J’ai vraiment eu l’impression d’avoir les personnages à côté de moi. J’ai eu froid avec eux, j’ai senti les odeurs de New York avec eux et j’espère beaucoup que ça fera le même effet aux lecteurs. Quelques détails 1. en matière de lecture dans le domaine de la lecture 2. pantouflard cet adjectif décrit quelqu’un qui aime rester chez lui, tranquillement, un peu paresseusement, dans ses pantoufles c’est-à -dire ses chaussons. Les pantoufles sont le symbole de l’attachement aux habitudes. 3. tomber sur quelque chose trouver, découvrir quelque chose par hasard. 4. Un mythomane quelqu’un qui s’invente des histoires auxquelles il croit. Il y a beaucoup à regarder et à lire dans cet album, qui se termine par une belle postface, écrite par Delphine Deloget, réalisatrice d’un documentaire antérieur que j’aimerais bien trouver quelque part sur Minik et ses descendants. En voici un court extrait où Delphine la voyageuse parle de Chloé, celle qui se dit pantouflarde ! Lorsque Chloé m’a contactée au sujet de son projet de bande dessinée sur Minik, j’ai remis le nez dans mes cartons, ressorti des photos, des archives sur l’histoire des Esquimaux de New York. Avec elle, j’ai replongé dans mes souvenirs et mes impressions de voyage à Thulé. Chloé se révélait de son côté une véritable enquêtrice. Elle ne laissait rien passer. Elle relevait certains détails de l’histoire qui m’avaient échappé. Son imaginaire au travail, elle allait redonner chair à l’histoire de Minik. Moi qui n’avais fréquenté Peary et Minik que par l’intermédiaire de photos en noir et blanc, je les redécouvrais maintenant en couleur, animés d’expressions si pleines de vérité. Elle avait créé en nuances ce qui précède et ce qui suit les événements rapportés par les archives, reconstituant ce qui m’avait si souvent manqué lors de ma propre enquête. L’histoire prenait vie et dépassait les simples faits historiques pour toucher l’intime d’un récit à la fois rocambolesque et poignant. Allez regarder ici aussi, pour vous en rendre compte. C’est beau ! Enfant, il aimait lire. Puis il a aimé raconter des histoires à sa fille. Et il s’est mis à les écrire et à les dessiner lui-même. Ce sont des livres qui habitent toujours sur mes étagères ! Impossible de m’en séparer, même si mes fils ont passé l’âge qu’on leur lise des histoires. Un univers de couleurs et de mots, de jeux avec les mots, l’univers de Claude Ponti. Ce sont de beaux voyages à chaque lecture. Le peloton de la troupe 1 est un peu mièvre 2. Mais c’est aussi une demande. Les temps étant vraiment très durs, des gens ont du mal à prendre des livres pour leurs enfants qui soient pas un peu édulcorés 3 parce que ils croient protéger leurs enfants en leur donnant du doux, du tendre, du facile. Il y a des grands, grands en ce moment mais il y a un retour à la cucunerie » 4, au bleu pour les garçons, au rose pour les filles, que je déteste. – Vous vous souvenez des illustrations 5 qui accompagnaient les histoires que vous lisiez, ou qu’on vous lisait quand vous étiez petit, ou pas ? – Oh bah oui ! Oui, oui. Alors, déjà , il faut dire que je suis relativement jeune ! – Oui ! – Et quand j’étais très, très jeune, il y avait beaucoup moins de livres quand même qu’aujourd’hui. Donc… Alors, j’avais… – Il y avait Le Père Castor 6, il y avait… – Oui, il y avait tout ça mais j’avais aussi une mère enseignante 7. Donc j’avais accès à plus de livres que… que d’autres, de… de par 8 l’école. Mais j’ai eu à peu près les mêmes chose qu’avaient les autres des Père Castor, des… des je sais plus quoi 9, machin Argent et truc 10, et tout ça. Et puis… A ma fille, j’ai beaucoup lu. J’ai beaucoup lu d’histoires. Je lui en ai inventé beaucoup. D’ailleurs, ce qui est… Elle m’a dit il y a pas longtemps que c’est… Elle s’est mise à 11 lire tard. Elle m’a dit C’est normal, tu me racontais des histoires tous les soirs et… Pourquoi veux-tu que… que j’aie envie de lire… » – Que j’aille les chercher ailleurs, c’est ça ? – Moi je considère que ce que je fais est… est une simple transcription de la réalité. Donc je… je cache… – Ah oui ? – Oui. Je cache rien. Bah il y a… il y a de la mort, il y a de l’accident, il y a des tas de 12 choses. Je cache 13 rien de… Mais je… je mets tout… C’est-à -dire, moi, ce qui m’intéresse, c’est que… c’est de considérer l’enfant évidemment comme une personne mais comme une personne en développement, c’est-à -dire que toute… toute l’activité d’un… d’un enfant, dès le départ, c’est… c’est de chercher à acquérir, comprendre, expérimenter et grandir. Donc moi, je travaille… je travaille…enfin 14, je fais… Je raconte de l’histoire que là -dessus. Donc… et pour montrer que… que quels que soient les problèmes, il y a toujours un moyen d’y arriver et de s’en sortir. – C’est vrai ! Parce que il y a des… Il y a des peurs, il y a des peurs terrifiantes dans… dans vos livres ! Il y a des monstres dévoreurs d’enfants. – C’est normal d’avoir peur. C’est plutôt bien, si on y arrive, de la surmonter. Si on n’y arrive pas, on peut trouver des biais, contourner les murs, etc… Mais… Je pense qu’aux enfants et à voir comment… et leur dire que, non, c’est pas vrai, c’est-à -dire même si on te coupe les deux jambes au départ, tu arriveras à faire un truc. Il y a pas… Personne n’a pas d’enfance. C’est pas vrai, c’est de la mythologie. On dit Ah, j’ai pas eu d’enfance. » Mais si, tu as eu une enfance ! Elle était peut-être un peu merdique 15 mais tu en as eu c’est… Il y a pas de quoi s’énerver 16 ! Tu arriveras à faire autre chose plus tard ou… Voilà , c’est… ! Des explications 1. le peloton de la troupe cela signifie la majorité, la plupart ici, il parle de la majorité des auteurs pour enfants. En fait, on dit plus souvent Le gros de la troupe. 2. mièvre gentil et fade mais pas très intelligent. 3. édulcoré adouci artificiellement, en gommant la réalité. 4. la cucunerie je connais plutôt la cucuterie mais c’est pareil ! Cela désigne tout ce qui est cucul , c’est-à -dire pas méchant mais pas très intelligent. C’est la façon familière de dire mièvre, niais. On dit aussi gnangan. 5. les illustrations les dessins 6. Le Père Castor c’est une collection d’histoires pour les enfants. 7. une mère enseignante sa mère était institutrice. 8. de par grâce à 9. des je sais plus quoi façon familière de dire qu’il ne se souvient pas des titres. 10. machin Argent et truc Il veut parler d’une collection qui s’appelait Les petits livres d’argent ». Mais il ne se souvient pas précisément, donc les mots familiers machin » et truc » très vagues lui servent à suggérer ça. 11. se mettre à faire quelque chose commencer à faire quelque chose. 12. des tas de beaucoup de familier 13. je cache rien on entend plutôt Je casse rien », mais il ne se corrige pas. 14. je travaille… enfin… l’utilisation de enfin » signifie qu’il se corrige, qu’il veut nuancer le mot qu’il vient juste d’employer, pour mieux exprimer son idée. 15. merdique raté très familier, puisque basé sur merde ». 16. Il y a pas de quoi s’énerver on emploie cette expression pour dire à quelqu’un de rester calme, de prendre les choses, les problèmes tranquillement. Voici un extrait que j’ai enregistré, pour que vous fassiez connaissance avec Hipollène, au cours de son voyage. J’aime les noms de toutes ses grand-mères. Et j’aime les miroirs qui réfléchissent ! Apparemment, il y a deux poids deux mesures selon l’endroit où on habite en France. Deux poids deux mesures, cela signifie qu’on n’est pas traité de la même façon. Petit détail de la vie quotidienne mais plutôt surprenant ! Transcription Les consommateurs d’Outre-Mer 1 peuvent constater que plusieurs produits de consommation courante – spécialités laitières 2 ou sodas – ont une concentration en sucre supérieure à celle des mêmes produits de marque identiques vendus en France hexagonale 3. Et si certains avancent que des facteurs culturels, socio-économiques expliquent en partie ces différences, il ne faut pas sous-estimer la responsabilité des industriels de l’agro-alimentaire dans la progression de ce fléau qu’est l’obésité. A titre d’exemple, en Guadeloupe et en Martinique, 8,9 % 4 des enfants de 5 à 14 ans souffrent d’obésité et 14 % de surpoids. En Polynésie française, ces pourcentages sont respectivement de 18 et de 15 %. Quelques détails 1. l’Outre-Mer ce terme désigne les départements les DOM et les territoires les TOM français dans le monde. 2. Les spécialités laitières il s’agit des yaourts, des fromages blancs, des petits-suisses, des crèmes dessert, qui occupent une très grande place dans les supermarchés français, en plus des rayons réservés aux fromages. Les Français consomment beaucoup plus de laitages que de lait en fait. Comparé à d’autres pays, on trouve beaucoup de laitages natures, c’est-à -dire non sucrés. Mais il y a aussi beaucoup de préparations sucrées, dont beaucoup d’enfants et d’ados font leur dessert. 3. La France hexagonale ce terme désigne le territoire français en Europe, à cause de sa forme d’hexagone. 4. 8,9 % on dit Huit virgule neuf pour cent. La virgule est l’équivalent français du point dans d’autres pays dans les nombres décimaux. Mannequins à CayenneEt ensuite, il faut que les femmes ressemblent à ces mannequins ? . 309 414 201 484 370 374 309 193