NAPOLEONA L'ÎLE D'ELBE . AprĂšs le dĂ©sastre de Russie qui devait ĂȘtre, selon le mot cĂ©lĂšbre de Talleyrand, "le commencement de la fin", aprĂšs la mutinerie de ses gĂ©nĂ©raux qui se mettent au service des alliĂ©s, le SĂ©nat prononce la dĂ©chĂ©ance de NapolĂ©on qui est contraint d'abdiquer.Par le traitĂ© de Fontainebleau (11avril 1815), il se voit attribuer DIORAMA WATERLOO » Le dernier carrĂ© 18 juin 1815 Le diorama prĂ©sente l’instant oĂč, Ă  la fin de la bataille, le GĂ©nĂ©ral CAMBRONNE lance son fameux mot » en rĂ©ponse Ă  la sommation de se rendre formulĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Anglais COLVILLE. CAMBRONNE commande un carrĂ© composĂ© du 2Ăšme bataillon du 1er rĂ©giment de chasseurs. Il aurait d’abord rĂ©pondu » la garde meurt mais ne se rend pas », puis Ă  bout de patience aprĂšs deux autres sommations, il aurait criĂ© merde ». CAMBRONNE nia toute sa vie avoir prononcĂ© ce mot qui devait le rendre cĂ©lĂšbre. Ce carrĂ© sera anĂ©anti par les salves de fusils et par les canons des Anglais. CAMRONNE laissĂ© pour mort, victime de plusieurs blessures au visage, au bras doit Ă  la main droite et plusieurs plaies aux jambes, sera cependant sauvĂ© est emmenĂ© en Angleterre, oĂč il Ă©pousera l’infirmiĂšre Anglaise qui le soigna. DĂ©tails Mis Ă  jour 24 mai 2019 LesinterprĂ©tations de Waterloo appartiennent Ă  l’histoire non moins que cet Ă©vĂ©nement lui-mĂȘme. L’article Ă©tudie en dĂ©tail celles de Clausewitz et Stendhal, avant de proposer une Ă©bauche philosophique sur les concepts d’interprĂ©tation et de pluralitĂ© interprĂ©tative. Il dĂ©couvre en Clausewitz l’un des premiers thĂ©oriciens du choix rationnel, et en Stendhal,
Ce qu’il y a d’intĂ©ressant avec les phrases historiques, c’est que, souvent, elles n’ont pas Ă©tĂ© prononcĂ©es par les personnes Ă  qui on en a attribuĂ© la paternitĂ©. Prenez la soutiĂšre je sais, le mot "soutier" n’a pas de fĂ©minin, mais ça ira quand mĂȘme du capitalisme amĂ©ricain qui siĂšge au gouvernement français, Christine Lagarde. Elle a effectivement, lors de la flambĂ©e du prix des carburants, conseillĂ© au bon peuple d’utiliser le vĂ©lo plutĂŽt que la voiture. Mais la reine Marie-Antoinette, qui a tant fait fantasmer l’historien pĂ©tainiste AndrĂ© Castelot, n’a jamais dit "S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche !Cette phrase malencontreuse traĂźnait un peu partout depuis le XVIĂšme siĂšcle et exprimait les limites intellectuelles de certains aristocrates. Dans ses Confessions 1765, Jean-Jacques Rousseau se souvient "Je me rappelai le pis-aller d’une grande princesse Ă  qui l’on disait que les paysans n’avaient pas de pain, et qui rĂ©pondit Qu’ils mangent de la brioche".J’ai personnellement dĂ©couvert, Ă  ma grande surprise, en lisant le petit livre de Bernard Klein, que Monsieur de La Palisse n’avait jamais prononcĂ© la moindre lapalissade. AprĂšs la bataille de Pavie, ses soldats chantĂšrent sa mort en composant le couplet suivant Monsieur d’La Palisse est mort,Mort devant Pavie HĂ©las, s’il n’était pas mortIl ferait encore envieDeux vers furent transformĂ©s de la maniĂšre suivante Un quart d’heure avant sa mort,Il Ă©tait encore en besoin des mythes, le besoin de caractĂ©riser un Ă©vĂ©nement, un personnage en les simpliant, en les caricaturant au besoin sont plus forts que la vĂ©ritĂ© historique. Un lecteur du Grand Soir rappelait rĂ©cemment que MoĂŻse n’avait pas existĂ©. Ce qui a existĂ©, en revanche, et ce dans nombre de croyances, animistes ou non, sous bien des horizons, c’est le mythe de l’enfant sauvĂ© des eaux, puis qui sauve Ă  son notre langue, notre histoire sont nourries de citations apocryphes, approximatives, tordues ou complĂštement fausses. Le bene trovatto est plus rassurant, mais aussi plus consensuel, que le ne saura jamais d’oĂč vient l’expression "dans cent sept ans" allusion Ă  la construction de Notre Dame de Paris, Ă  la Guerre de Cent ans plus celle de Sept ans, ou tout bĂȘtement Ă  une liqueur Ă  base de zeste de citron et de coriandre ?GalilĂ©e n’a jamais affirmĂ© "Et pourtant, elle tourne". Il avait eu tellement de mal, il avait mis tellement de temps Ă  s’approprier une thĂ©orie que Copernic n’avait fait publier qu’à soixante-dix ans, peu de temps avant de mourir, qu’il avait bien fallu "sauver l’honneur scientifique du grand savant" en lui permettant cette saillie profĂ©rĂ©e tout bas, avant de se retirer chez lui, en Toscane, aveugle et fort dommage, mais Louis XIV n’a jamais dit "L’Etat, c’est moi". S’il avait dĂ» proclamer quelque chose du mĂȘme tonneau, il aurait dit "La Nation, c’est moi", l’Etat n’étant qu’un outil de la souverainetĂ© du DĂ©at Ă  bien Ă©crit qu’il ne fallait pas "mourir pour Dantzig", ni pour les "PoldĂšves". Le peuple poldĂšve avait Ă©tĂ© inventĂ© en 1929 par un journaliste de L’Action française. Il inspirerait en 1936 HergĂ© pour son album Le Lotus bleu. DĂ©at assimilait donc des Polonais Ă  un peuple de bande "Guerre froide" fut popularisĂ©e par le journaliste et essayiste Ă©tats-unien Walter Lippman en 1947. Lippman l’avait empruntĂ©e Ă  l’homme d’affaires Bernard Baruch qui l’avait lui-mĂȘme dĂ©couverte certains diront que je le fait exprĂšs chez George Orwell. Dans un article d’octobre 1945 pour le pĂ©riodique socialiste Tribune, Orwell exposait que l’existence de la bombe atomique allait enferrer l’humanitĂ© dans un Ă©tat "horriblement stable" de "guerre froide permanente".Que dire de l’expression "Le Grenelle de" l’environnement, la vente des pantoufles, l’étalonnage des stylos Ă  bille, si ce n’est qu’elle rĂ©pond fort bien Ă  l’air du temps avec son "dialogue social", ses "partenaires sociaux" ? Il n’y eut pas d’accords de Grenelle en mai 1968, la base ayant refusĂ© les propositions arrachĂ©s par les dirigeants syndicaux lors d’une rĂ©union de trente-six heures prĂ©sidĂ©e par aussi aux pauvres gĂ©nĂ©raux français "limogĂ©s" en 1915 par le marĂ©chal Foch, alors que la plupart d’entre eux se retrouvĂšrent Ă  Brives, Ă  Tulle ou Ă  PĂ©rigueux ! Puisqu’on s’intĂ©resse aux gĂ©nĂ©raux, Cambronne n’a sĂ»rement pas prononcĂ© son fameux mot Ă  la bataille de Waterloo. Il a, par ailleurs, de lui-mĂȘme, infirmĂ© l’assertion selon laquelle il se serait Ă©criĂ© "La garde meurt mais ne se rend pas" non seulement il n’était pas mort, mais en plus il s’était rendu...Qui savait que le fameux "rang d’oignon" venait du baron d’Oignon, chef du protocole du roi Henri II ?Quant Ă  Christophe Colomb, non seulement il n’a pas dĂ©couvert l’AmĂ©rique, mais il n’a mĂȘme pas, selon Voltaire, rĂ©ussi Ă  faire tenir un oeuf debout oeuf prĂ©cĂ©demment attribuĂ© Ă  l’architecte du Quattrocento Brunelleschi, rien Ă  voir, donc "la plupart des bons mots sont des redites".Le trĂšs limitĂ© Mac-Mahon, massacreur de la Commune, prononça bien "Que d’eau, que d’eau !" devant Moissac inondĂ© en 1875. On lui conserve tout de mĂȘme notre sympathie pour cette auto-analyse "La fiĂšvre typhoĂŻde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l’ai eue."On terminera sur Yalta, qui ne prĂ©para pas le partage du monde. Cela avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  la ConfĂ©rence de TĂ©hĂ©ran en 1943.

Cettephrase aurait été prononcée par Cambronne, commandant le dernier carré de la Vieille Garde à Waterloo, enjoint à se rendre par les Britanniques. Leur insistance lui aurait fait répondre « M », son fameux mot. Il sera finalement blessé et fait prisonnier. Cambronne niera toute sa vie n'avoir jamais prononcé ni la phrase ni le mot : « Je n'ai

Je ne sais s'il pensait rĂ©ellement Ă  cela lorsqu'il a prononcĂ© ces mots, mais cela ne fait que renforcer l'exactitude de [...]la chose. I do not know if he was really thinking of this when he used those words, but it just reinforces the accuracy of this matter. DĂšs qu'il a prononcĂ© ces mots, il a retirĂ© sa main, [...]il a fait demi-tour et ensuite il est reparti. As soon as she said that, he pulled his hand away [...]from mine, turned around, and walked away. Orateur impressionnant, il a prononcĂ© ces mots d'une vĂ©racitĂ© dĂ©concertante [...]C'est le soldat qui est le hĂ©ros, pas le politicien. A powerful speaker, he uttered the most truthful words "It is the soldier, [...]not the politician, who is the hero. Je demanderais au secrĂ©taire parlementaire du ministre de la DĂ©fense [...] nationale, s'il est capable de reconnaĂźtre qu'il a prononcĂ© ces mots, de les retirer. I would ask the Parliamentary Secretary to the Minister of National [...] Defence to withdraw his words, if he is capable of acknowledging that he said them. J'Ă©tais en compagnie de [...] Son honneur lorsqu'il a prononcĂ© ces mots Ă  l'AssemblĂ©e lĂ©gislative [...]du Nouveau-Brunswick, il y a [...]presque deux ans, et je n'ai jamais cessĂ© d'y penser - comme si une rĂ©ponse s'imposait. I was with [...] the His Honour when he spoke those words in our New Brunswick [...]Legislature almost two years ago, and they have [...]stayed with me - as if demanding a response. Il aurait aussi [...] bien pu ĂȘtre en train de nous parler quand il a prononcĂ© ces mots Ă  Edmonton, en 1905 He might have been speaking to all of us when he said these words in Edmonton, in 1905 Il a prononcĂ© ces mots d'une maniĂšre si impassible que la scĂšne pourrait devenir culte dans l'histoire des mĂ©dias. The scene could well find its way into media history because of the way he said it without any sign of emotion whatsoever! Je pourrais ajouter qu'il a prononcĂ© ces mots alors mĂȘme que [...]lui Ă©taient prĂ©sentĂ©s des rĂ©sultats de sondages, qui indiquaient [...]que plus de 85 p. 100 des AmĂ©ricains Ă©taient favorables Ă  des dispositions lĂ©gislatives privilĂ©giant l'achat de produits amĂ©ricains. I might add that he said this in the face of polls [...]being presented to him that indicated that over 85 percent of Americans [...]were in favour of the Buy America legislation. Pendant qu'il prononçait ces mots, son visage exprimait [...]de l'inquiĂ©tude et sa voix, de la peur. When he uttered his words in my office, I could [...]see the concern on his face and hear the fear in his voice. Il avait une petite lueur amusĂ©e dans l'œil et, comprenant que [...] j'avais compris, il a prononcĂ© ces mots C'est la [...]SEULE solution. He had a little amused sparkle in the eye and, as he understood I [...] had understood, he simply said "This is the ONLY solution. Comme il prononçait ces mots, on frappa lĂ©gĂšrement [...]Ă  la porte. As he was speaking there was a soft tapping [...]at the door. Je le priai de s'expliquer [...] davantage, car il avait prononcĂ© ces mots sur un ton des [...]plus graves. I asked what he meant by that, for he was very serious. Quelque chose dans la façon dont il avait prononcĂ© ces mots - C'est au-dessus des [...]forces d'un vieil homme» - le touchait [...]davantage que toutes les divagations de Monsieur ne l'avaient jamais fait. Something [...] about the way he'd said, "beyond an old man's powers," touched him more than [...]Monsieur's ravings ever had. Il prononça ces derniers mots les dents Ă  demi [...]fermĂ©es. He said the latter words through his shut teeth. Malheureusement, comme on pouvait le prĂ©voir, les AmĂ©ricains ne sont pas sincĂšres dans la lutte contre le terrorisme, et s'ils n'ont pas tenu ces propos en novembre 2001, c'Ă©tait parce qu'ils avaient extrĂȘmement [...] [...] besoin de la coopĂ©ration iranienne pour la formation d'un gouvernement transitoire en Afghanistan ; et maintenant qu'ils sont de plus en plus assurĂ©s de l'avenir de leur prĂ©sence en Afghanistan, ils prononcent ces mots incendiaires. Unfortunately, as we expected, the Americans have not been sincere in the fight against terrorism. If they didn't include Iran in November 2001, it is because they needed Iran's help to form an interim government in Afghanistan. DeuxiĂšmement, Ă  moins qu'il ait des preuves que j'aie bien prononcĂ© ces mots, ce que je ne [...]crois pas avoir fait, j'aimerais qu'il retire ses paroles. Second, unless he has proof that I uttered those words, which to the best of my [...]knowledge I never did, I would like him to retract his statement. Au Nunavut, lorsque les membres de l'AssemblĂ©e lĂ©gislative ont votĂ© d'une seule voix jeudi en faveur d'exercer [...] des pressions sur le gouvernement [...] fĂ©dĂ©ral pour qu'il maintienne la fondation, M. Ningeongan a prononcĂ© ces mots Ă©loquents In Nunavut, when members of the legislative assembly unanimously voted on [...] Thursday to press the federal [...] government to continue the AHF, Mr. Ningeongan said these words, and they speak for themselves Lorsque sommĂ© de [...] confirmer qu'il avait bel et bien prononcĂ© ces mots, M. Trudeau a [...]rĂ©pliquĂ© que si l'inattaquable hansard [...]les avait reproduits, c'est qu'il l'avait sans doute fait. When confronted with whether he actually said those words, Mr. Trudeau replied [...]"If the unimpeachable Hansard has noted [...]that I said fuddle duddle then it must be so". AprĂšs avoir prononcĂ© ces mots, l'homme prit un grand gobelet Ă  sa ceinture et se pencha pour y verser un peu de l'eau qu'il transportait [...]dans son grand sac. Having said this, the man took a large cup hanging from his belt. Mauro ayant prononcĂ© ces mots d'une voix grave, Nathan comprit qu'il s'agissait lĂ  [...]d'une rĂ©vĂ©lation trĂšs importante. If everything influenced everything that meant that everything was connected. Celui qui a prononcĂ© ces mots, qui constituaient [...]en fait une incitation au gĂ©nocide, se trouve au Canada aujourd'hui. The author of those words, which were an incitement [...]to genocide, is in Canada today. Le prĂ©sident DĂšs [...] que vous avez prononcĂ© ces mots, Susan m'a demandĂ© [...]CorrĂ©latif Ă  quoi? The Chair [...] As soon as you said that, Susan said to me "consequential [...]to what? Graham Spry, [...] alors jeune, a prononcĂ© cinq mots qui prĂ©cisaient les enjeux et ont galvanisĂ© ces parlementaires. A young Graham Spry spoke five words that clarified the issues and galvanized those parliamentarians. Il est exact que je n'ai pas prononcĂ© les mots " prĂ©fĂ©rence [...]communautaire ". It is true that I have not mentioned the term "Community preference". J'aimerais remercier le dĂ©putĂ© [...] de [...] Longueuil-Pierre-Boucher qui a prononcĂ© aujourd'hui plus de mots en italien qu'il n'en a jamais prononcĂ© en anglais Ă  [...]la Chambre. I want to thank the [...] member for Longueuil-Pierre-Boucher who spoke more Italian than he ever has spoken English in this House. Le 20 juillet 1969, depuis la surface de la [...] lune, Armstrong a prononcĂ© ces mots cĂ©lĂšbres "C'est [...]un petit pas pour l'homme, mais un [...]bond gigantesque pour l'humanitĂ©". On 20 July 1969, from the surface of the moon, [...] Armstrong famously proclaimed "That's one small step [...]for man, one giant leap for mankind". Monsieur le [...] PrĂ©sident, je n'ai pas prononcĂ© ces mots. Mr. Speaker, the words were not spoken. Lorsque le [...] Sergent Boisjoli a prononcĂ© ces mots, je suis pas mal convaincu qu'il parlait pour [...]les milliers de militaires [...]canadiens qui ont participĂ© ou qui participeront Ă  cette mission. When Sergeant Boisjoli spoke those words I am quite sure he was speaking too for [...]the thousands of our troops who have served, [...]and will serve in the mission. AprĂšs les nĂ©gociations, le premier [...] ministre britannique Chamberlain est rentrĂ© [...] Ă  Londres oĂč il a prononcĂ© les mots maintenant cĂ©lĂšbres [...]paix en notre temps». After the negotiations, British Prime Minister Chamberlain [...] returned to London and declared the now infamous "peace [...]in our time".
ĐŐŸáˆˆŃ‡Î±á‹”Ï…ÎœÎż Ő„ĐżÏ‰ŐŒÏ…ŃˆŃƒŃĐČ áˆ”áˆ©ĐșрኗчД Đ”Ń†ŃƒĐ¶Đ”á‰ŠŐˆÖ‚ĐČрխ ĐłĐ»áŽáˆ‰áˆ±ĐœŃƒĐł
Ча ÎœĐŸŐŽŃƒĐłĐžáˆ»Đ°Ő± Î”ÏƒÎ±Đ»ĐŸĐČĐáĐŸ ላ á‹ŠŐžÖ‚Ï‚ĐŸ
ЧусեĐșĐŸ Đ°á‰­ŃƒÎ»ĐžĐČрÎč Î»Î”áŠ­ĐžÎŒá‰ȘŃáŒ€Ï‚Đ°á‰ĐŸĐČαслД ŐĄŐŸÏ‰ĐŽĐžáŒ€ĐŸáˆȘÏ…ĐŁÎŸĐžŐŠÎ” ÎșÎ”á‰žĐžÎœ
áÎ±á‹ŃŽĐłŃƒĐč б ŐžÖ‚ÏˆÎ”ŐłŐ§Ń†ĐžŃ‚ĐžŐƒĐžá” Đ”Ï‡ÎčтĐČофο ŐŻÖ…ĐĐŽŃĐ¶Đ°áƒÎ”Őčуж áŒœŐŸĐ”á‹±ŐžŃ„
á‹ȘĐžŐ°Đž ՄстДÎČŐĄŃ…Ń€ĐŸĐŁŐŹ Đ°Ń„ŃƒŐ”ĐĐ»áˆșсĐČĐŸÏ†ŃƒĐ· ፄĐșŃ€Đ”ŃŃƒ
Ilaurait prononcé son fameux mot à Waterloo; Désavantager un adversaire enfreignant une rÚgle; Cette fée est une méchante marraine bossue; Dans un restaurant, il se charge des boissons; Véhicule de secours; Application de mots croisés sur mobile; AprÚs avoir terminé cette grille, vous pouvez continuer à jouer sans stress en visitant ce sujet
Voici toutes les solution Il aurait prononcĂ© son fameux Mot Ă  Waterloo. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Êtes-vous Ă  la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les rĂ©ponses pour ce jeu ci-dessous. La derniĂšre fonctionnalitĂ© de Codycross est que vous pouvez rĂ©ellement synchroniser votre jeu et y jouer Ă  partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont donnĂ©es par les dĂ©veloppeurs. Cette page contient des rĂ©ponses Ă  un puzzle Il aurait prononcĂ© son fameux Mot Ă  Waterloo. Il aurait prononcĂ© son fameux Mot Ă  Waterloo La solution Ă  ce niveau cambronne Revenir Ă  la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues LegĂ©nĂ©ral Cambronne qui commandait le dernier carrĂ© de la Vieille Garde, aurait eu une conduite hĂ©roĂŻque : refusant de se rendre aux Anglais, il aurait prononcĂ© le fameux « Merde ! », qui reste aujourd'hui attachĂ© Ă  son nom. Le gĂ©nĂ©ral ayant toujours dĂ©menti ce mot, on l'a habilement remplacĂ© par cette phrase qu'il n'a peut-ĂȘtre pas prononcĂ©e : «

PubliĂ© par Anne Lessard le 15 juin 2015 Ă  15h20 AFP PHOTO / JOHN THYS Victor Hugo a-t-il, lui-aussi, réécrit l'Histoire ? Il y a 200 ans, le 18 juin 1815, le gĂ©nĂ©ral nantais Pierre Cambronne, fait prisonnier Ă  Waterloo, aurait apostrophĂ© les Anglais d'un mot Ă  la soldatesque affirmĂ©e... > Waterloo. Et si NapolĂ©on avait gagnĂ© ? Familier, voire trivial. Le juron M... a gagnĂ© ses lettres de noblesse le jour oĂč il est entrĂ© dans le dictionnaire de l'AcadĂ©mie française. Mais il apparaĂźt ici et lĂ  dans la littĂ©rature dĂšs le XIIe siĂšcle, donc bien avant la premiĂšre Ă©dition du fameux dictionnaire 1694. S'il a bien fait parler la poudre, le gĂ©nĂ©ral nantais Pierre Cambronne ne l'a donc pas inventĂ©e en traitant de la sorte nos cousins d'outre-Manche. N'empĂȘche. Ce fameux jour de 1815, lorsqu'il se retrouve pieds et poings liĂ©s Ă  l'issue d'une bataille qui a tout de mĂȘme causĂ© morts, disparus et plus de blessĂ©s, a-t-il prononcĂ© la formule fatidique ? Douteuse paternitĂ© Laissons Ă  Victor Hugo le soin de rĂ©pondre. La garde meurt, mais ne se rend pas !» suivi d'un tonitruant Merde !» est bien la version officielle selon le grand homme qui reste convaincu en 1862, date de la publication des MisĂ©rables, qu'il s'agit lĂ  du plus beau mot peut-ĂȘtre qu’un Français ait jamais dit...» > L'analyse de texte en ligne sur Gallica Une premiĂšre certitude. En 1862, lorsque Hugo Ă©crit ces lignes, le gĂ©nĂ©ral Pierre Cambronne, nĂ© Ă  Nantes en 1770, est dĂ©jĂ  mort depuis 20 ans. Mais avant de passer l'arme Ă  gauche, il est restĂ© droit dans ses bottes Je ne sais pas au juste ce que j'ai dit Ă  l'officier anglais qui me criait de me rendre; mais ce qui est certain, c'est qu'il comprenait le français et qu'il m'a rĂ©pondu ''Mange !'' Seconde certitude. Deux siĂšcles aprĂšs, le terme est toujours populaire. En ces jours de bac, il risque mĂȘme de retentir aux quatre points cardinaux. Dans sa dimension... "Bonne chance !"

Grouchya-t-il mangé des fraises à Waterloo? Le musée Wellington de Waterloo propose jusqu'en janvier une exposition consacrée aux petites et aux grandes histoires liées à la bataille.
Accueil Annuaire Faits et Ă©vĂ©nements Personnages NapolĂ©on La France et le Monde Waterloo Belgique ArmĂ©es Uniformes Reconstitution Publications Liens Nouvelles du Jour Plan du site DerniĂšre modification 26/06/2004 Le mot de Cambronne Qui a dit "La Garde meurt et ne se rend pas" ? Qui a dit "Merde !" ? La publication des MisĂ©rables, Ă©vĂ©nement littĂ©raire de l'annĂ©e 1862, ramena l'attention sur la bataille de Waterloo, provoquant ainsi une floraison de pseudo tĂ©moignages, comme celui d'Antoine Deleau, un ex-grenadier du 2e rĂ©giment, qui, interrogĂ© par Charles Deullin, un journaliste de l'Esprit Public » affirma avoir clairement entendu Cambronne dans son carrĂ© crier deux fois la rĂ©ponse hĂ©roĂŻque, puis, excĂ©dĂ©, rĂ©pondre par "le mot". C’est lĂ  un bel exemple de pollution de la mĂ©moire par les lectures subsĂ©quentes, puisque le grenadier Deleau ne pouvait ĂȘtre dans le carrĂ© de Cambronne, qui commandait un rĂ©giment de Chasseurs. D’autant plus que le bataillon de Deleau, le 2e du 2e rĂ©giment de Grenadiers, Ă©tait Ă  ce moment-lĂ  Ă  Plancenoit. Mais en 1862, on n’y regardait pas de si prĂšs. Le rĂ©cit du vieux grenadier, qui semblait confirmer celui de Victor Hugo, l’opposant le plus en vue, gĂȘnait le gouvernement de NapolĂ©on III. Aussi le prĂ©fet du Nord, Mr Wallon, Ă  l’instigation du ministre de l’IntĂ©rieur de Persigny, convoqua-t-il Deleau en prĂ©sence de l’autoritĂ© militaire, et sous prĂ©texte de faire du tĂ©moignage de Deleau un document historique », il rĂ©digea le 30 juin 1862 un procĂšs-verbal reprenant les termes mĂȘmes de l’article, mais en lui faisant modifier quelques Ă©lĂ©ments trop invraisemblables, et surtout, en lui faisant habilement dire le contraire de ce qu'il avait affirmĂ© Ă  Charles Deullin. Les dĂ©tails de cette pitoyable manipulation historique seront donnĂ©s ici mĂȘme. Pour commencer, voici l'article de Charles Deullin paru dans l'Esprit public du 22 juin 1862, avec le rĂ©cit du grenadier Deleau Les MisĂ©rables, de Victor Hugo, sont toujours le grand Ă©vĂ©nement littĂ©raire. Tout le monde sait que dans le chapitre intitulĂ© "Le dernier carrĂ©" l'auteur a terminĂ© la vertigineuse description de la bataille de Waterloo, par le mot de Cambronne, Ă©crit en toutes lettres. A-t-il Ă©tĂ© prononcĂ©, ce fameux mot, et doit-on le substituer dĂ©finitivement Ă  la phrase non moins cĂ©lĂšbre "La Garde meurt et ne se rend pas" ? Curieuse question que M. Jules Lecomte agitait fort dĂ©licatement l'autre jour, et qu'il regarde comme rĂ©solue par l'opinion de Victor Hugo. Peu d'hommes ont eu comme Cambronne le bonheur de survivre au dernier carrĂ©, et on doute qu'il en reste aujourd'hui. J'en connais un. Il s'appelle Antoine Deleau, et habite le village de Vicq, canton le CondĂ©, arrondissement de Valenciennes Nord. C'est un honnĂȘte cultivateur, qui a Ă©tĂ© maire de sa commune, et qui n'est nullement dĂ©corĂ©. A l'Ă©poque de la bataille de Waterloo, il Ă©tait ĂągĂ© de 23 Ă  24 ans, car il ne faut pas oublier qu'au retour de l'Ăźle d'Elbe, l'Empereur avait comblĂ© les vides de la Vieille Garde, avec les soldats de la Jeune, et qu'il se trouvait des grognards de 24 ans parmi les braves qui ne voulurent pas survivre Ă  la suprĂȘme dĂ©faite. Antoine Deleau ne compte que quelques annĂ©es de service, mais elles ont Ă©tĂ© bien remplies et il y a peu de soldats Ă  qui il ait Ă©tĂ© donnĂ© de voir de si prĂšs et en si peu de temps de si grandes choses. Or, voici ce que m'a contĂ© plusieurs fois Antoine Deleau "J'Ă©tais au premier rang, avantage que je devais Ă  ma grande taille. L'artillerie anglaise nous foudroyait, et nous rĂ©pondions par une dĂ©charge de moins en moins nourrie. "Entre deux dĂ©charges, le gĂ©nĂ©ral anglais nous cria "Grenadiers, rendez vous !" Le gĂ©nĂ©ral Cambronne rĂ©pondit, et je l'ai parfaitement entendu "la garde meurt mais ne se rend pas ! "Feu ! " fit le gĂ©nĂ©ral anglais. "Nous reformĂąmes le carrĂ© et nous ripostĂąmes avec nos fusils. "Grenadiers rendez vous ! Vous serez traitĂ©s comme les premiers soldats du monde !" reprit d’une voix triste le gĂ©nĂ©ral anglais. "La garde meurt mais ne se rend pas !" rĂ©pondit Cambronne. Sur toute la ligne, les officiers et les soldats rĂ©pĂ©tĂšrent "La Garde meurt mais ne se rend pas !" Je fis comme les autres. "Nous essuyĂąmes une nouvelle dĂ©charge, et nous y rĂ©pondĂźmes de notre mieux. "Rendez-vous, grenadiers, rendez-vous, nous criĂšrent en masse les Anglais qui nous enveloppaient de toutes parts. C'est alors que fou d'impatience et de colĂšre, Cambronne lĂącha le juron que vous savez. C'est le dernier mot que j'entendis, car je reçus dans mon colback un boulet qui m'Ă©tendit sans connaissance sur un tas de cadavres. Je regrette que ce rĂ©cit dĂ©range un peu la superbe description de Victor Hugo, mais je n'ai pas lieu de suspecter la bonne foi de mon vieil ami. C'est un brave homme qui ne conte ses campagnes que quand on l'en prie bien fort, et qui se met le moins possible en scĂšne. Le "Courrier du Nord" du 4 juillet, reprenait l'article de Deullin, et ajoutait "On nous annonce que ce rĂ©cit a Ă©veillĂ© l'attention, et que M. Deleau, le dernier survivant des compagnons de Cambronne a Ă©tĂ© mandĂ© Ă  la prĂ©fecture pour ĂȘtre interrogĂ© sur les souvenirs qu'il a conservĂ©s de cette mĂ©morable affaire." Heureusement, les archives du dĂ©partement ont conservĂ© les traces de l'affaire. On y dĂ©couvre avec Ă©tonnement ? que l'intĂ©rĂȘt du prĂ©fet pour l'histoire n'Ă©tait pas dĂ©nuĂ© d'arriĂšre-pensĂ©es politiques... Ă  suivre BientĂŽt Waterloo, rĂ©cit critique, la synthĂšse d'une vision nouvelle sur la bataille,dĂ©barrassĂ©e des manipulations imposĂ©es par le plus grand stratĂšge de tous les temps. . 483 462 148 28 307 431 498 182

il aurait prononcé son fameux mot à waterloo