LaBelle au bois dormant (en russe : Спящая красавица / Spiachtchaïa krassavitsa) est un ballet en un prologue, trois actes et cinq tableaux représenté pour la première fois le 15 janvier 1890 au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, avec une chorégraphie de Marius Petipa et sur une musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski (opus 66), inspiré du conte de Charles Perrault
Le 29 fév. 2020 À partir de 39 € - Tarif enfant entre 3 et 14 ans à 27€ Places assises numérotées ST. PETERSBURG FESTIVAL BALLET & HUNGARY FESTIVAL ORCHESTRA LA BELLE AU BOIS DORMANT La Belle au bois dormant, l'une des œuvres les plus célèbres de la littérature de ballet et un merveilleux conte de fée pour enfants. Dansé par le meilleur ensemble de ballet de Russie, le St. Petersbur Festival Ballet», cette œuvre raconte la fabuleuse histoire d'après le conte de fées La belle au bois dormant » de Charles Perrault, créé en 1890 sous la forme d'un ballet sur la musique de Pyotr Ilitch Tchaïkovski et la chorégraphie de Marius Petipa. Une féérie impressionnante de beauté, d’élégance et de grâce combinée à des costumes époustouflants, une scénographie véritablement royale et la passion unique du Saint-Petersbourg Festival Ballet» captivent le public de manière étonnante dans le monde féerique de la fantaisie et des rêves. Une œuvre d'art accomplie accompagnée par l'orchestre live. L'ensemble du Saint-Petersbourg Festival Ballet danse sous la direction artistique Sergey Smirnov Le Saint-Petersbourg Festival Ballet» est un ensemble de grande classe qui séduit dans le monde entier par son élégance austère classique, sa touche de fraîcheur du XXIe siècle et une prestation de danse parfaite. La troupe est composée de 42 danseurs. Tous les danseurs sont diplômés des meilleures écoles de ballet russes telles que l'Académie Vaganova de Saint-Pétersbourg, l'Académie de chorégraphie de Moscou, l'école de ballet de Ufa et l'Académie de ballet de Perm. En outre, l’ensemble a travaillé avec les meilleurs théâtres de ballet de Russie et a remporté de nombreux prix et distinctions lors de festivals de ballet et de compétitions internationaux. Ainsi, ces 42 danseurs du Saint-Petersbourg Festival Ballet » constituent l’une des compagnies de ballet les plus belles et les plus importantes de Russie et l’une des plus prestigieuses au monde. HUNGARY FESTIVAL ORCHESTRA Sous la direction de Jaroslava ?imonova Directeur artistique et chef d'orchestre Vadim Nikitin Lien vidéo Hungary Festival Orchestra a été fondé en 2005 par la talentueuse musicienne Yaroslava ?imonova, qui dirige depuis l’orchestre. Le directeur artistique et chef d'orchestre est un célèbre chef d'orchestre de Saint-Pétersbourg, le maestro Vadim Nikitin. Le répertoire de l'orchestre comprend des œuvres de Ravel, Debussy, Rimski-Korsakov, Tchaïkovski, Massenet, Faure et Albégis, Gounod et bien d'autres, ainsi que des ballets de musique classique comme Le Lac des cygnes, Le Casse-Noisette, La Belle au bois dormant, Giselle, Don Quijote et beaucoup d'autres. L'orchestre a collaboré avec des compagnies de ballet renommées de Russie, d'Ukraine et de Biélorussie. Hungary Festival Orchestra se produit avec beaucoup de succès en France, en Grande-Bretagne, en Belgique, en Allemagne, au Luxembourg et dans d'autres pays européens. Malgré des représentations assez peu nombreuses, il est devenu l'un des meilleurs orchestres de ballet en Europe. Les musiciens qui coopèrent avec le HFO jouent également dans les meilleurs orchestres de Russie et de Hongrie. Dans un proche avenir, ils joueront les saisons de ballet russes pour le célèbre ensemble Saint-Petersbourg Festival Ballet en Espagne, en France, au Luxembourg, en Allemagne et en Autriche.
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Ballet en un prologue et trois actes. / Inspiré du conte de Charles Perrault et des frères Grimm. La Belle au bois dormant demeure un des joyaux du patrimoine de la danse. Créé en 1890 au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, il est l’œuvre conjuguée du chorégraphe Marius Petipa et du compositeur Tchaïkovski. S’inspirant du conte de Charles Perrault, ils conçoivent un ballet féerie » où s’entremêlent le rêve et la réalité, où fées et marraines, forces du Bien et du Mal se disputent le sort de deux jeunes gens. Le spectacle de ballet “La Belle au bois dormant” sera présente pour le plus grand plaisir des petits et des grands. La somptuosité des décors et costumes imaginés par et recréent la splendeur de l’un des plus achevés et brillants chefs-d’œuvre du répertoire classique. La Belle au bois dormant est toujours l’un des ballets les plus populaires et fait partie du répertoire international standard du ballet classique. Tchaïkovski lui-même le considérait comme son meilleur ballet. Les danseurs exceptionnels du Ballet classique de Saint-Pétersbourg enchantent et s’imprègnent de leur public dans un monde de conte de fées. Informations sur la manifestation Afficher les contenus Informations sur la manifestation Adresse de contact ColossArt Lieu BFM Bâtiment des Forces MotricesPlace des Volontaires 21204 GenèveSchweiz Event Homepage Prix Kategorie 1 Sitzplatz CHF Kategorie 2 Sitzplatz CHF 3 Sitzplatz CHF 4 Sitzplatz CHF Les contenus indiqués ici sont gérés par les offices de tourisme régionaux / locaux ou les prestataires de services, raison pour laquelle Suisse Tourisme ne peut en garantir le contenu. Découvrir les environs
LeBallet du Festival de Saint-Pétersbourg, qui sera le 22 mars au Zénith de Pau, se positionne contre la guerre en Ukraine. Interview. Le 22 mars prochain, le ballet « La Belle au bois dormant »
Don Quichotte est le premier ballet du chorégraphe Marius Petipa avec le compositeur Ludwig Minkus. Une dizaine d’autres suivront, dont La Bayadère. Inspiré du roman de Cervantès, Don Quichotte s’inscrit dans la fascination de l’Europe pour l’Espagne au XIXème siècle. Ce ballet d’action renouvelle aussi l’art chorégraphique, en donnant ses lettres de noblesse à la danse de caractère. Parmi les nombreux ballets de Petipa, il fait partie de ceux que Noureev a choisit de remonter à la fin du XXème siècle et qui enchantent toujours le public aujourd’hui. Avec Don Quichotte, Petipa se replonge dans ses souvenirs de jeunesse Le 14 décembre 1869, Marius Petipa présente au public du Bolchoï son nouveau ballet Don Quichotte. Le théâtre lui a commandé une œuvre dans le style espagnol. Une belle occasion de réexploiter son expérience de jeune danseur. Car en 1843, Petipa est parti en Espagne. En parallèle des programmes prévus pour cette tournée de 3 ans, il a acquis la maîtrise des danses sévillanes et des castagnettes. Sept ballets ont alors vu le jour à Madrid, dont La Perle de Séville, L’Aventure d’une fille de Madrid, ou encore L’Etoile de Grenade qu’il remonte en 1855 pour Saint-Pétersbourg. En Russie, il s’éloigne quelques temps du style ibérique, avant d’y revenir pour Don Quichotte. A lire aussi Le roman de Cervantès connaît un immense succès en Russie. Lorsque Petipa donne sa version de Don Quichotte, le chevalier à la triste figure » est déjà largement connu en Russie. Le texte de Cervantès est traduit en russe dès 1769, à partir de la version française. Cinq ans plus tard, la scène moscovite s’empare du sujet avec l’opéra Sancho Pança dans son île de Philidor, donné pour l’ouverture du théâtre Petrovski devenu par la suite le Bolchoï devant la Grande Catherine. Le ballet suit en 1809 grâce à Didelot, qui remonte le Don Quichotte que Noverre avait créé à Vienne en 1767. Tout au long du XIXème, l’antihéros hispanique garde le vent en poupe, notamment auprès des grands auteurs russes comme Pouchkine, Gogol, Tourgueniev et Dostoïevski. Cet attrait s’inscrit au demeurant dans une mouvance plus large, une fascination pour l’Espagne toute entière que partage le reste de l’Europe au XIXème siècle. A lire aussi L’Espagne exerce une fascination sur les artistes du XIXème siècle. Le XVIIIème siècle avait boudé l’Espagne, lui préférant l’Italie. Mais au siècle suivant, les artistes commencent à se lasser de Rome et ses antiques. Les campagnes de Napoléon en Espagne attire l’attention sur ce peuple qui, de 1808 à 1814, pratique la guerilla contre les troupes françaises, et réussit à battre l’ogre corse »… avec l’aide des anglais, certes. Dès les années 1820, artistes et voyageurs affluent de l’autre côté des Pyrénées et publient divers récits de voyage. Victor Hugo, comme Théophile Gautier ou Alexandre Dumas, est frappé par cette terre d’aventures dominées par les contrastes. Tout est différent, les paysans aux airs farouches, les mendiants drapés comme des empereurs romains », écrit-il en 1843. L’Espagne leur offre un aspect sauvage », à comprendre dans le sens de préservé, piquant, dépaysant. Les nouvelles traductions des œuvres de Lope de Vega, Calderon et Cervantès alimentent ce nouvel engouement pour la péninsule ibérique. Peintres, musiciens, écrivains, et chorégraphes, puisent leur inspiration à la source espagnole, en France comme en Russie. Danse, scénario, accessoires, Petipa supervise tout lui-même dans une conception de l’art quasi-total Petipa retient la partie la plus heureuse des aventures de Don Quichotte, extraite du second volume de Cervantès, et en tire un ballet en 4 actes. Le vieux chevalier rêve de combats héroïques, où il volerait au secours de la belle Dulcinée. Il décide de parcourir le monde, emmenant avec lui un domestique bien moins valeureux, Sancho Pança. Dans un village, ils croisent la belle Kitri, promise au vieux Gamache alors qu’elle désire épouser son amoureux Basile. Après quelques péripéties, Don Quichotte persuade le père de donner son accord à leur union. Durant la nuit, il rêve de sa Dulcinée. Elle lui apparaît sous les traits de Kitri, entourée de dryades dans un jardin enchanté. Lorsqu’il se réveille, on célèbre le mariage de Kitri et Basile par de grandes festivités. A lire aussi La plupart des chorégraphes de l’époque travaillent avec un librettiste ou à partir d’un livret déjà existant. Petipa, au contraire, écrit lui-même le scénario et les dialogues sur lesquels s’appuient les danseurs pour les parties en pantomime. Il réfléchit aussi aux accessoires des effets théâtraux. Il s’implique même dans la conception de la musique en formulant des demandes précises au compositeur Ludwig Minkus. La première de Don Quichotte au Bolchoï est un triomphe. Deux ans plus tard, Petipa remanie le ballet pour le Grand Théâtre de Saint Pétersbourg, où il a été nommé chorégraphe. Sont alors ajoutés un 5ème acte et un épilogue. Là aussi le succès est au rendez-vous. Petipa rend hommage aux traditions du ballet romantique et baroque. Dans l’acte IV, Don Quichotte a une vision » de Dulcinée entourée de dryades. Au milieu du ballet d’action, Petipa semble soudain rendre hommage au ballet romantique du début du XIXème La Sylphide, Giselle…. D’ailleurs, le corps de ballet y tient une place importante, comme dans l’acte en blanc de Giselle. Insérer une séquence de danse académique au milieu du ballet, déclenchée par une vision de l’un des personnages, va devenir un élément récurrent chez Petipa. On retrouvera ce principe dans La Bayadère l’acte des Ombres, dans La belle au bois dormant les Dryades et l’apparition d’Aurore, et d’une certaine manière dans Le Lac des cygnes. A lire aussi Petipa assume aussi l’héritage du divertissement » baroque, succession de danses variées sous le prétexte d’un événement festif. Il peut s’agir, comme ici, d’un mariage au dernier acte La belle au bois dormant, Cendrillon…. Casse-Noisette et Le Lac des cygnes insèreront plutôt le divertissement au milieu du ballet, puisqu’à la fin Clara se réveille de son rêve, et qu’Odette et Siegfried sont condamnés à mourir. Don Quichotte semble ainsi fixer certains codes structurels, que Petipa continuera d’appliquer dans ses ballets ultérieurs. Le ballet innove en donnant plus de place aux danses de caractère. Si Dulcinée, créature hallucinée, rappelle les héroïnes idéalisées du ballet romantique, on ne trouve pas de prince charmant dans Don Quichotte les rôles d’étoile Kitri et Basile sont confiés à des gens du peuple. Voilà qui est nouveau ! Qui dit populaire, dit souvent au XIXème danse de caractère. Don Quichotte s’y conforme, mais en leur donnant une importance inédite et en les reliant à l’action. Petipa y mêle gestuelle folklorique et pas académiques, une pratique dont naîtra en partie l’école russe ». Au-delà des danses des gitans et celles de certains personnages du dernier acte, la danse de caractère imprègne donc aussi les variations solistes, par essence très virtuoses. Ports de tête et placement des mains s’en ressentent, aussi bien chez Kitri que Basile, sans compter la présence des accessoires castagnettes, éventail. La chorégraphie évocatrice est bien-sûr servie par des costumes colorés, auxquels répond une musique lumineuse et très rythmée. Variation de Kitri, acte I Auréie Dupont, Opéra de Paris, 2002 La musique de Minkus se met au service de la danse. Petipa trouve en Minkus un excellent partenaire. Il suit les consignes du chorégraphe, qui va parfois jusqu’à lui préciser les tempi souhaités. Mais, surtout, il n’a pas son pareil pour planter une atmosphère car l’une de ses grandes qualités est le sens du contraste. Aux longues lignes mélodiques du prologue, qui suggèrent l’idéalisme de Don Quichotte, succède une rythmique entraînante lorsqu’on arrive sur la place du village. Et quand Kitri entre en scène on devine tout de suite, rien qu’à la musique, son caractère aussi décidé qu’espiègle. A ses rythmiques efficaces, Minkus allie une orchestration intéressante. Ainsi au troisième acte, lorsque Kitri effectue son impressionnante série de retirés avant et arrière tout en effectuant en souriant quelques gracieux mouvements de bras, l’orchestre fait entendre des guirlandes de harpe et des contretemps de cordes qui ne sont pas sans rappeler la Danse des mirlitons que Tchaïkovsky écrira plus tard pour Casse-Noisette. A lire aussi Pourtant, la musique de Minkus est souvent décriée. C’est oublier peut-être sa plus grande qualité elle est agréable à danser. D’après Tatyana Kuznetsova, elle soutient et entraîne l’interprète, l’inspire et le pousse à l’audace. Dansante et rythmée, elle a du tempérament tout en restant mélodique. […] Minkus souligne et fait ressortir le caractère de chaque pas, détermine les poses en les accentuant et tient même compte de la capacité respiratoire du danseur. Il est un maître de la variation [et] a favorisé le développement de la virtuosité. » Alors Minkus est-il méprisé parce que les critiques ne sont pas danseurs, ou justement parce que la musique se met au service de la danse ? Rudolf Noureev fait entrer Don Quichotte au répertoire de l’Opéra de Paris. Dès 1966, Noureev règle Don Quichotte pour le Ballet de l’Opéra de Vienne. C’est également lui qui le fera entrer au répertoire de l’Opéra de Paris en 1981, avec Noëlla Pontois Kitri, Cyril Atanassov Basile, et Elisabeth Platel Reine des Dryades. Il condense le ballet en trois actes et donne plus d’importance au prologue. Il transforme aussi Sancho Pança en moine dodu et chapardeur. Enfin, il insère un pas de deux au clair de lune entre Kitri et Basile à l’acte II, en empruntant la musique au premier acte de La Bayadère. Il n’est pas toujours facile de savoir, en regardant un ballet qui a été remanié, à quel chorégraphe on doit tel ou tel pas. Petipa ou Noureev ? Peu importe, on se régale en admirant Kitri exécuter au premier acte ses développés et ses grands jetés plus ou moins cambrés au son de ses castagnettes, avant la diagonale de pirouettes dont la musique entraînante tient néanmoins plus de la czardas que des danses ibériques. On retient son souffle lors des équilibres et des grands portés du pas de deux final, et on applaudit à tout rompre aussi bien les manèges de Basile que les 32 fouettés de Kitri. Allier grâce, caractère et virtuosité, c’est le pari réussi de Petipa/Noureev dans Don Quichotte, admirablement secondés par la musique de Minkus. Sixtine de Gournay Plus de Secrets des oeuvres Le Sacre du printemps de Stravinsky, l’un des plus gros scandales artistiques du XXème siècle Shéhérazade de Rimsky-Korsakov, quand la musique évoque les Mille et Une Nuits La Force du destin de Verdi, l’opéra de la vengeance
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LeSaint-Petersbourg Festival Ballet et Festival Orchestra présentent Une féerie de beauté, d'élégance et de grâce. Musique : P. I. Tchaïkovski Chorégraphie : V. Vsevolozhski et M. Petipa Scénographie et costumes : V. Okunev (Théâtre Mariinsky, Saint-Pétersbourg) La Belle au bois dormant, l'une des oeuvres les plus célèbres de la littérature de ballet et un
1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 1600 Pièce avec 50 danseurs - Ballet en 3 actes créé en 2016, d'après la version de 1890 - Chorégraphie de Jean-Guillaume Bart d'après Marius Petipa - Livret de Ivan Vsevolojski et Marius Petipa d'après le conte de Charles Perrault - Musique Piotr Ilitch Tchaïkovski - Décors et costumes d'Olga Shaishmelashvili Rudolf Noureev le considérait comme "Le ballet des ballets" La Belle au Bois Dormant interprété par les danseurs du Leonid Yacosbson Theatre et réinterprété par le chorégraphe Jean-Guillaume Bart, est un pur moment de féérie. Créée en 1890 au Théâtre Mariisky de Saint-Pétersbourg, La Belle au Bois Dormant est l'oeuvre conjuguée de deux des plus grands artistes de la fin du 19ème siècle, le chorégraphe Marius Petipa et le compositeur Piotr Ilitch Tchaïkovski. Ce ballet puise son livret dans le célèbre conte de Perrault et des frères Grimm. Pour sa première collaboration avec le Yacobson Ballet, c'est ce conte de Perrault que le chorégraphe Jean-Guillaume Bart choisit de mettre en scène. Un ballet qu'il connaît bien pour avoir obtenu le titre honorifique de danseur étoile suite à son interprétation du Prince Désiré sur la scène de l'Opéra de Paris. Au fil du temps, ce ballet a connu des changements drastiques, notamment au niveau des attentes du public, des techniques du ballet et de la forme physique des danseurs. Jean-Guillaume Bart a souhaité faire revivre la production spectaculaire du passé, d'une manière qui parlerait au public moderne. Il replace la danse comme une narration par le langage du corps. Pour lui, la combinaison entre la chorégraphie classique et la musique a ses propres capacités dynamiques, expressives et narratives. La fée Carabosse, est ici un rôle dansé et non mimé tel qu'il l'était dans la production de 1890. De plus, ce ballet se pare d'un pré-prologue qui apporte un éclairage sur l'origine de la haine de Carabosse. Compagnie mondialement reconnue, la célèbre Yacobson Ballet, venue tout droit de Saint-Pétersbourg, interpréte avec talent ce superbe ballet. Le public devrait tomber sous le charme de son interprétation, qui mêle sens du spectacle et technique. Le Yacobson Ballet, première compagnie indépendante de Russie fondée par Leonid Yacobson, fait en ce moment beaucoup parler d’elle. Elle est sur le point de s’imposer comme une des compagnies majeures de la scène internationale, se produisant au célèbre Théâtre Mariinsky à Saint-Pétersbourg, et multipliant les représentations à travers le Monde. Le charme et la technique des ballets russes et la musique étincelante de Tchaïkovski ... La Belle au Bois Dormant, créée par Marius Petipa, a traversé les époques. Jean-Guillaume Bart a souhaité revenir aux sources de l'oeuvre tout en offrant une version modernisée. Considérant le ballet comme "une histoire dansée et non un prétexte à danser", il a travaillé sur la psychologie des personnages du conte. Ainsi, on saura pourquoi la Fée Carabosse a tant de haine en elle ... Il redonne également toute sa place au Prince Désiré, qui n'a plus le rôle de faire valoir de la ballerine dans laquelle il fût trop souvent cantonné. Les décors de toiles peintes, délicatement éclairées, figurent la campagne au printemps. Une invitation de plus à se plonger dans la douceur de ses rêves d'enfant ... Publié par SORTIES POUR TOUS
LABELLE AU BOIS DORMANT - ST. PETERSBURG FESTIVAL BALLET (Théâtre) - du jeudi 14 janvier 2021 au lundi 5 avril 2021 - LES ARENES DE METZ, Metz, 57000 - Toute l'info sur l'evenement
Double musical de Pouchkine, le compositeur symphonique était à l'image de l'ancienne capitale russe excessif, romantique, lyrique. Balade musicale le long de la l'appelle la Venise du Nord» à cause de l'écheveau de ses 75 canaux, de ses 42 îles, de ses 140 ponts, de ses palais plus italiens que leurs modèles, de cette atmosphère propre à générer des poèmes aussi beaux que désespérés comme ceux de Lermontov, mort à 26 ans, ou celui qu'Essénine écrivit avec son sang avant de se tuer, à 30 ans Saint-Pétersbourg est une ville d'excès, de poésie, de lyrisme. Une ville musicale, aussi. Car bien sûr, si le poète russe majeur, tellement identifié à Saint-Pétersbourg, est Pouchkine, le compositeur essentiel de Saint-Pétersbourg, sorte de double musical de Pouchkine, est Tchaïkovski. Vers 1860, le jeune Tchaïkovski montrait une cravate rayée et un beau regard un peu triste. Crédits photo akg-images/akg-imagesLe voyageur qui arrive par bateau depuis le golfe de Finlande rencontre d'abord le cavalier de bronze cabré sur son bloc de pierre au bord de la Neva, cette statue de Pierre le Grand est l'hommage au fondateur de la ville. Mais ce sont les femmes, les impératrices, qui feront de Saint-Pétersbourg la ville fastueuse qu'elle est encore aujourd'hui Élisabeth, la fille de Pierre le Grand, puis la Grande Catherine qui s'assure le concours essentiel de l'architecte italien Bartolomeo Rastrelli. Pourtant, c'est la Neva et ses eaux sombres qui charrient la nostalgie de l'âme russe. Car c'est dans les eaux de la Neva que reposent ceux qui ont construit la ville au prix de leur vie. C'est après avoir plongé dans les eaux glacées de la Neva pour secourir des naufragés que Pierre le Grand fut pris d'une fièvre qui l'emporta. C'est toujours dans la Neva que Lisa, l'héroïne de La Dame de pique de Tchaïkovski, se jeta par désespoir. Et c'est encore l'eau de cette même Neva que boira Tchaïkovski lui-même pour un suicide» énigmatique jamais explicité, au 13 de la rue Malaïa s'est-il passé exactement ce 6 novembre 1893? Pourquoi l'histoire de la mort de Tchaïkovski ressemble-t-elle à un roman policier, une ténébreuse affaire» au coeur de l'histoire de la musique russe? Deux camps s'affrontent aujourd'hui. Celui qui se rallie à la version officielle d'une contamination accidentelle par le choléra Tchaïkovski aurait bu par inadvertance un verre d'eau non bouillie alors que sévissait une épidémie à Saint-Pétersbourg. Il serait mort ainsi comme sa mère, frappé par le Destin, ce fatum qui irrigue et obsède toute son oeuvre et singulièrement son ultime Symphonie Pathétique». L'autre camp, qui s'appuie sur des documents mis au jour à la fin des années 1970, suspecte un suicide» lié à un scandale homosexuel Tchaïkovski aurait séduit un jeune garçon proche de la famille impériale et aurait été contraint au suicide par un jury d'honneur - le poignant dernier mouvement de sa Symphonie n° 6 Pathétique» serait donc explicitement un adieu à la vie, un requiem pour lui-même. Le problème est qu'aucun élément matériel convaincant ne vient asseoir l'une ou l'autre thèse. Nombre de questions se posent pourquoi, par exemple, ainsi que le rapporte Rimski-Korsakov, le corps est-il resté exposé à tous alors que le choléra exigeait une mise en quarantaine stricte pour éviter la contagion? Mais pourquoi, d'autre part, le scandale aurait-il soudain éclaté alors que beaucoup connaissaient, et semble-t-il le tsar lui-même, l'homosexualité de Tchaïkovski? Qu'importe en fait ce secret ultime la mort de Tchaïkovski, au-delà de l'anecdote, réside, magnifiée, dans le finale fascinant de sa dernière symphonie, cet immense et frémissant Adagio lamentoso qui s'étire tel un linceul que le compositeur tire lentement sur lui-même, comme une déclamation presque murmurée, théâtre Mariinski. Crédits photo ERIC MARTIN/Le Figaro MagazineLe lien entre Piotr Tchaïkovski et Saint-Pétersbourg fut toujours fort à peine adolescent, il arrive de Moscou et se présente au concours de l'Ecole de droit. Brillamment reçu, il s'installe chez un ami de la famille, qui accepte le rôle de tuteur. Les adieux à sa mère qui l'a accompagné pour son installation sont déchirants, le jeune garçon en larmes s'accrochant à la diligence. Mais une tragédie bien pire va marquer ce premier séjour à Saint-Pétersbourg. Une épidémie de scarlatine s'étant déclarée dans la classe de Piotr, le tuteur, apitoyé, décide de prendre l'enfant chez lui au lieu de le laisser en quarantaine à l'école. Et c'est son propre fils, un garçon de 5 ans, qui contracte la scarlatine et en meurt! Pour Piotr, le coup n'est pas moins rude que pour l'infortuné père il s'accuse d'avoir causé la mort de son jeune compagnon, déclare vouloir disparaître lui aussi... Le père malheureux reporte alors son affection sur celui qui se désigne comme le criminel». Mieux il sera à l'origine de la première grande émotion artistique de Piotr en l'emmenant, passé la période de deuil, à l'Opéra, au théâtre Mariinski, pour lui changer les idées. On y joue Don Giovanni de Mozart. Pour l'adolescent, c'est une révélation La musique de Don Giovanni est la première qui m'ait bouleversé. Elle a fait naître en moi une extase dont on sait les conséquences. Elle m'a ouvert les sphères de la beauté pure. Quand la fureur et la fierté éclatent dans le moindre accord et dans le moindre mouvement de l'orchestre, je frémis d'horreur, j'ai envie de crier, de pleurer, de hurler, écrasé par la force de l'impression.»Des cocottes, des chagrins, des voyagesIl achève pourtant ses études de droit à Saint-Pétersbourg, entre au ministère de la Justice où il avoue passer des heures à faire des cocottes en papier!, puis lâche tout pour se consacrer uniquement à la musique. Mais ses angoisses ne disparaissent pas pour autant et toute sa vie va être ponctuée de dépressions, de voyages pour se changer les idées, de crises de désespoir et autres manifestations de cette névrose qui ne le laissera jamais vraiment en paix. Pourtant, c'est à Saint-Pétersbourg qu'il revient régulièrement pour créer quelques-unes de ses plus belles oeuvres, ses Symphonies n° 5 et n° 6, son sextuor Souvenir de Florence, ses ballets Casse-Noisette et La Belle au bois dormant où il introduit dans la musique russe un nouvel instrument, le célesta la Danse de la fée Dragée témoigne de la réussite de cette expérimentation orchestrale, ses opéras majeurs - Opritchnik, La Pucelle d'Orléans, Yolanta - et surtout ses deux chefs-d'oeuvre, tous deux tirés de Pouchkine, Eugène Onéguine et La Dame de pique dont l'action se déroule à Saint-Pétersbourg, du vaste jardin d'Eté, au bord de la Neva, jusqu'au petit canal qui jouxte le palais d'Hiver et se jette dans la Neva.Le Château Michele, annexe du Musée russe. Crédits photo ERIC MARTIN/Le Figaro MagazineC'est aussi dans la capitale russe qu'il se réfugie pour échapper à la catastrophe de son mariage» alors qu'il était parti vivre à Moscou. Car il y a fait la connaissance d'Antonina Milioukova, une jeune femme de 28 ans, blonde, avec des yeux bleus et un sourire sensuel, trop sensuel, des manières sottement prétentieuses et une intelligence nettement au-dessus de la moyenne, atteinte de surcroît de mégalomanie et de nymphomanie elle finira ses jours dans une maison de fous. Elle lui écrit une longue lettre, calquée sur celle de Tatiana dans Eugène Onéguine, à laquelle il se croit obligé de répondre il ignore alors qu'elle en a déjà adressé des dizaines analogues à des banquiers, des généraux, des artistes en vogue et même des membres de la famille impériale!. Il la laisse peu à peu s'imposer et finalement, pour mettre un terme aux rumeurs et s'assurer une position sociale ou du moins une image sociale, accepte de l'épouser. Le mariage est célébré le 30 juillet 1877. Célébré... mais non consommé! Il écrit à son frère, trois jours après ce mariage Tout cela serait intenable, impardonnable si je ne l'avais pas avertie dès le début qu'elle ne pouvait compter de ma part que sur une affection fraternelle. Physiquement, elle ne m'inspire que de la répugnance.» Très vite, Tchaïkovski prétexte des malaises et part faire une cure» - prétendument dans le Caucase, en fait chez sa soeur et confidente. Il peut s'épancher auprès d'elle... et travailler à sa Symphonie n° 4. Puis il regagne Moscou Mais à la vue de son épouse à la descente du train, de ses lèvres gourmandes, de sa chair étalée, il est pris de terreur. Désormais, il vit dans l'angoisse que sa femme, lasse d'attendre, réclame que leur union devienne autre que fraternelle. Bientôt, cela devient une obsession et, dès la tombée du jour, il fuit hors du logis, comme un fou, errant dans les rues désertes, en proie à de véritables crises d'hystérie durant lesquelles il crie sans pouvoir s'arrêter, perd le souffle, suffoque. Et un soir de septembre, n'y tenant plus, il gagne une berge isolée de la Moskova et entre dans l'eau jusqu'à la taille. Mais il ne va pas plus loin il espère, par une sorte de suicide indirect, mourir d'une pneumonie. Il survit et quelques jours plus tard, il demande à son frère d'expédier d'urgence de Saint-Pétersbourg une dépêche signée d'Eduard Nápravník, le chef d'orchestre du théâtre Mariinski, l'Opéra de Saint-Pétersbourg, le réclamant immédiatement». Le lendemain, il prend le train, à moitié fou. Son frère dira qu'il ne le reconnut pas tout d'abord sur le quai tant il avait changé en un mois! Hagard, les mâchoires serrées, le regard fixe, il se laisse conduire à l'hôtel où, terrassé par une crise nerveuse, il perd connaissance et reste deux jours dans le coma. Et c'est son frère qui devra ensuite expliquer à la femme de Piotr la nécessité de leur séparation, lui-même n'étant plus en état physique de la revoir...Le Café Pouchkine, alias Café Pouchkine, propose aux visiteurs de boire un chocola en profitant de la vue unique. Crédits photo ERIC MARTIN/Le Figaro MagazineL'esprit du musicien vogue sur les canauxEn marchant dans les rues de Saint-Pétersbourg, au bord de ses canaux, on retrouve à la fois les lieux qu'il a arpentés et l'esprit qui a habité Tchaïkovski. Au théâtre Mariinski, bien sûr ainsi nommé en hommage à Marie, l'épouse d'Alexandre II, le tsar assassiné en 1881, dans ce vaste théâtre où on est surpris de découvrir des sièges et un rideau de velours bleu au contraire du rouge des théâtres du monde entier il faut absolument y voir un opéra de Tchaïkovski, La Dame de pique si possible, ce magnifique hommage à Saint-Pétersbourg, ou un ballet, Le Lac des cygnes ou La Belle au bois dormant. Car le Ballet du Mariinski demeure un des meilleurs du monde, depuis l'époque où Saint-Pétersbourg s'appelait Leningrad et où le théâtre avait pris le nom de Kirov, un dirigeant communiste assassiné par Staline. Mais il faut aussi aller à la Philharmonie Chostakovitch, qui s'appelait autrefois l'hôtel de la Noblesse c'est là que Tchaïkovski a dirigé sa Symphonie n° 6 Pathétique», deux semaines avant de mourir avec, dans le public, le jeune Stravinski!. Et on ne peut manquer, sur la perspective Nevski, le Café Littéraire tous les compositeurs et les poètes de Saint-Pétersbourg y ont dîné, dont Tchaïkovski bien sûr. Pouchkine s'y trouvait juste avant de se rendre à son duel contre le baron d'Anthès qui courtisait sa chère Natalia, dont on disait qu'elle était la plus belle femme de Saint-Pétersbourg. Ce duel qui lui fut fatal ressemble tellement à celui de son Eugène Onéguine qu'on s'interroge prémonition ou destin inscrit? Mais comme tout se termine en musique à Saint-Pétersbourg, Tchaïkovski en fera son plus bel opéra. Et avant de partir, il faut encore revenir vers la Neva, se remémorer la barcarolle des Saisons toute la tendresse blessée, toute la mélancolie de Tchaïkovski s'y concentrent en quelques notes de piano, comme un poème toujours inachevé...Un hôtel le Grand Hôtel Europe, face à la Philharmonie, est prestigieux, même s'il a perdu un peu de son âme. Demandez une chambre avec terrasse en été, c'est magique! Mikhaïlovskaja ulitsa, 1-7.Un café le Café Littéraire aussi appelé Café Pouchkine car c'est de là que, le 27 janvier 1837, Pouchkine est parti pour son duel fatal bien sûr c'est très trop touristique, mais savoir qu'ils sont tous venus là... Nevski Prospekt, 18. Trouda ulitsa, 4, l'époustouflant Osobnyak Polovtseva Morskaya ulitsa, 52 ou, à deux pas du Mariinski, le superbe Nid de la Noblesse Dekabristov ulitsa, 21.Une pâtisserie la pâtisserie des frères Elisseev, construite en 1902 dans le plus pur style Art nouveau et qui vient de rouvrir Nevski Prospekt.Deux livresPoésies, de Pouchkine Poésie/Gallimard ; Le Roman de Saint-Pétersbourg, de Vladimir Fédorovski Le Livre de Poche.Un disqueEugène Onéguine, de Tchaïkovski, avec Neil Shicoff, Mirella Freni, Thomas Allen, Anne Sofie von Otter ; dir. James Levine DG.LIRE AUSSI» Vienne un Strauss peut en cacher un autre» Venise, sur un air de Vivaldi» Buenos Aires, sur un air de Carlos Gardel» Budapest son coeur bat toujours pour Liszt
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LABELLE AU BOIS DORMANT / ST PETERSBURG FESTIVAL Malheureusement, il n'y a actuellement aucun événement disponible pour LA BELLE AU BOIS DORMANT / ST PETERSBURG FESTIVAL. N'hésitez pas à vous inscrire à nos alertes pour être automatiquement informé (e) de l'actualité pour LA BELLE AU BOIS DORMANT / ST
Sortir En Nouvelle-Aquitaine Gironde Floirac Le Saint Petersbourg Ballet Theatre présente La Belle Au Bois Dormant à Floirac Non communiqué par l'organisateur Le Samedi 09 Avril 2022de 19h00 à 23h59 La Belle au bois dormant, l’une des œuvres les plus célèbres de la littérature de ballet et un merveilleux conte de fée pour enfants. Dansé par le meilleur ensemble de ballet de Russie, le Saint-Petersbourg Ballet Theatre », cette œuvre raconte la fabuleuse histoire d’après le conte de fées La belle au bois dormant » de Charles Perrault, créé en 1890 sous la forme d’un ballet sur la musique de Pyotr Ilitch Tchaïkovski et la chorégraphie de Marius Petipa. Une féérie impressionnante de beauté, d’élégance et de grâce combinée à des costumes époustouflants, une scénographie véritablement royale et la passion unique du Saint-Petersbourg Festival Ballet» captivent le public de manière étonnante dans le monde féerique de la fantaisie et des rêves. Une œuvre d’art accomplie accompagnée par l’orchestre live. Source des données DATATourisme Plus d'infos Floirac33270 - Gironde - 48-50 Avenue Jean Alfonséa, Arkéa Arena Envie de sortir près de Floirac ? Autres idées sorties près de Floirac Floirac Floirac est un toponyme qui désigne plusiquers communes ou anciennes communes françaises Floirac Aveyron, ancienne commune française de l'Aveyron, intégrée à Onet-le-Château ; Floirac Charente-Maritime, commune française de la Charente-Maritime ; Floirac ancienne commune, ancienne commune française de la Charente-Maritime, regroupée avec Saint-Romain-sur-Gironde pour former la commune nouvelle de Floirac Charente-Maritime cf. supra ; Floirac Gironde, commune française de la Gironde ; Floirac Lot, commune française du Lot. source wikipedia
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