Cest marrant comme le hasard fait bien les choses parfois : j'ai eu la chance de rencontrer Yves Brunier, un des papas de Casimir, pour mes 40 ans (voir ICI) et cette année, pour les 40 ans de l'île aux enfants et donc de Casimir, j'ai eu le très grand privilège de rencontrer son deuxième papa : Christophe Izard. J'ai choisi aujourd'hui pour en parler car l'émission a été diffusée Le 24 novembre 2020, Christophe Dominici est décédé après avoir fait une chute mortelle au Parc de Saint-Cloud. Depuis, ses proches s'interrogent sur les circonstances de sa mort et rejettent en bloc la thèse du suicide malgré la dépression à laquelle le sportif faisait face depuis plusieurs mois. Voilà maintenant trois mois que Christophe Dominici a trouvé la mort, à seulement 48 ans, dans des circonstances qui restent floues. Dans l'après-midi du 24 novembre 2020, l'ancien rugbyman est tombé d'un muret haut d'une dizaine de mètres, dans le Parc de Saint-Cloud Hauts-de-Seine. Si la thèse du suicide a été évoquée, ni sa femme Loretta, ni son père Jean Dominici ou même Bernard Laporte ne veulent y croire. Invité de Touche pas à mon poste le 25 février 2021, c'est avec une vive émotion que le père de l'ex-sportif est revenu sur la disparition de son fils. Invité à s'exprimer sur son deuil impossible, Jean Dominici était accompagné jeudi soir de Bernard Laporte, puisque tous deux ont pris part à la réédition de Bleu à l'âme, la biographie publiée par Christophe Dominici en 2007. S'ils pensent chacun à différentes causes qui auraient pu coûter la vie au rugbyman, tous deux s'accordent sur le fait qu'ils ne croient absolument pas à un suicide. Le président de la Fédération française de rugby penche plutôt pour la thèse d'un accident "C'est pas possible. Quand tu voyais la vie de ce garçon, plein d'énergie... Même s'il avait des moments difficiles Christophe", Bernard Laporte a-t-il notamment commenté, mentionnant la mort de Pascale, la grande soeur de Christophe, survenue en 1986, qui l'avait grandement touché. "Christophe, il avait des hauts et des bas, mais pas à ce point là. Je ne veux pas y croire." Pour Jean Dominici, les médicaments et le manque de suivi du corps médical notamment limité aux consultations en vidéo à cause de la crise sanitaire pourraient être mis en cause, puisque son fils traversait une nouvelle dépression depuis plusieurs mois, suite à l'échec de la reprise du club de Béziers l'été dernier. "Je sais pas, la psy qui le soignait, ce qu'elle lui a donné, comment elle a voulu le soigner... Il n'était pas bien. Moi, où je me révolte, c'est que pour des maladies comme ça, on ne soigne pas les gens en vidéo. Cette personne aurait dû se déranger pour le soigner", Jean Dominici estime-t-il. "Il avait passé une très, très mauvaise nuit .... Il a dit à sa femme 'Toute la nuit, il m'a semblé qu'on me tirait dessus, j'étais pas bien'." Puis, Christophe Dominici aurait dit vouloir aller acheter des cigarettes "Il est mal, ne le laisse pas partir..." Comme il l'a récemment évoqué auprès du magazine Paris Match, Jean Dominici pense que son fils aurait pu être sauvé. S'il met en cause les médecins et sous-entend que Loretta aurait pu empêcher le drame, le père du sportif ne s'épargne pas non plus puisqu'il dit s'en vouloir de ne pas avoir été assez présent, de ne pas avoir pris la mesure du mal-être de son fils et de ne pas être remonté à Paris plus tôt... "Je savais qu'il n'était pas bien", a-t-il ajouté jeudi soir, la gorge nouée et les larmes aux yeux. Une douleur que le retraité avait déjà couché sur papier, dans une lettre poignante ajoutée à la réédition de Bleu à l'âme, sortie le 25 février aux éditions du Cherche Midi.
Sonnom vient d'une anecdote de son enfance. Durant la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il est enfant, Christophe Izard est hébergé par une vieille dame russe. Afin de l’occuper, elle lui fait mélanger longuement du sucre et des jaunes d'œuf dans un saladier jusqu'à ce qu'ils deviennent mousseux, formant ce qu'on appelle en cuisine un
Christophe Izard père de Lîle aux enfants lémission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé ce dimanche. Cest une bien triste nouvelle pour celles et ceux qui sont nés dans les années 70-80. French Television Producer Christophe Izard Whose Children S Show News Photo Getty Images French television man born May 30 1937 in Paris. . Christophe Izard is on Facebook. Christophe Izard est décédé à lâge de 85 ans. He is best known as a designer of youth programs on TF1 between 1974 and 1987 where he notably launched the character of Casimir. Christophe Izard le papa de tant démissions pour la jeunesse comme Lîle aux enfants ou Le village dans les nuages. Christophe Izard le créateur de lémission qui a permis à Casimir dexister est décédé à lâge de 85 ans. Christophe Izard créateur de Lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé hier a indiqué Pierre-Alek Beddiar responsable dOsibo Productions la. Une émission phare des années 70 Après des études de droit Christophe Izard fils dun avocat renommé avait entamé une carrière journalistique en. Triste nouvelle pour le monde du petit écran. Cest une figure importante de télévision qui nous quitte aujourdhui. Facebook gives people the. Mort de Christophe Izard créateur de LÎle aux enfants et Casimir Portrait Pionnier des programmes jeunesse à la télévision linventeur de Casimir et des monstres gentils qui ont marqué. Christophe Izard père de Lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé dimanche a indiqué à lAFP Pierre-Alek Beddiar responsable dOsibo Productions la dernière société de production de M. Dimanche 31 juillet 2022 on a appris la mort de Christophe Izard créateur de lémission culte Lîle aux enfants. Christophe Izard père de Lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé ce dimanche 31 juillet a indiqué Pierre. Christophe Izard est décédé à lâge de 85 ans dimanche 31 juillet. Il avait créé Lîle aux enfants et Casimir un dinosaure orange devenu culte dans les années 70. Triste nouvelle pour les fans de Lîle aux enfants. Né le 30 mai 1937 à Paris Christophe Izard est le fils de lavocat Georges Izard 1903-1973 cofondateur de la revue Esprit en 1932 et futur membre en 1971 de lAcadémie française. Christophe Izard la papa de Casimir est mort Christophe Izard est décédé ce dimanche 31 juillet à 85 ans. Pierre-Alek Beddiar responsable dOsibo Productions la dernière société de Christophe Izard la annoncé. Izard a851964 Artist Edit Artist Share Marketplace 317 For Sale. Viewing All Christophe Izard C. Christophe Izard père de Lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé dimanche a indiqué à lAFP Pierre-Alek Beddiar responsable dOsibo Productions. Christophe Izard père de Lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé dimanche a indiqué à lAFP Pierre-Alek Beddiar responsable dOsibo. Christophe Izard créateur de lIle aux enfants est mort Producteur de télévision lhomme qui avait créé Casimir et ses amis en 1974 avait 85 ans. 85 years old he is left peacefully at home this morning in the Paris region he specified. Join Facebook to connect with Christophe Izard and others you may know. Cest à lui que lon doit des programmes devenus cultes Casimir et son père Christophe. Christophe Izard le père de lémission télévisée des années 1970 LIle aux enfants est décédé dimanche 31 juillet 2022 selon Pierre-Alek Beddiar PDG dOsibo Productions la dernière société de production dIzardPierre-Alek Beddiar 85 ans se dit parti paisiblement chez lui ce matin en région parisienne selon un communiqué. Le personnage principal de. Christophe Izard father of Lîle aux enfants a flagship youth program of the 1970s died on Sunday July 31 Pierre-Alek Beddiar head of Osibo Productions Christophes last production company told AFP. C hristophe izard père de lîle aux enfants émission phare pour la jeunesse des années 1970 est décédé dimanche 31 juillet a indiqué pierre-alek beddiar responsable dosibo productions sa. Âgé de 85 ans Christophe Izard est parti paisiblement chez lui ce matin en région parisienne précise-t-il. Facebook gives people the power to share. View the profiles of people named Christophe Izard. Join Facebook to connect with Christophe Izard and others you may know. Christophe Izard died on Sunday announced Pierre-Alek Beddiar head of Osibo Productions the last production company by Christophe Izard. Aged 85 Christophe Izard went peacefully home this morning in the Paris region. His choices of studies and early career did not foreshadow the rest of his professional career. Issyceqwmkhg8m Family Tree Of Christophe Izard Geneastar Christophe Izard Biography Christophe Izard Relationship Movie Credits Celebs Linkeddb Christophe Izard The Movie Database Tmdb Icwqjr7wjvywim Skngrqvew8s 9m Icvxotdorjvcrm Ab1nhwxpqqjoem I Fy9kbm3imc0m
ChristopheIzard, Writer: L'île aux enfants. Christophe Izard was a writer and producer, known for L'île aux enfants (1974), Calin Matin (1988) and Robinson Sucroë 1C’est en 1957 que Michel Izard a fait connaissance avec les hommes auxquels il allait vouer l’essentiel de son œuvre les Moose du Yatenga, au nord-ouest du pays qui s’appelait la Haute-Volta Burkina Faso actuel. 2On envisageait alors d’établir dans les zones fertilisées par le Sourou, un affluent-défluent de la Volta Noire, des paysans moose installés jusque-là un peu plus à l’est, sur les terres ingrates du Yatenga. L’Institut des sciences humaines appliquées de l’Université de Bordeaux et le Service de l’hydraulique de Ouagadougou l’avaient chargé d’évaluer l’impact du projet. 3Il devait enquêter dans les villages moose d’où l’on comptait faire venir les colons, tandis que les enquêtes dans les villages samo et marka appelés à les accueillir étaient confiées à Françoise Héritier. Michel Izard, Lubéron, 2001 Cl. Marie Mauzé 1 Cf. Michel Izard, L’Ethnologie en héritage, Paris, La Huit production, 2008. Sauf mention contraire ... 4À cette carrière d’ethnologue dont il effectuait ainsi les tout premiers pas, ses études initiales ne semblaient pas l’avoir préparé. Au sortir du lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine, il s’était d’abord inscrit dans une classe de mathématiques supérieures qu’il avait abandonnée peu après pour une propédeutique de lettres, avant de s’orienter vers la philosophie. Là, il avait bénéficié de l’enseignement de Jean Hippolyte, Jean Wahl, Vladimir Jankélévitch, Ferdinand Alquié… Son mémoire de diplôme d’études supérieures Des, rédigé en 1956 sous la direction de Jean Wahl, portait le titre Négation et négativité chez Spinoza, Hegel et dans la philosophie de Dom Deschamps. La règle voulait que les agrégatifs de philosophie passent un certificat scientifique », et beaucoup parmi eux optaient pour le certificat d’ethnologie délivré par l’Institut d’ethnologie du Musée de l’Homme. Il fut donc amené à suivre là des enseignements qui – il l’a confié dans un de ses derniers entretiens1 – n’avaient assurément pas l’envergure de ceux que lui dispensèrent ses maîtres en philosophie. Il décida cependant de se consacrer à l’ethnologie, et se mit à suivre les séminaires de l’École pratique des hautes études, où sa préférence allait aux chercheurs et enseignants américanistes Claude Lévi-Strauss, Jacques Soustelle, Guy Stresser-Péan, Roger Bastide. C’est ainsi qu’il se souvenait d’avoir planché durant trois heures sur l’analyse componentielle de la terminologie de parenté chez les Indiens Pawnee selon Ward H. Goodenough… 2 Moose est, dans la transcription devenue usuelle, la forme plurielle du nom de ceux que les vieux a ... 3 Voir l’important À Propos que lui a consacré Emmanuel Terray, L’État contre le pouvoir » L’Homme... 5Au moment où il arrive au Yatenga, il ne connaît à peu près rien de l’Afrique, et a dû se documenter en hâte, entre autres chez Louis Tauxier. Le Yatenga est le second par l’importance territoriale et démographique de la vingtaine de royaumes qui constituaient à la fin du xixe siècle le Moogo, ou pays des Moose2. Michel Izard l’aura parcouru durant près de vingt ans, dans une enquête conduite village par village, quartier par quartier. Au total, près de 2200 quartiers qu’il répertorie systématiquement, et où il recueille traditions orales, récits de fondation, histoire du peuplement, chronologie des règnes et des commandements, bref, la trame sur laquelle viendra se fonder une réflexion anthropologique, toujours soucieuse de dialoguer avec l’histoire. L’entreprise aboutit, en 1980, à la soutenance d’une thèse d’État intitulée Les Archives orales d’un royaume africain. Recherches sur la formation du Yatenga, dont une partie a été publiée en 1985 sous la forme de deux ouvrages Gens du pouvoir, gens de la terre. Les institutions politiques de l’ancien royaume du Yatenga Bassin de la Haute-Volta Blanche et Le Yatenga précolonial. Un ancien royaume du Burkina, qui retrace l’histoire du royaume depuis le xvie siècle – date supposée de l’arrivée des conquérants moose – jusqu’à la fin du xixe siècle. Plus tard viendront L’Odyssée du pouvoir. Un royaume africain État, société, destin individuel 19923, et enfin Moogo. L’émergence d’un espace étatique ouest-africain au xvie siècle. Étude d’anthropologie historique 2003. Michel Izard, Haute-Volta, vers 1960 6Dialoguer avec l’histoire, avons-nous dit. De fait, Michel Izard reconnaissait dans l’entretien déjà cité avoir plus d’intérêt pour l’histoire que pour l’anthropologie des mythes, des rituels, etc. tout en ayant un grand respect pour ce genre de démarche ». À quoi il ajoutait avoir la naïveté de croire que l’histoire, ça aide directement les gens chez lesquels on a travaillé ». Ainsi, dans le dossier qu’il présenta en 1986, à l’appui d’une demande de promotion au grade de directeur de recherches de classe exceptionnelle du Centre national de la recherche scientifique, il écrivait à propos de son Yatenga précolonial Écrit de sorte qu’il soit accessible à des non-spécialistes, il est certainement, de tous les travaux que j’ai publiés, celui dont la rédaction et ce qu’il est convenu d’appeler la “réception” m’ont procuré le plus de plaisir, simplement parce que je le destinais aux gens du Yatenga et que ceux-ci, après que j’ai pu en assurer une très large diffusion parmi eux, en ont fait leur bien propre beau témoignage de satisfaction pour celui dont, à son corps défendant, ils avaient fait leur rogemmiki naaba, créant à cette occasion une fonction dont l’objet était la conservation de ce que l’on est “né trouver”. Même si je me suis parfois inquiété de voir promues au rang de “faits” ce qui n’est pour l’historien que fragiles constructions à la valeur de vérité souvent indécidable […], j’ai trouvé, dans l’accueil fait à ce que l’on appelle lourdement aujourd’hui la restitution de l’information, l’écho du souci de mes informateurs des années 1963-1971 de savoir si ce qu’ils me disaient se retrouverait bien dans “le livre” que je n’allais certainement pas manquer d’écrire en manière d’hommage à leur sourcilleuse passion pour la gloire du “pays de Naaba Yaadga” [le fondateur du royaume] ». 7Il suffit cependant de lire une page de Michel Izard pour l’identifier sans hésiter comme un anthropologue. En même temps qu’il s’attachait à rendre le détail de la succession des événements, à en reconstituer la chronologie probable, il a voulu dégager la forme des phénomènes dont le pays moaga a été le théâtre durant plus de quatre siècles. Forme dont, de sa thèse à ses derniers écrits, il s’est efforcé de circonscrire les traits les plus essentiels, parvenant à lui donner, au terme d’une longue distillation, la simplicité et la clarté d’une épure. Ce souci de réduire à l’essentiel les données recueillies, on le retrouverait certes chez des historiens, mais il a surtout caractérisé, en France du moins, l’anthropologie sociale. 8Les figures dont il a tracé les contours, en les dépouillant de l’accessoire, sont devenues le bien commun de la profession, la plus marquante – sa mise au jour restera un apport majeur – étant le face à face entre Gens du pouvoir et Gens de la terre ces maîtres venus d’ailleurs, contraints de s’en remettre à leurs sujets autochtones du soin de propitier une terre nourricière sur laquelle la conquête ne leur a donné aucun pouvoir, quel enseignement d’anthropologie pourrait aujourd’hui se dispenser de les évoquer ? De même pour ce roi auquel ses serviteurs, gens de basse extraction, ont peu à peu arraché la réalité d’un pouvoir dont il ne conserve que le faste et les pompes ; pour les nakombse, ces hobereaux qui, leurs liens généalogiques avec le lignage royal s’étant distendus au fil des générations, ne sont plus que des guerriers sans guerre et des seigneurs sans fief, riches de leur seul orgueil et tenaillés par leur amertume. Figures dont la contemplation nous ramène à des chemins maintes fois parcourus par les penseurs du politique. Si l’anthropologie consiste à rendre disponibles à la comparaison les matériaux singuliers qu’elle recueille dans les sociétés les plus diverses, alors l’œuvre de Michel Izard est de part en part anthropologique. 9Dans tout cela, l’élaboration théorique aura été inséparable du souci de l’écriture. Ses proches, tous ceux dont il a relu, annoté et souvent corrigé les manuscrits, ceux qui ont reçu de lui ces lettres dactylographiées où la relation de faits même ténus faisait l’objet d’un labeur scripturaire, savent son exigence dans ce domaine. Tout comme ils savent l’ancienneté et l’intimité de son commerce avec la littérature. En premier lieu les surréalistes, dont le contact remonte à ses années de lycée. Michel Izard le datait de l’exposition que la galerie Maeght leur a consacrée en 1947, alors qu’il n’avait que seize ans. S’il prit par la suite ses distances avec le mouvement, il a toujours gardé un profond attachement au bouleversement du monde et de la sensibilité que [lui] a apporté le Surréalisme ». Julien Gracq a aussi compté pour lui, et plus tard Walter Benjamin, dont il aborda l’œuvre vers 1970. 4 Roland Barthes, Sade, Fourier, Loyola, Paris, Le Seuil, 1970. 5 Michel Volkovitch, Verbier. Herbier verbal, Paris, Nadeau, 2000. 10Son souci de l’écriture, peut-être justement parce que sa longue fréquentation de quelques grands auteurs l’avait amené depuis longtemps à se défaire des naïvetés et clichés, a peu à voir avec la nombriliste complaisance où s’égare toute une ethnographie récente ou moins récente. Sobre et compacte, adamantine et ascétique, sa prose peut paraître froide, distanciée, janséniste » ; elle est surtout d’un auteur qui se méfiait de l’emphase et de l’effusion. Curieuse rencontre avec la société moaga elle-même, dont il a aimé l’équilibre, l’absence de propension à l’excès ». Le plaisir de l’écriture réside ici dans la soustraction, non dans l’expansion. On pense aux pages où, au début de son Sade, Fourier, Loyola, Roland Barthes rappelle que le style n’est pas un ajout à la pensée, mais la pensée elle-même, advenue dans l’écriture4. On peut aussi évoquer ce conseil d’écriture sur lequel Michel Volkovitch conclut son Verbier Le style ce qui reste quand on a tout raboté »5. 11Michel Izard aura beaucoup raboté. Le travail de la varlope se perçoit dans Le Yatenga précolonial…, livre qu’on pourrait dire narratif, mais où la densité et le souci de la synthèse annoncent déjà le tour si aphoristique des textes plus théoriques ». Il est poussé à l’extrême dans L’Odyssée du pouvoir…, recueil d’articles soumis pour cette édition à un impitoyable assèchement ; là, rien n’a été gardé que l’essentiel l’État, la société, la guerre, le destin individuel, l’identité, le sacrifice, le rapport à la terre et au territoire, les ancêtres, autant de sujets sur lesquels Michel Izard aura, de son écriture acérée, laissé une indélébile empreinte. 12À côté de l’œuvre concernant les Moose, Michel Izard a dirigé ou codirigé une série d’ouvrages d’une portée plus générale La Fonction symbolique. Essais d’anthropologie en 1979, avec Pierre Smith, livre qui donne une bonne idée d’ensemble de ce qu’étaient alors les réflexions de style structuraliste sur les mythes et le rituel ; Antropologia delle tradizioni intellettuali Francia e Italia en 2000, avec Fabio Viti ; en 2004, un cahier de L’Herne consacré à Claude Lévi-Strauss. Et aussi le Dictionnaire de l’ethnologie et de l’anthropologie, publié en 1991 et qui depuis a fait l’objet de plusieurs rééditions et traductions. Entreprise dont il fut le principal maître d’œuvre, ce dictionnaire était le fruit d’un long chantier ouvert dès 1984 et autour duquel il a rassemblé la plupart des anthropologues français. À quoi s’ajoutent – témoignage de l’étendue de ses curiosités – toutes sortes d’articles, notes ou recensions qui ont pu porter aussi bien sur les sociétés africaines que sur la parenté bretonne, l’ethnologie nord-américaine, la figure de Volney ou le parcours de Walter Benjamin. 13Tout comme son œuvre écrite, les responsabilités scientifiques et administratives qu’il a assumées dès le début de sa carrière auront concerné l’anthropologie en général autant que la recherche africaniste. Ses fonctions se sont notamment exercées au Centre voltaïque de la recherche scientifique Cvrs, comme directeur de 1968 à 1969 puis conseiller scientifique jusqu’en 1979 ; à l’Orstom actuel Ird où il a effectué diverses missions d’évaluation ; au Centre national de la recherche scientifique où il a été, en 1982, chargé de mission auprès du Département des sciences de l’homme et de la société, et où il a présidé de 1983 à 1986 la section 33 Anthropologie, ethnologie, préhistoire » du Comité national de la recherche scientifique. C’est d’ailleurs sur sa proposition que, lors du remodelage du Comité national en 1992, une nouvelle section spécifiquement consacrée à l’ethnologie a été baptisée Unité de l’homme et diversité des cultures » un intitulé qui pourrait aussi bien servir d’épigraphe à son œuvre. On doit aussi mentionner les missions assurées pour le compte de l’Unesco, du festival panafricain du cinéma de Ouagadougou Fespaco, du Ministère de la recherche et de l’industrie, du Ministère de la coopération et du développement ; les revues ou collections qu’il a animées ou auxquelles il a collaboré activement Notes et documents voltaïques, Voix voltaïque, Systèmes de pensée en Afrique noire, Journal des africanistes, L’Homme, les Cahiers de Gradhiva » ; les enseignements qu’il a dispensés, les travaux qu’il a dirigés ou les séminaires qu’il a coordonnés, à l’École des hautes études en sciences sociales, à l’Université de Nanterre-Paris x, à l’Université de Ouagadougou. Comment ne pas évoquer, en particulier, le séminaire Anthropologie sociale comparée », qu’il a organisé à l’Ehess, depuis le début des années 1980 jusqu’au milieu des années 1990. De grands noms sont venus s’y exprimer Emmanuel Terray, Jean Pouillon, Denise Paulme, Alfred Adler, Claude Tardits, Raymond Firth, André Green et bien d’autres, et les débutants que nous étions alors, anthropologues de la génération suivante, ont presque tous eu l’occasion d’y faire leurs premières armes un jour ou l’autre. Dans tout cela, il aura été au service de la cité scientifique. Ses pairs, notamment ceux qui ont dirigé avec lui des ouvrages collectifs, savent quelle était sa disponibilité au dialogue et à l’accueil ; ses cadets le savent plus encore, eux justement qu’il a accueillis en si grand nombre dans son séminaire, et qui étaient tellement surpris, lorsqu’ils avaient franchi la porte de son bureau, de la générosité avec laquelle il leur prodiguait ses conseils. Souvent consacrées aux premiers ouvrages de jeunes collègues, ses recensions témoignent de l’intérêt qu’il leur portait son exigence de rigueur n’allait pas sans bienveillance. 14Tel fut l’homme de science qui vient de nous quitter. Mais, pour nous, Michel Izard était d’abord un ami. Nous l’admirions, nous l’aimions, et aujourd’hui nous l’avons perdu. Michel, resquiescas in pace. 15Les photographies présentées depuis cette page ont été prises par Michel Izard, lors de ses premiers terrains en Haute-Volta, en pays mossi 1957-1958, 1960-1963. Casimiren deuil : son créateur, Christophe Izard, est mort à l'âge de 85 ans 9 Instant Vintage : quand Jacques Villeret se confiait à Télé Star sur le tournage du film Les frères Pétard 1Michel Izard, historien et philosophe ? Michel Izard anthropologue, d’abord, bien sûr, et grand anthropologue. Mais grand anthropologue, dans la mesure peut-être où il a été aussi profondément historien et profondément philosophe. 1 Paris, Cnrs – Ouagadougou, Cvrs, 1970, 2 vol. 2Profondément historien d’abord. On n’a sans doute pas assez mesuré à sa juste valeur l’exploit scientifique qu’a représenté la publication en 1970 des deux volumes de l’Introduction à l’histoire des royaumes Mossi1. À cette date, en France au moins, les historiens dans leur majorité soutenaient que, faute de documents écrits, il était impossible d’écrire l’histoire de l’Afrique subsaharienne précoloniale. Les historiens qui s’intéressaient à l’Afrique – Henri Brunschwig, Catherine Coquery-Vidrovitch – s’en tenaient à la période coloniale. Seule Claude-Hélène Perrot s’aventurait en zone interdite. Jan Vansina avait déjà publié son essai fondateur De la tradition orale. Essai de méthode historique, mais son ouvrage était de caractère essentiellement programmatique. Alors vint Michel Izard ; il fut donc incontestablement le premier. 3Dans son livre, à partir des généalogies et des durées de règne livrés par la tradition, il construit une chronologie de l’histoire des royaumes moosi qui rencontrera dès sa publication l’adhésion des spécialistes français et étrangers de la région. Premier succès, remporté précisément dans le domaine où la tradition était réputée la plus fragile ou la plus inutilisable. Mais son apport ne s’arrête pas là. Tout d’abord, il introduit une notion nouvelle celle de tradition dominante, dont il précise qu’elle varie selon les périodes et selon les conjonctures ; chacune de ces variations a un sens historique ou sociologique que l’on peut essayer de saisir. Au surplus, précisément parce qu’elle reflète l’opinion d’une majorité, elle ne livre qu’une information pauvre et simplifiée, seule susceptible de rallier les suffrages de la plupart. Autant dire qu’elle nous invite à étudier avec attention les traditions écartées, dont les énoncés se révèlent souvent beaucoup plus riches. 4Michel Izard se sert de ces instruments pour décrire, dans une très belle démonstration, comment la généalogie royale des souverains moosi a été façonnée et imposée à partir du moment où la division du royaume, et l’éparpillement de ses composantes sur un territoire de plus en plus vaste, ont posé, de manière de plus en plus aiguë, la question de son unité bâtir une généalogie parfaitement pyramidale, rattachant toutes les branches de la dynastie à un ancêtre fondateur unique – le trop fameux Wedraogo – c’était donner corps à ce fantasme d’unicité » qui n’a pas cessé de hanter l’esprit des dirigeants moose au moment même où ils multiplient sécessions et affrontements. 5Michel Izard philosophe, à présent. D’une certain façon, toute l’œuvre de Michel Izard peut être regardée comme une méditation sur le pouvoir, sur ses origines ou ses fondements, sur son exercice, sur ses limites. Bien entendu, je n’essaierai pas de distinguer, dans cette méditation, ce qui appartient à Michel Izard et ce qui appartient à ses interlocuteurs la question est privée de sens, car il s’agit au sens le plus strict du terme d’une œuvre commune où tout est à tous. Je ne tenterai pas non plus de restituer cette œuvre dans sa rigueur et dans sa complexité, et m’en tiendrai à quatre aspects, qui m’ont particulièrement interpellé. 2 Michel Izard, Moogo, l’émergence d’un espace étatique ouest-africain au XVIe siècle. Étude d’anthro ... 6Premier aspect, je cite Le pouvoir est bon et malheur à ceux qui n’en reconnaissent pas les bienfaits2. » Dans la pensée occidentale, le pouvoir en soi est estimé neutre ; il est jugé selon l’usage qui en est fait. Rien de tel ici pris en lui-même, le pouvoir est bon ; il est principe d’ordre et facteur de paix. Dès lors, des personnes sensées ne peuvent que se féliciter de son établissement, et accepter sans rechigner ses prescriptions et ses interdits. 7Sur cette base, Michel Izard s’en prend à la notion de conquête en pays mooga, il y a eu beaucoup moins conquête qu’infiltration lente et pacifique ; l’installation des chefferies moose a souvent été l’objet d’un consensus entre les nouveaux arrivants et leurs hôtes autochtones, et il est même arrivé que ceux-ci sollicitent la venue de ceux-là. Finalement, Michel Izard remet en cause l’idée même d’une genèse exogène de l’État, liée à l’intrusion d’étrangers. Nous serions en présence d’un processus endogène, au travers duquel des fractions insatisfaites de la société font en quelque sorte sécession, sur le plan moral et politique, pour imposer l’introduction d’un ordre social plus conforme à leurs vœux. 3 Ibid., 119-120. 8Second aspect le pouvoir naam est un fait ou une donnée première ; il n’a pas d’antécédents, on n’en peut découvrir aucune genèse ; dès le premier moment de l’histoire, il est présent comme Athéna est sortie toute armée de la tête de Zeus. Très précisément, son seul fondement est Naaba Wende, le dieu suprême, dont c’est d’ailleurs la seule intervention dans les affaires humaines. Je cite Du wennaam, le pouvoir de Naaba Wende, il n’y a rien d’autre à dire que ceci qu’il est, et il en va de même du naam humain, à ceci près que ce dernier n’est rien sans l’aval du naam divin. La généalogie qui associe le wennaam au naam vaut légitimation pleine et entière de l’existence du pouvoir immanent par celle d’un pouvoir transcendant en ce sens elle absolutise le naam3. » 4 Ibid., 119, 124, 150. 9Mais ce naam humain, c’est sur terre qu’il doit s’exercer il va donc devoir tout d’abord s’affirmer en se séparant radicalement de son environnement. C’est ainsi qu’aux origines de la dynastie, la filiation utérine vient se substituer à la filiation patrilinéaire partout en usage ; de même, lors de la dévolution des chefferies, la succession selon l’ordre segmentaire est abolie, et une différence radicale est introduite entre le chef supérieur d’un côté, l’ensemble de ses subordonnés de l’autre. Cette libération acquise, il faut maintenant que ce don du ciel qu’est le naam trouve un site où atterrir, un espace où s’exercer, et c’est pourquoi ce naam en quête d’ancrage local peut être considéré par Michel Izard comme un pouvoir nomade4 ». 5 Ibid., 147. 10Troisième aspect ce nomadisme du pouvoir s’accomplit dans la zone qui sépare les gens du pouvoir des gens de la terre. Prenons-y garde cette opposition entre gens du pouvoir et gens de la terre n’a de sens historique qu’en apparence ; en apparence seulement, elle distingue des conquérants et des autochtones. En réalité, la quasi-totalité des communautés locales sont divisées selon ce contraste, qui est donc d’ordre structural ; on observe une itération à l’infini de la relation autochtones/ conquérants qui peut revêtir une signification formelle, mais n’a aucune signification historique, moins encore politique5 ». Et entre les deux catégories, les passages sont multiples. Soit une communauté A partagée entre gens du pouvoir et gens de la terre ; elle tombe sous le commandement d’une communauté B appartenant aux conquérants ; désormais la communauté A tout entière passe du côté des gens de la terre, mais en son sein les fonctions de maître du sol sont exercées par les anciens conquérants. 6 Ibid., p. 121. 7 Ibid., p. 371. 11De même, on assiste sur une grande échelle à un processus d’autochtonisation des lignées aristocratiques qui ne sont plus en mesure d’accéder au pouvoir ; inversement, les gens de la terre entrent en nombre dans le service royal. Finalement, le caractère récurrent de l’opposition entre gens du pouvoir et gens de la terre est un indice de la dissymétrie fondamentale qui marque le système politique mooga le pouvoir a besoin de la légitimation de la terre, tandis que l’inverse n’est pas vrai. Dans un tout autre langage, on pourrait dire que l’État a besoin pour exister d’un ancrage dans l’absence de l’État, alors que l’inverse n’a pas de sens6 » ou encore la différence radicale entre le monde du pouvoir et celui de la terre est que le premier a besoin du second, tandis que la réciproque n’est pas vraie7. » Cette dépendance du pouvoir est un apport fondamental. 8 Ibid., pp. 121, 129, 253, 274. 9 Ibid., p. 113. 12Dernier aspect, Michel Izard met remarquablement en lumière les antagonismes et les apories qui marquent en pays moogo le processus de construction étatique. Je passe sur le conflit très classique entre les princes et les serviteurs du souverain, et sur la tension qui, parmi les serviteurs, oppose les agents libres aux captifs. Plus originale est la difficulté posée par le statut des naam tandis que l’ordre segmentaire impose une hiérarchisation des naam, telle qu’aucun naam ne puisse être tenu pour l’égal d’un autre, tous les naam subordonnés sont équivalents au regard du naam supérieur qui les commande. Autre opposition la poursuite aristocratique du naam conduit à un émiettement à l’infini de ce dernier, lequel heurte de plein fouet le fantasme d’unicité auquel les Moose sont tellement attachés8. La formation de l’État, dans ce contexte, c’est la quête d’un dépassement d’une double antinomie l’un et le multiple, l’identique et le différent9. » 13En voilà assez, je l’espère, pour montrer l’originalité et la puissance de cette philosophie politique. Le jour où nous consentirons à sortir de notre provincialisme occidental, elle prendra place, j’en suis sûr, parmi les grandes théories que nous propose l’histoire du monde.
Tuvis dans un trip infernal. De néons, de cuir et d'acier. Tu vises ta dégaine. Au gré du vice qui te plaît. On dirait un magazine. Quand tu passes c'est la radio. Je fais crier ma machine. Et tchao. Bye.
Fan des corgis, des iconiques Spice Girls, de la princesse Diana et adepte de tea time, Tom Spencer aime notamment relater la vie des membres de la couronne britannique mais n’est jamais contre un petit détour outre-Atlantique. Triste nouvelle pour le monde du petit écran. Dimanche 31 juillet 2022, on a appris la mort de Christophe Izard, créateur de l'émission culte "L'île aux enfants". Il était âgé de 85 ans. Sur la Toile, nombreux sont ceux à lui avoir rendu hommage. Christophe Izard, père de L'île aux enfants, émission phare pour la jeunesse des années 1970, est mort dimanche 31 juillet , a indiqué à l'AFP Pierre-Alek Beddiar, responsable d'Osibo Productions, la dernière société de production de l'animateur. Agé de 85 ans, Christophe Izard est "parti paisiblement chez lui, ce matin en région parisienne". Il rejoint dans les étoiles d'autres figures incontournables de L'Ile aux enfants... Ces dernières années, le petit écran avait ainsi déjà pleuré les disparitions de Régis Fassier le marionnettiste et doublure de Casimir, Eliane Gauthier Julie la marchande de bonbons ou encore Patrick Bricard François, étudiant et marchand de ballons. Le décès de Christophe Izard a suscité énormément de réactions. "Il a accompagné et enchanté l'enfance de plusieurs générations. Christophe Izard nous laisse orphelins d'un pays joyeux où c'était tous les jours le printemps", a réagi sur Twitter la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak. Bouleversé, l'animateur Christophe Beaugrand lui a également rendu hommage "Casimir et une bonne partie de nos enfances à tous sont en deuil aujourd'hui. Au revoir monsieur Izard." Comment est née L'île aux enfants ? Après des études de droit, Christophe Izard, fils d'un avocat renommé, avait entamé une carrière journalistique en chroniquant la vie musicale du tout-Paris. En 1968, il avait rejoint l'ORTF, la première chaîne de télévision publique, avant de créer, développer et produire L'île aux enfants en 1974. Il en écrira non seulement les premiers épisodes, mais signera également les textes des chansons, dont le célèbre Voici venu le temps, des rires et des chants... Pendant presque 1 000 épisodes, L'île aux enfants a enchanté l'ORTF, France 3, puis TF1, avant de s'arrêter en 1982. Dès 1975, Christophe Izard a proposé également une autre émission, Les visiteurs du mercredi, qui s'adressait à toutes les tranches d'âges enfantines, avec des dessins animés tels que Barbapapa et des séries comme Prince Noir. Pour succéder à L'île aux enfants, Christophe Izard lancera Le village dans le nuages, qui durera jusqu'en 1985 sur TF1. En 1987, Christophe Izard sera évincé de la Une fraîchement privatisée et rejoindra Antenne 2. Il créera notamment ensuite le dessin animé Albert le cinquième mousquetaire. Abonnez-vous à Purepeople sur facebook
Cest à Brain Magazine que Christophe a réservé l’exclusivité de ses confessions sur Romain, le fils qu’il a eu avec Michèle Torr en 1967.En pleine époque yéyé, en 1966, les deux Encore aucune lettre pour cette personne, vous pouvez être le premier à écrire une lettre ouverte en français à Michel lettre sera comme une bouteille à la mer, si la personne concernée se cherche sur Internet, il est possible qu'elle lise votre lettre. Plusieurs personnes pouvant porter le même nom, essayez de précisez des lieux et des dates pour être sûr de vous adressez à la bonne personne. Ne laissez pas de coordonnées qui pourraient être mal utilisées, hormis votre adresse électronique dans le champ adéquat qui restera serez informé par courriel des réponses à votre lettre. Les lettres comportant une adresse électronique invalide, trop de fautes d'orthographe, des diffamations ou des propos contraires à la loi seront supprimées. . 126 362 312 339 89 486 94 441

michel izard est il le fils de christophe izard