Lapolice nationale du Mali, il y a seulement quelques annĂ©es de cela Ă©tait sollicitĂ©e par tout le monde lors des grands Ă©vĂ©nements, notamment des cĂ©rĂ©monies et autres manifestations pour le maintien de l’ordre. Mais depuis un certain temps, cette police nationale ne semble plus rĂ©pondre Ă  l’attente des uns et des autres, en plus, elle serait en train de ï»żAller au menu Aller au contenu principal Vous ĂȘtes ici Accueil MĂ©tiers Policier en maintien de l՚ordre Missions Assurer le maintien de l’ordre public et son rĂ©tablissement si nĂ©cessaire ; assurer les missions propres de surveillance et de protection des personnes et des biens ; concourir, avec les effectifs de la direction centrale de sĂ©curitĂ© publique DCSP, Ă  la lutte contre les violences urbaines ; participer Ă  la lutte contre le terrorisme et intervenir sur des actions de tuerie de masse et actes terroristes ; porter aide et assistance aux populations en cas de sinistres graves. ConfĂ©rence depuis le salon du lycĂ©en et de l'Ă©tudiant 2022 sur le mĂ©tier de CRS ; Conditions d'accĂšs Tous policiers gradĂ©s et gardiens de la paix, officiers et commissaires. Choix de poste en sortie d’école de police. Dans le cadre de mutation interne, sur proposition de vacance de postes. SĂ©lection Jury d’entretien, si mutation interne. Formation DĂšs la prise de poste, le policier bĂ©nĂ©ficie de formations spĂ©cifiques aux diffĂ©rents usages d’armements collectifs, de matĂ©riels adaptĂ©s Ă  la gestion de foule.
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Arrestation Ă©meutiers dans un coron. Mes prĂ©cĂ©dents articles prĂ©sentaient l'historique plutĂŽt court du maintien de l'ordre en France, les raisons internes comme externes Ă  son Ă©volution, la doctrine mise en place dans la plupart des pays europĂ©ens ignorĂ©e en France, et enfin le SchĂ©ma National de Maintien de l'Ordre SNMO de GĂ©rald Darmanin. J'ai largement illustrĂ© mon propos des rĂ©actions des syndicats de police police nationale qui considĂšre les manifestants comme leurs ennemis. Par ailleurs, sauf dans un rare cas – soit le syndicat de police VIGI – il n'existe aucune analyse sĂ©rieuse de la doctrine de maintien de l'ordre dĂ©finit par Darmanin Ă©manant de la police nationale. J'ai trouvĂ© un avis plus construit et plus argumentĂ© – je souhaite que vous m'applaudissez ! - dans une publication de la Gendarmerie Nationale. Il s'agit d'un numĂ©ro spĂ©cial datant de Juin 2020 que je vous met en fichier. AprĂšs plusieurs articles de prĂ©sentation historique, la question tombe comment sortir du discrĂ©dit ? » dans le dossier "Doctrine" signĂ© par le gĂ©nĂ©ral d’armĂ©e 2S Jean-RĂ©gis VĂ©chambre, prĂ©cise que ses propos n’engagent pas l’institution Ă  laquelle il a appartenu, en l’occurrence la gendarmerie, ni les travaux du schĂ©ma national du maintien de l’ordre auxquels il a participĂ© ». Face aux images de violences policiĂšres qu'il n'appelle pas comme cela, mais souligne un usage de la force disproportionnĂ©, il prĂ©cise Les sociologues voient leurs thĂšses confortĂ©es. Les violences policiĂšres provoquent la violence des manifestants, les mĂ©thodes fabriquent des ennemis. Comme Jean-Luc MĂ©lenchon le dĂ©clarait le 25 septembre 2019, les policiers seraient-ils devenus des barbares ? Ils dĂ©plorent enfin que la France n’ait pas adoptĂ©e la doctrine KFCD » » Il conteste, bien Ă©videment, l'expression de violences policiĂšres » qui autorisent, selon lui, un retournement de situation, soit la violence des manifestants contre les forces de l'ordre. Il Ă©voque une manipulation permettant d'accepter des actes illĂ©gaux comme les ZAD zones Ă  dĂ©fendre alors qu'il s'agit de zones occupĂ©es illĂ©galement des ZOI?. On ne fera pas d'un gĂ©nĂ©ral une Antigone. Il remet en cause les vidĂ©os de violences policiĂšres, virales », au mĂȘme titre que les street mĂ©dic » et regrette que du cĂŽtĂ© des forces de l'ordre, l'usage des vidĂ©os soit guĂšre possible. On apprĂ©ciera le raccourci. Comme je l'explique dans ma note en fin de cette article des vidĂ©os Ă©manant des pouvoirs publics existent dĂ©jĂ . La question n'est pas qui ou comment sont produites les images, mais la confiance en l'Etat et les forces de l'ordre dans le traitement de ces images. Quant aux street medic, qui sont prĂ©sentĂ©s par notre gĂ©nĂ©ral comme apolitiques ou radicaux » j'ignorais qu'ĂȘtre apolitique Ă©tait jugĂ© dangereux, ils soignent aussi les forces de l'ordre. Le cas le plus cĂ©lĂšbre est un policier qui a fait une crise cardiaque lors d'une manifestation en mars 2019 qui a Ă©tĂ© secouru par une street medic. Si ce gĂ©nĂ©ral d'armĂ©e est dĂ©rangĂ© par la prĂ©sence de street medic, bĂ©nĂ©voles, y voyant des images faisant croire Ă  une scĂšne de guerre, il n'est pas choquĂ© par l'absence de structures officielles permettant de prodiguer les premiers soins aux blessĂ©s. La question de la visibilitĂ© des forces de l'ordre, lors des manifestations, a toujours Ă©tĂ© au cƓur des organisations des manifestations lorsqu'il existait des services d'ordre privĂ©s. Le dĂ©bat n'est pas inintĂ©ressant en soi. Cependant, ces derniĂšres annĂ©es, ce n'est pas juste une visibilitĂ© de policiers Ă  des carrefours qui est mis en cause. Il s'agit de s'interroger sur le nombre de policiers par rapport au nombre de manifestants, selon les chiffres du ministĂšre de l'IntĂ©rieur. En se basant sur ces donnĂ©es, on compte 2 policiers pour 5 manifestants Ă  1 policier pour 1 manifestant. Au point que cette prĂ©sence de policiers tient plus d'une contre-manifestation organisĂ©e par le gouvernement qu'Ă  un maintien de l'ordre. Afin de sortir du piĂšge sĂ©mantique », ce gĂ©nĂ©ral propose de modifier le vocabulaire utilisĂ© dans le cadre du maintien de l'ordre. Il s’agirait d’abord de passer du concept de maintien de l’ordre / rĂ©tablissement de l’ordre » Ă  celui de protection de la paix et de l’expression publique ». Ce concept donne le vrai sens Ă  la mission qui est de faciliter et protĂ©ger l’expression publique et l’environnement. » Et de continuer Il ouvre Ă  un dialogue continu, en amont,pendant et en aval avec les manifestants, dans le cadre d’un accompagnement. Il le rend compatible avec la complexitĂ© des situations ou phĂ©nomĂšnes manifestations classiques de rue ou de lieux ou imbriquĂ©es avec des contestations violentes, violences urbaines dans les zones contestĂ©es Ă  l’occasion de rĂ©unions ou de rassemblements, phĂ©nomĂšnes durables de contestation de la dĂ©mocratie. Il permet une approche globale renseignement, police administrative, police judiciaire, communication
, inscrite dans la durĂ©e, avec un commandement intĂ©grĂ©. Il accentue le contrĂŽle sur le comportement des forces de l’ordre. Enfin, il peut redorer la notion plus vaste d’ordre public qui pĂątit de l’image nĂ©gative du MO.» Et bien je suis tout Ă  fait d'accord. C'est le K » de connaissance 
 je veux dire de Knowledge ». La question de fond n'est pas vraiment comment est perçu les forces de l'ordre par les manifestants, mĂȘme les plus radicaux – mais par le gouvernement. Les forces de l'ordre sont devenu le principal outil du gouvernement pour faire taire une contestation sociale alors qu'elles devraient ĂȘtre au service des citoyens et, Ă  ce titre, se devant leur faciliter leurs contestations sociales. Dis-je. Neutre, la force publique ne s’inscrit pas dans une logique de confrontation, qu’elle cherche Ă  tout prix Ă  prĂ©venir, dont elle ne saurait ĂȘtre Ă  l’origine et qui, lorsqu’elle se produit, doit ĂȘtre apaisĂ©e. » dit-il. Enfin pour amĂ©liorer la perception des forces de l'ordre, il s'agirait aussi de faire une rĂ©vision sĂ©mantique. Les sĂ©mantiques tactiques et techniques ont la mĂȘme importance. La notion de nasse est dramatique. Celle d’encerclement le serait tout autant. DĂ©nommer les nouvelles brigades moto brigades de rĂ©pression de l’action violente » constitue un contre-sens grave ; le seul outil de rĂ©pression en possession des forces de sĂ©curitĂ© est la contravention, les crimes et dĂ©lits relevant de la justice. L’emploi de la force lĂ©gitime n’est pas un outil de rĂ©pression. C’est toute la diffĂ©rence stratĂ©gique entre une matraque et un bĂąton de protection. » explique-t-il. Je souhaite souligner que si les manifestants radicaux jouent de la sĂ©mantique, les choix des appellations des brigades ne sont pas choisies par manque d'imagination. En mettant en place des Brigades de rĂ©pression des actions violentes motorisĂ©es BRAV-M, c'est bien parce que le rĂŽle jouĂ© et souhaitĂ© par le gouvernement et, en particulier, par le prĂ©fet Didier Lallement, est bien la rĂ©pression » de manifestations. Il s'agit aussi d'instituer la peur parmi les manifestants. Cette brigade ne sĂ©curise pas, ne contrĂŽle pas, ou encore mĂȘme n'a rien Ă  voir avec du maintien de l'ordre, mais rĂ©prime - devant par lĂ  "juge" et bras armĂ© du gouvernement. Si les BRAV-M sont une initiative du PrĂ©fet Didier Lallement, GĂ©rard Darmanin souhaite lancer une "Force d'Appui Rapide" FAR composĂ© de CRS "volontaires" et en fonction de certains critĂšres physiques, suivant le modĂšle des BRAV. L'Ă©quipement sera composĂ© de vĂ©hicules 4X4 pouvant franchir des barricades et derriĂšre les barricades, il y a des gens, non?, des casques plus lĂ©gers pour le combat et des Ă©quipements ignifugĂ©s pour aller au feu ... Cela donne tout de l'idĂ©e que ce fait Darmanin du "maintien de l'ordre". " Pour mieux se protĂ©ger, les forces de police se sont robocopisĂ©es ». Cette tenue, faute de modularitĂ©, interdit gradualitĂ© et rĂ©versibilitĂ©. À l’opposĂ© des leçons que le colonel Vicaire s’était attachĂ© Ă  donner, en chemisette bleue et kĂ©pi, sur le pont de Verbania au Kosovo. Il n’hĂ©sitait pas Ă  dire que ROBOCOP est un modĂšle agressif et provocateur donc amplificateur de dĂ©sordre. Il avait raison » Dans le dĂ©veloppement incontournable du dialogue continu avec les manifestants et l’environnement, celui-ci exige en outre la crĂ©ation d’unitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, allant de la prĂ©paration de la manifestation Ă  l’accompagnement de sa dispersion, tant au contact que par le truchement d’outils numĂ©riques de dialogue et des rĂ©seaux sociaux. » Il reformule ainsi l'idĂ©e gĂ©nĂ©rale de proximitĂ© sinon d'identification avec les manifestants. Les mĂ©diateurs allemands sont en civil. Le SNMO considĂšre, comme allant de soi, le paquetage classique des forces de l'ordre. L’attaque de provocation par ces groupes [note de la Maçonne les Black bloc] emporte la rĂ©plique alors que, pour pacifier, la violence appelant la violence, il est impĂ©ratif de toujours tenter d’éviter au maximum l’emploi de la force. Ce que la gendarmerie sait depuis 1840 Il faut la plus grande modĂ©ration, mĂȘme la longanimitĂ© ; les menaces de faire usage des armes, les actions brutales faites avec les chevaux pour Ă©craser, les simulacres de charges, sont tous moyens faibles et dangereux qui ne font en rĂ©sultat qu’irriter les masses ou les encourager. » De May d’Aulnay, 1840, 31 » Ainsi depuis 1840, la Gendarmerie Nationale, sans avoir besoin de sociologues et de psychologues gauchistes », comprenaient la psychologie des foules. Au moins sait-on que l'actuel ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rald Darmanin, comme le prĂ©cĂ©dent Christophe Castaner, ainsi que le prĂ©fet Didier Lallement, ne sont pas Ă  la hauteur d'un instructeur de gendarmerie de 1840. Je cite ce passage juste pour le plaisir . Mon allergie notoire Ă  l'uniforme m'interdit de faire un commentaire sur la question sous peine de passer sous cortisone. Sans renoncer aux protections, cette tenue doit se montrer plus rĂ©versible, notamment par une surveste aux couleurs classiques masquant tous les Ă©quipements et impliquer, pour la gendarmerie, des gendarmes en tenue de service courant. Le noir des tenues ne devrait-il pas ĂȘtre laissĂ© aux blacks blocs et aux Ninja ? » Jean-RĂ©gis VĂ©chambre continue ainsi , L’emploi des gaz, s’ils ne tuent ni ne blessent, montre aujourd’hui son impuissance dans les situations d’imbrication. Il est sans effet sur les contestataires Ă©quipĂ©s et, comme la tenue, est devenu amplificateur de dĂ©sordre, il gĂšne la manƓuvre et l’identification des casseurs par les nuages qu’il provoque. Sans renoncer Ă  cette capacitĂ©, il est impĂ©ratif d’en limiter l’emploi au profit des fourgons pompes qui permettent l’individualisation, l’isolement et favorisent l’interpellation. Leur redĂ©ploiement en gendarmerie est indispensable. La question des moyens d’éclairage, inexistants aujourd’hui, comme celle de la dĂ©multiplication des capacitĂ©s de barriĂ©rages et d’amĂ©nagement du terrain se pose Ă©galement avec acuitĂ©. » La diffĂ©renciation serait rendue impossible par l'emploi des gaz lacrymogĂšne. Ce que je veux bien croire ayant, moi mĂȘme visionner, durant plusieurs heures de nombreuses vidĂ©os de plus ou moins bonnes qualitĂ©s. Le gĂ©nĂ©ral Jean-RĂ©gis VĂ©chambre continue par des considĂ©rations sur la prise des vidĂ©os les camĂ©ras piĂ©tons » sont insuffisantes, il faut du personnel formĂ© Ă  la prise d'image – jour et nuit – qui pourront traiter des images de plusieurs provenances hĂ©licoptĂšres, drones, vidĂ©o protection, tĂ©lĂ©vision, rĂ©seaux sociaux 
 Ces capacitĂ©s permettraient de prĂ©venir les critiques du dĂ©fenseur des droits Ă  l’encontre de la judiciarisation du MO, au travers des communiquĂ©s sur le nombre d’interpellations. Ce qui compte en effet, n’est pas le nombre d’interpellĂ©s mais la capacitĂ© de la force publique Ă  prĂ©senter Ă  la justice, dans le temps le plus proche de l’action, les seuls auteurs identifiĂ©s d’infractions pĂ©nales. » explique-t-il. Or, le nombre d'interpellĂ©s lors d'une manifestation est, surtout, un outil de communication pour le gouvernement. Aujourd'hui, ce n'est pas uniquement le dĂ©fenseur des droits qui souligne l'importance de ces arrestations arbitraires mais bon nombre de mĂ©dias et de journalistes qui font le suivi judiciaire de ces interpellĂ©s. Lors d'une premiĂšre lecture, j'avais trouvĂ© ce texte et le raisonnement inachevĂ© comme si cet imminent auteur se retenait d'aller jusqu'au bout de sa pensĂ©e. En deuxiĂšme lecture, j'ai Ă©tĂ© stupĂ©faite par, non pas la qualitĂ© du raisonnement – bien que l'on pourrait l'ĂȘtre au vu des lectures que je vous ai prĂ©sentĂ© sous la forme de tracts – mais parce que, finalement, il explique la mĂȘme chose que moi. Certes, il nous prĂ©sente aussi quelques prĂ©cisions purement gendarmesques. Mais tout le monde ne peut pas faire de la Maçonne » ! L'auteur de ce texte est le gĂ©nĂ©ral d’armĂ©e 2S Jean-RĂ©gis VĂ©chambre, qui fut ancien inspecteur gĂ©nĂ©ral des armĂ©es-gendarmerie, - jusque lĂ  ne me demandez pas ce que cela signifie mais je sais avoir quelques spĂ©cialistes parmi mon lectorat – Il a Ă©tĂ© associĂ© comme expert aux travaux sur le schĂ©ma national du maintien de l’ordre, c'est-Ă -dire le SNMO que je vous ai prĂ©sentĂ© dans un prĂ©cĂ©dent article. Il est, par ailleurs, membre du Haut conseil du livre blanc sur la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure. Il prĂ©side la sociĂ©tĂ© nationale de l’histoire et du patrimoine de la gendarmerie – SociĂ©tĂ© des amis du musĂ©e de la gendarmerie. Quant Ă  l'usage du LBD, on peut lire dans un article signĂ© par Bertrand Pauvert, maĂźtre de confĂ©rences HDR en droit public Ă  l’UniversitĂ© de Haute-Alsace – c'est-Ă -dire un universitaire, ceci Il faut toutefois rappeler que les moyens de dispersion, type AFI, privilĂ©giĂ©s par les unitĂ©s spĂ©cialisĂ©es sont les grenades et non le LBD. Ce dernier ne doit pas ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un moyen de dispersion mais comme un moyen de faire cesser les comportements dangereux et d’interpeller. Si un comportement n’est pas dangereux, il n’y pas de raison d’employer le LBD pour interpeller, du moins pas en situation de MO, du fait du principe de proportionnalitĂ© et de nĂ©cessitĂ©. DĂšs lors, les polĂ©miques nĂ©es du grand nombre de blessĂ©s lors des manifestations et du recours exagĂ©rĂ© aux LBD rĂ©vĂšlent surtout le problĂšme de la participation au MO/RO d’unitĂ©s non formĂ©es Ă  ces missions bien particuliĂšres. La question n’est donc pas celle de la nĂ©cessitĂ© de recourir aux AFI dans la gestion des manifestations mais bien celle de l’aptitude Ă  les utiliser. » Ce passage souhaitant rappeler un usage normal du LBD veut renvoyer aussi la faute Ă  des policiers non-formĂ©s. Or, comme les procĂšs n'auront jamais lieu, on ne connaĂźtra pas le niveau de formation des auteurs de ces blessures dans la plupart des cas. Toutefois, je doute fort qu'elle soit toujours du fait d'un manque de formation du personnel. Comme il le signale lui-mĂȘme, l'usage des LBD est remis en cause depuis 2013. Le LBD n'est pas une arme de maintien de l'ordre. Le LBD ne disperse pas, il abat. L'utiliser dans ce cadre est vouloir abattre des manifestants. Il s'agit d'une arme d'interpellation, remplaçant d'ailleurs l'arme Ă  feu traditionnelle, dans un face Ă  face » entre un individu dangereux ou plusieurs et les forces de l'ordre. L'usage du LBD dans une foule consiste prosaĂŻquement Ă  tirer au hasard et donc blesser au hasard des manifestants qu'ils soient dangereux ou non. Or, actuellement, pour la totalitĂ© des manifestations, les LBD sont utilisĂ©es au petit bonheur la malchance en tant que arme de dispersion sans que les manifestants reprĂ©sentent un quelconque danger et sans que les forces de l'ordre n'interpellent d'ailleurs celles et ceux qui ont Ă©tĂ© touchĂ©s – et l'ont Ă©tĂ© sans trop de dommages corporels montrant ainsi que les manifestants touchĂ©s ne sont pas dangereux et donc amenĂ©s Ă  ĂȘtre interpellĂ©s. Les LBD ne sont pas utilisĂ©s uniquement dans lors des manifestations protestataires d'ailleurs. Lors de la fĂȘte de la musique en 2019 Ă  Nantes, il y a eut des charges policiĂšres, nassage, gazage et tirs de LBD. Cela sur un public de jeunes, certainement avinĂ©s. 14 personnes sont tombĂ©es Ă  l'eau et on dĂ©nombre un mort Steve. Le SNMO de Darmanin ne prĂ©voit pas la suppression des LBD en maintien de l'ordre. Il prĂ©voit le mĂȘme usage, avec une camĂ©ra piĂ©ton en sus et un superviseur qui existe dĂ©jĂ  sous une autre forme. Les consignes d'utilisation sont d'ailleurs les mĂȘmes. Un article pouvant faire office d'un souhait de connaĂźtre les manifestants est, quant Ă  lui, signĂ© par CĂ©dric Michel traitant de l'ultra-gauche ». Ainsi, explique-t-il Sous l’angle historique et symbolique, la subversion violente puise sa source dans la tradition insurrectionnelle idĂ©ologique française, remontant Ă  la rĂ©volution de 1789. En 1871, la Commune de Paris, malgrĂ© un triste bilan estimĂ© selon les sources de 13 000 Ă  25 000 morts, tient Ă©galement la part belle dans l’imaginaire collectif de l’ultra-gauche radicale. » En rĂ©alitĂ©, la Commune fut bien un mouvement d'une gauche radicale appelĂ©e aujourd'hui ultra-gauche » et qui Ă©tait appelĂ© anarchiste ». Il ne s'agit pas, Ă  ce titre, d'un fantasme. Je ne crois pas que ce valeureux gendarme aurait aimĂ© dĂ©jeuner avec une Louise Michel, condamnĂ©e au bagne, ou encore moins avec une Madeleine Pelletier lire mon article sur cette grande dame ici. S'il y a un article sur l'ultra-gauche », il n'existe pas son pendant sur l'ultra-droite » et les mouvements nĂ©o-nazis et racistes du type gĂ©nĂ©rations identitaires ». Ces derniers ne se contentent pas – malheureusement – de libĂ©rer des poulets ou de squatter un champ. Trois gendarmes on Ă©tĂ© tuĂ©s par un survivaliste, sur-armĂ©. MichaĂ«l DI MEO Colonel de gendarmerie, dans son article ayant pour sujet les outils du maintien de l'ordre, explique Le maintien Ă  distance de l’adversaire est l’un des grands principes du maintien de l’ordre Ă  la française mĂȘme si le contact est parfois incontournable. La Gendarmerie dispose de barriĂšres rĂ©tractables associĂ©es Ă  un camion tactique qui une fois dĂ©ployĂ©es, instaurent un Ă©cran protecteur entre la foule et les forces de l’ordre. » Si la gradation de la force est un concept parfaitement maĂźtrisĂ© pour la gendarmerie, celui de la dĂ©sescalade reste embryonnaire. La dissociation des Ă©lĂ©ments perturbateurs du reste de la foule et la lĂ©gitimation de l’action des forces de l’ordre exigent un effort de communication Ă  l’adresse des manifestants durant la phase de conduite de la manoeuvre. Cette communication tactique » doit s’appuyer sur des Ă©quipes de terrain formĂ©es au dialogue et Ă  la mise en Ɠuvre de nouveaux outils de diffusion de messages tels que des vĂ©hicules sonorisĂ©s et Ă©quipĂ©s de panneaux LED, des portevoix hyper-puissants et un systĂšme de transmission de SMS Ă  destination de tous les mobiles prĂ©sents sur une aire gĂ©ographique dĂ©terminĂ©e. Le chantier n’est pour le moment qu’à l’état de rĂ©flexion. » PrivĂ©s de moyens matĂ©riels, humains, de formations, du fait d'un dĂ©sintĂ©rĂȘt durant de nombreuses annĂ©es de la part des politiques et de leurs pseudo-conseillers, les manifestations de ces derniĂšres annĂ©es les Gilets Jaunes sont souvent citĂ©s ont, semble-t-il, permis que les forces de l'ordre, dont la Gendarmerie, bĂ©nĂ©ficient d'un regain d'intĂ©rĂȘt du cĂŽtĂ© des politiques. Je vais poser la question qui fĂąche. A la lecture de cette revue, pourquoi les principaux principes prĂ©sentĂ©s n'ont pas Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rĂ©s au lieu de la sorte de purĂ©e sĂ©curitaire dĂ©crite dans le SNMO ? La suite dans un prochain et dernier article. Note Les vidĂ©os des forces de l'ordre existent dĂ©jĂ  les drones ont Ă©tĂ© utilisĂ©s alors qu'interdits par le Conseil d'Etat encore lors de la manifestation du 12 dĂ©cembre 2020, les parcours des manifestations qui se dĂ©cident avec les prĂ©fectures sont jalonnĂ©s de vidĂ©os fixes. Personne ne conteste l'usage de camĂ©ras piĂ©tons » par les forces de l'ordre Ă  part plusieurs gouvernements qui les promettent sans jamais vraiment les fournir. Ainsi, la prise d'image par les forces de l'ordre n'est pas, en soi, un problĂšme dans une certaine limite de la lĂ©galitĂ© dont les drones, par exemple. Ce qui inquiĂšte, par contre, les français est la manipulation des images par les forces de l'ordre, l'IGPN, la prĂ©fecture de police, et de maniĂšre gĂ©nĂ©rale l'Etat. C'est une histoire de confiance entre les citoyens et l'Etat. L'affaire Michel Zecler montre une rĂ©alitĂ© bien sordide. AprĂšs avoir tabassĂ© sans motif Michel Zecler, appelĂ© d'autres policiers Ă  la rescousse, envoyĂ© une grenade Ă  l'intĂ©rieur d'un local privĂ© ce qui est interdit, continuĂ© Ă  tabasser le mĂȘme Michel Zecler sous les yeux de toute une population de policiers, soit tout un commissariat, arrĂȘtĂ© des jeunes, les tabassant au passage, prĂ©sents dans les locaux, cela sans motif non plus, les policiers ont fait de fausses dĂ©clarations dans leur procĂšs verbaux d'intervention. Cela le plus naturellement du monde. Ce ne sont pas ces policiers qui passent devant les tribunaux, mais Michel Zecler accusĂ© par ces mĂȘmes policiers. Ils ignoraient qu'ils avaient Ă©tĂ© filmĂ©s par une vidĂ©o situĂ©e dans le local de Michel Zecler. Sans cette vidĂ©o, cet homme aurait Ă©tĂ©, trĂšs certainement, condamnĂ©. D'ailleurs, il ne faut pas chercher trĂšs loin dans le temps pour comprendre que la manipulation des vidĂ©os par le pouvoir public est, dĂ©jĂ , une rĂ©alitĂ©. L'ElysĂ©e – un des plus proches conseillers du PrĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron – avait diffusĂ© deux vidĂ©os trompeuses, sur les rĂ©seaux sociaux et sur un compte anonyme, afin de disculper Benalla. Il a fait un montage en utilisant une vidĂ©o obtenue illĂ©galement et en utilisant une vidĂ©o qui n'avait rien Ă  voir avec les faits montrant un jeune homme courir avec une chaise aprĂšs les forces de l'ordre – Un montage mensonger, donc, diffusĂ© par l'ElysĂ©e sur les rĂ©seaux sociaux en utilisant un compte anonyme. Dernier exemple, une vidĂ©o-surveillance montre plusieurs personnes arrĂȘtĂ© par trois vĂ©hicules et un homme tirĂ© Ă  travers la vitre du conducteur. Ces hommes qui arrĂȘtent un vĂ©hicule et tirent avec une arme Ă  feu sont des policiers qui non seulement ne se signalent pas, pas de gyrophares, pas de brassards, mais aussi ne font aucune sommation avant de tirer deux fois. Ceux, ainsi, agressĂ©s sont accusĂ©s du vol d'un sac Ă  main !. Il s'avĂ©rera trĂšs vite qu'il s'agit simplement de jeunes qui souhaitaient faire un tour en ville et qu'ils n'ont rien Ă  voir avec ce vol. La vidĂ©o-surveillance existe et, grĂące Ă  elle, le comportement violent et dĂ©lictueux de ces policiers ne fait aucun doute. Le jeune conducteur Paul a Ă©tĂ©, par la suite tabassĂ© et arrĂȘtĂ© luxation d'une Ă©paule alors qu'il Ă©tait dĂ©jĂ  traumatisĂ© par les deux tirs du policier. Il a Ă©tĂ© accusĂ© de violences sur les forces de l'ordre par arme Ă  destination. Pris au piĂšge par plusieurs vĂ©hicules qu'il n'a pas identifiĂ© comme des vĂ©hicules de police, il a fait une marche arriĂšre sans voir qu'un autre vĂ©hicule, aussi non identifiĂ©; lui bouclait le passage. Il a fallu une annĂ©e Ă  la dĂ©fense de Paul pour obtenir les images de cette vidĂ©o-surveillance et autant de temps pour obtenir la relaxe du jeune conducteur. Les policiers ne sont pas suspendus, malgrĂ© la vidĂ©o surveillance et une enquĂȘte de l'IGPN. A l'Ă©poque, le jour des faits soit le 30 avril 2019, le Point faisait un compte-rendu de cette interpellation musclĂ©e faisant du conducteur et des passagers des criminels en puissance reprenant le rĂ©cit des policiers, faite bien que l'existence de cette vidĂ©o-surveillance Ă©tait connue Les voleurs, au volant d'un Duster, ont rapidement Ă©tĂ© repĂ©rĂ©s par les forces de l'ordre. Plusieurs brigades anti-criminalitĂ© ont alors convergĂ© vers le lieu du dĂ©lit. PiĂ©gĂ©, le conducteur a, selon une source policiĂšre, tentĂ© une marche arriĂšre pour se dĂ©gager sans prĂ©caution pour les gardiens de la paix qui se trouvaient sur sa route. Il a percutĂ© un vĂ©hicule de police. » La prĂ©somption d'innocence n'est pas vraiment leur truc. En novembre 2020, la prĂ©fecture de police, couvrant les faits, avait dĂ©clarĂ© Ă  MĂ©diapart que "le parquet a conclu Ă  la lĂ©gitime dĂ©fense". Ce qui Ă©tait, Ă  l'Ă©poque, complĂštement mensonger. Quelques jours plus tard, la mĂȘme prĂ©fecture de police expliquait Ă  MĂ©diapart " La prĂ©fecture de police nous a recontactĂ©s le 28 novembre, jour des Marches pour les libertĂ©s, lĂ©gitimant cette fois l’absence de suspension des policiers par la complexitĂ© juridique de cette affaire"" Le policier, qui a tirĂ© deux fois sur des jeunes qui n'avaient rien fait, cela sans sommation et sans s'identifier, n'est pas suspendu et se promĂšne un flingue Ă  la ceinture prĂȘt Ă  tirer sur tout ce qui bouge. L'absence de vidĂ©o-surveillance arrange les pouvoirs publics, qui sautent Ă  chaque occasion pour planquer ou mentir lorsque l'une d'entre elle ne corrobore pas leurs rĂ©cits. LĂ , c'est tout un systĂšme qui s'entraĂźne Ă  couvrir des bavures et des violences de policiers. LĂ  encore, ce sont les français qui sont trahis. Note 2 Si la Commune est un fantasme, il se chante. Voici un ancien article sur les chansons de la Commune dont une de Louise Michel. Voici ma contribution personnelle au MusĂ©e de la Gendarmerie et qui n'est pas la cĂ©lĂšbre chanson Ă  laquelle vous pensez toutes et tous. Trouvezles fournisseurs de produits technique Ă  valeur ajoutĂ©e et recevez des devis comparatifs; Agroalimentaire. BĂątiment. Electricit Ă© Ă©lectronique. Environnement. Equipements Services. Industrie. Informatique Multimedia. Logistique Distribution. Sciences SantĂ©. Textile Habillement Loisirs. CETTE PAGE N'EXISTE PLUS. Secteurs. BĂątiment - travaux publics (56774004
Domaines IntĂ©rieurDate de signature 17/09/2020 Date de mise en ligne 28/09/2020 MinistĂšres dĂ©posants INT - IntĂ©rieurRÉSUMÉSchĂ©ma national du maintien de l'ordreNOMBRE D'ANNEXES0 annexesNOR INTK2023917JAUTEURM. le ministre de l'intĂ©rieurDESTINATAIRESMonsieur le prĂ©fet de police ; Mesdames et Messieurs les prĂ©fets de dĂ©partement ; Monsieur le prĂ©fet de police des Bouches-du-RhĂŽne ; Monsieur le prĂ©fet, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre de l'intĂ©rieur ; Monsieur le directeur gĂ©nĂ©ral de la police nationale ; Monsieur le gĂ©nĂ©ral d'armĂ©e, directeur gĂ©nĂ©ral de la gendarmerie nationaleSIGNATAIREM. GĂ©rald DARMANINCATÉGORIEMise en Ɠuvre des rĂ©formes et des politiques publiques comportant des objectifs ou un calendrier d’exĂ©cutionTYPEInstruction aux service dĂ©concentrĂ©s ouiInstruction du Gouvernement ouiMOTS CLEFSSĂ©curitĂ©Retourner en haut de la page
anciencasque de police maintien de l'ordre - Casques militaires (8677649) - Achat et vente de matĂ©riel et d'objets neufs ou d'occasion de chasse et de pĂȘche - Recherche avancĂ©e. Tous nos univers Rechercher. Chasse. Tout l'univers de la Chasse -
RĂ©sultat Casque de maintien de l'ordre de CRS Police... - Lot 353 - MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres Nevers Lot n° 353 Lot n° 353 Estimation 30 - 50 EUR Casque de maintien de l'ordre de CRS Police... - Lot 353 - MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres Nevers Casque de maintien de l'ordre de CRS Police Nationale circa 1968. H_18 cm L_26,5 cm Informations sur la vente - CERAMIQUES, FRANC MACONNERIE ET AUTRES COLLECTIONS Vente CollectionsCĂ©ramiques, franc-maçonnerie, compagnonnage, instruments de musique et autres collectionsSamedi 8 fĂ©vrier Ă  14h30HĂŽtel Mercure Nevers Pont de Loire, Quai de MĂ©dine58000 NeversExpositions publiques vendredi 7 fĂ©vrier de 15h00 Ă  18h00samedi 8 fĂ©vrier de 10h00 Ă  12h00 Conditions de vente - CERAMIQUES, FRANC MACONNERIE ET AUTRES COLLECTIONS Vente Ă  Nevers 58000, HĂŽtel Mercure Nevers Pont de Loire, Quai de des lots sur place ou au bureau 7 place Saint-Laurent 58000 NEVERS Ă  partir du mardi 11 conditions gĂ©nĂ©rales de la vente et tout ce qui s’y rapporte sont rĂ©gis uniquement par le droit français. Le fait de participer Ă  la prĂ©sente vente aux enchĂšres publiques implique que tous les acheteurs ou leurs mandataires, acceptent et adhĂ©rent Ă  toutes les conditions ci-aprĂšs Ă©noncĂ©es. La vente est faite au comptant et conduite en euros. La loi française seule rĂ©git l’ensemble des relations contractuelles entre les ET GARANTIESLes indications figurant au catalogue sont Ă©tablies par MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres et l’expert, sous rĂ©serve des rectifications, notifications et dĂ©clarations annoncĂ©es au moment de la prĂ©sentation du lot et portĂ©es au procĂšs-verbal de la dimensions, couleurs des reproductions et informations sur l’état des oeuvres et objets sont fournies Ă  titre indicatif. L’absence d’indications relatives Ă  un incident, un accident, une restauration ou une mesure conservatoire affectant un lot n’indique pas que l’oeuvre ou l’objet en soit les lots sont vendus dans l’état oĂč ils se trouvent au moment de leur adjudication avec leurs possibles dĂ©fauts et rĂ©clamation ne sera admise une fois l’adjudication prononcĂ©e, une exposition prĂ©alable ayant permis aux acquĂ©reurs l’examen des oeuvres rapport de condition sur l’état de conservation pourra ĂȘtre communiquĂ© gracieusement sur demande. La responsabilitĂ© de MĂ©tayer Maison de ventes aux enchĂšres ou de l’expert de la vente, ne saurait ĂȘtre engagĂ©e relativement Ă  un dĂ©faut qu’un examen attentif de l’objet n’aurait pu dĂ©celer, et qui aurait nĂ©cessitĂ© des moyens techniques non habituels – radiographie, dĂ©montage
 cas de contestation au moment de l’adjudication, s’il est Ă©tabli que deux ou plusieurs enchĂ©risseurs ont simultanĂ©ment portĂ© une enchĂšre Ă©quivalente, et rĂ©clament en mĂȘme temps l’adjudication du lot pour leur compte, aprĂšs le prononcĂ© du mot adjugĂ©, le dit lot sera remis en adjudication au prix proposĂ© par les enchĂ©risseurs et tout le public prĂ©sent sera admis Ă  enchĂ©rir de DE LA VENTELes enchĂšres sont portĂ©es librement en salle, par tĂ©lĂ©phone ou sur internet. L’inscription prĂ©alable Ă  la vente est obligatoire sur les plateformes Drouot Digital et Pour certaines ventes, MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres se rĂ©serve le droit de demander des garanties bancaires aux potentiels acheteurs avant la commissaire-priseur garde l’entiĂšre maĂźtrise de la vente. Lui seul dĂ©cide de la mise Ă  prix, de l’ordre de prĂ©sentation des lots et du pas d’ ENCHÈRES TÉLÉPHONIQUES ET INTERNETLa prise en compte et l’exĂ©cution des enchĂšres tĂ©lĂ©phoniques et internet est un service gracieux rendu par MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres. À ce titre, la sociĂ©tĂ© n’assumera aucune responsabilitĂ© si la liaison tĂ©lĂ©phonique ou internet est interrompue, n’est pas Ă©tablie ou tardive. MĂ©tayer Maison de Ventes aux enchĂšres n’assumera aucune responsabilitĂ© en cas d’inexĂ©cution au titre d’erreurs ou d’omissions en relation avec les ordres tĂ©lĂ©phoniques. Le seul click de formulation d’enchĂšre via Ă©tablit une enchĂšre au mĂȘme titre que si elle Ă©tait portĂ©e dans la salle de vente. En aucun cas, l’évocation d’une erreur ou d’une mauvaise manipulation ne pourrait soustraire l’acquĂ©reur via internet Ă  son obligation de rĂ©gler les sommes dues. Les enchĂšres portĂ©es par l’intermĂ©diaire des plateformes partenaires que sont Drouot Digital et qui ne seraient pas honorĂ©es par l’adjudicataire, peuvent donner lieu, suite Ă  un prĂ©avis de l’enchĂ©risseur, au blocage de son compte Drouot Digital ou jusqu’à complet paiement du À LA CHARGE DE L’ACHETEURL’acheteur paiera Ă  MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres, en sus du prix d’adjudication ou prix au marteau, une commission d’adjudication de 22 % TEMPORAIRELes acquĂ©reurs des lots indiquĂ©s par * devront s’acquitter, en sus des frais de vente, de la TVA 5,5 % des droits et des taxes pour importation SORTIE DU TERRITOIRE FRANÇAISLa sortie d’un objet ou d’une oeuvre du territoire français peut ĂȘtre sujette Ă  une autorisation du document concernĂ© ne relĂšve que de la responsabilitĂ© du bĂ©nĂ©ficiaire de l’adjudication du lot concernĂ© par cette retard ou le refus de dĂ©livrance par l’administration des documents de sortie du territoire, ne justifiera ni l’annulation de la vente, ni un retard de rĂšglement, ni une MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres est sollicitĂ©e par l’acheteur ou son reprĂ©sentant, pour faire ces demandes de sortie du territoire, l’ensemble des frais engagĂ©s sera Ă  la charge totale du demandeur. Cette opĂ©ration ne sera qu’un service rendu par MĂ©tayer Maison de Ventes aux APRÈS LA VENTELa TVA collectĂ©e au titre des frais de vente ou celle collectĂ©e au titre d’une importation temporaire du lot, peut ĂȘtre remboursĂ©e Ă  l’adjudicataire dans les dĂ©lais lĂ©gaux sur prĂ©sentation des documents qui justifient l’exportation du lot D’ARMES La vente d'armes est soumise Ă  la prĂ©sentation par l'adjudicataire d'un agrĂ©ment propre Ă  la catĂ©gorie PROTEGEES Les espĂšces protĂ©gĂ©es au titre de la CITES sont soumises Ă  l'obtention d'un certificat Ă  la charge de l’ DE SUITELe paiement du droit de suite, prĂ©vu Ă  l’article L 122-8 du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, est Ă  la charge du DE L’ÉTAT FRANÇAISL’État français dispose, dans certains cas dĂ©finis par la loi, d’un droit de prĂ©emption des oeuvres vendues aux enchĂšres ce cas, l’État français se substitue au dernier enchĂ©risseur sous rĂ©serve que la dĂ©claration de prĂ©emption formulĂ©e par le reprĂ©sentant de l’Etat dans la salle de vente, soit confirmĂ©e dans un dĂ©lai de quinze jours Ă  compter de la DES ENCHÉRISSEURSEn portant une enchĂšre sur un lot, les enchĂ©risseurs assument la responsabilitĂ© personnelle de rĂ©gler le prix d’adjudication de ce lot, augmentĂ© de la commission d’adjudication et de tous droits ou taxes exigibles. Les enchĂ©risseurs sont rĂ©putĂ©s agir en leur nom et pour leur propre compte, sauf convention contraire prĂ©alable Ă  la vente et passĂ©e par Ă©crit avec MĂ©tayer Maison de Ventes aux DE PAIEMENTConformĂ©ment Ă  l’article 14 de la loi n°2000-642 du 10 juillet 2000, Ă  dĂ©faut de paiement par l’adjudicataire, aprĂšs mise en demeure restĂ©e infructueuse, le bien est remis en vente Ă  la demande du vendeur sur rĂ©itĂ©ration des enchĂšres de l’adjudicataire dĂ©faillant; si le vendeur ne formule pas cette demande dans un dĂ©lai d’un mois Ă  compter de l’adjudication, la vente est rĂ©solue de plein droit, sans prĂ©judice de dommages et intĂ©rĂȘts dus par l’adjudicataire dĂ©faillant MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres se rĂ©serve le droit de rĂ©clamer Ă  l’adjudicataire dĂ©faillant - des intĂ©rĂȘts au taux lĂ©gal - des frais forfaitaires de recouvrement, correspondant Ă  10% du prix d’adjudication, avec un minimum de 250 euros - le paiement du prix d’adjudication ou - la diffĂ©rence entre ce prix et le prix d’adjudication en cas de revente s’il est infĂ©rieur, ainsi que les coĂ»ts gĂ©nĂ©rĂ©s pour les nouvelles enchĂšres - la diffĂ©rence entre ce prix et le prix d’adjudication sur rĂ©itĂ©ration des enchĂšres s’il est infĂ©rieur, ainsi que les coĂ»ts gĂ©nĂ©rĂ©s pour les nouvelles Maison de Ventes aux EnchĂšres se rĂ©serve Ă©galement le droit de procĂ©der Ă  toute compensation avec les sommes dues par l’adjudicataire dĂ©faillant ou Ă  encaisser les chĂšques de caution si, dans les 2 mois aprĂšs la vente, les bordereaux ne sont toujours pas DES ACHATS, ASSURANCE, MAGASINAGE ET TRANSPORTMĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres ne remettra les lots vendus Ă  l’adjudicataire qu’aprĂšs encaissement de l’intĂ©gralitĂ© du prix global. Il appartient Ă  l’adjudicataire de faire assurer les lots dĂšs leur adjudication puisque dĂšs ce moment, les risques de perte, vol, dĂ©gradations ou autres sont sous son entiĂšre responsabilitĂ©. MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres dĂ©cline toute responsabilitĂ© quant aux dommages eux-mĂȘmes ou Ă  la dĂ©faillance de l’adjudicataire de couvrir les risques contre ces lots acquis lors des ventes devront ĂȘtre rĂ©glĂ©s et retirĂ©s sur place, pendant la vente et aprĂšs la manutention et le magasinage n’engagent pas la responsabilitĂ© de MĂ©tayer Maison de Ventes aux Maison de Ventes aux EnchĂšres n’est pas responsable de la charge des transports aprĂšs la elle accepte de s’occuper du transport Ă  titre exceptionnel, sa responsabilitĂ© ne pourra ĂȘtre mise en cause en cas de perte, de vol ou d’ INTELLECTUELLELa vente d’un lot n’emporte pas cession des droits de reproduction ou de reprĂ©sentation dont il constitue le cas Ă©chĂ©ant le support matĂ©riel. MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres est propriĂ©taire du droit de reproduction de son catalogue. Toute reproduction de celui-ci est interdite et constitue une contrefaçon. L’OVV dispose d’une autorisation pour la reproduction des oeuvres proposĂ©es Ă  la vente, et non tombĂ©es dans le domaine public. En l’absence d’autorisation, toute reproduction de ces oeuvres expose son auteur Ă  des poursuites en contrefaçon par le titulaire du droit d’auteur des oeuvres ainsi PERSONNELLESLes donnĂ©es personnelles recueillies par MĂ©tayer Maison de Ventes aux EnchĂšres sont traitĂ©es dans le respect du RGPD et utilisĂ©es uniquement Ă  des fins permettant l’exercice normal du processus de vente aux DES LITIGES L'action en responsabilitĂ© contre l'OVV et l'expert se prescrit par cinq ans Ă  compter de l'adjudication ou de la prisĂ©e. L’adjudicataire peut saisir le commissaire du gouvernement, mandatĂ© auprĂšs du Conseil des Ventes Volontaires de meubles aux enchĂšres publiques pour le rĂšglement amiable d’un L’OVV MĂ©tayer Maison de Ventes est soumis au respect des bonnes pratiques prescrites par le Recueil des Obligations DĂ©ontologiques des opĂ©rateurs de ventes volontaires approuvĂ© par arrĂȘtĂ© du 21 fĂ©vrier DU PRIX GLOBALMĂ©tayer Maison de Ventes aux rappelle que la vente aux enchĂšres publiques est faite au comptant et que l’adjudicataire devra immĂ©diatement s’acquitter du rĂšglement total de ses rĂšglement pourra ĂȘtre effectuĂ© - en espĂšces dans la limite de 1 000 euros rĂ©sidents français- en espĂšces dans la limite de 15 000 euros rĂ©sidents Ă©trangers- par chĂšque bancaire ou postal avec prĂ©sentation obligatoire d’une piĂšce d’identitĂ© en cours de validitĂ© les chĂšques Ă©trangers ne sont pas acceptĂ©s- par carte bancaire Visa ou Master Card- par virement bancaire en euros aux coordonnĂ©es suivantes COORDONNÉES BANCAIRES BNP PARIBASAgence Centrale 1 boulevard Haussmann,75009 ParisRIB 30004 02550 00010173808 36IBAN FR 76 3000 4025 5000 0101 7380 836BIC BNPAFR PPPOP Mes ordres d'achat Informations sur la vente Conditions de vente Retourner au catalogue
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Guillaume Biet, Ă©ditĂ© par Pauline Rouquette 06h41, le 08 janvier 2021, modifiĂ© Ă  09h24, le 08 janvier 2021 INFO EUROPE 1La police s’apprĂȘte Ă  crĂ©er une unitĂ© d’élite nationale pour rĂ©tablir l’ordre en cas de violences urbaines, selon les informations d'Europe 1. Cette "Force d’Appui Rapide" FAR composĂ©e de 200 CRS spĂ©cialement formĂ©s et Ă©quipĂ©s pourrait ĂȘtre dĂ©ployĂ©e Ă  toute heure en cas de troubles graves et n’importe oĂč en France, comme l’an dernier Ă  Dijon, par CRS, en alerte 7/7 et 24/24L’idĂ©e de la direction est d’en faire une unitĂ© spĂ©ciale qui pourrait intervenir partout en urgence pour rĂ©tablir l’ordre, comme le RAID pour les forcenĂ©s et terroristes, ou comme le font, Ă  l’échelon dĂ©partemental, les compagnies d’intervention de la sĂ©curitĂ© publique CDI. Pour cela, l’actuelle compagnie de CRS numĂ©ro 8, basĂ©e Ă  BiĂšvres, en rĂ©gion parisienne, va ĂȘtre complĂštement transformĂ©e. Au total, la Force d’appui rapide comptera 200 CRS, divisĂ©s en deux groupes. Chacun sera en alerte pendant sept jours d’affilĂ©s, 24/24h, et prĂȘt Ă  partir en 15 nos informations, cette force sera dotĂ©e de moyens spĂ©ciaux un nouvel uniforme anti-feu, un casque plus lĂ©ger, pas de grands fourgons, mais des 4x4 rapides pouvant franchir des barricades. Ces futurs "super-CRS" toucheraient aussi une prime spĂ©cifique diffĂ©rente du systĂšme actuel. En effet, ils ne feraient que des missions courtes de deux ou trois jours maximum, laissant ensuite place Ă  d'autres renforts. La mise en place est envisagĂ©e d’ici Ă  l’étĂ© chez certaines sources policiĂšresLes actuels policiers de la compagnie de CRS 8 doivent se prononcer avant la fin janvier pour dire s’ils postulent dans cette nouvelle future unitĂ©, ou s’ils demandent leur mutation vers une autre compagnie de CRS. Les volontaires pour la FAR devront alors passer une sĂ©rie de tests pour mesurer leurs aptitudes. Dans un second temps, des unitĂ©s identiques pourraient ĂȘtre installĂ©es dans chacune des grandes directions zonales de la police sur le par Europe 1, plusieurs sources policiĂšres semblent dubitatives sur cette "Force d’Appui Rapide". En effet, certaines se demandent si ces troupes n’arriveront pas aprĂšs la bataille si elles doivent traverser la France pour aller rĂ©tablir l’ordre loin de leur base et quelle logistique d’hĂ©bergement, de nourriture sera mise en place pour tous ces CRS qui seraient soudainement projetĂ©s sans anticipation. Autant de points qui restent pour l’instant sans rĂ©ponse.
CASQUESMAINTIEN DE L'ORDRE. CASQUE MAINTIEN DE L’ORDRE. MO12. Casque avec calotte extĂ©rieure en polycarbonate. ‱ Ecran relevable en polycarbonate Ă©paisseur 3mm ‱ Joint d’étanchĂ©itĂ© au sommet de l’écran ‱ Barre mĂ©tallique de renfort en haut de l’écran ‱ ProtĂšge nuque pare-coups en PVC de 13cm dĂ©tachable, fixĂ© sur protĂšge-nuque rigide Ă  l’arriĂšre du

DerriĂšre les visiĂšres des casques, les regards affichent concentration, dĂ©termination et parfois un peu de panique sous une pluie d'insultes et de projectiles, dans la fumĂ©e et les dĂ©tonations des grenades, les Ă©lĂšves de la police apprennent les rudiments du maintien de l' est prĂ©vu de longue date mais intervient Ă  un moment sensible moins de deux semaines auparavant, le jeune militant Ă©cologiste RĂ©mi Fraisse a Ă©tĂ© tuĂ© Ă  Sivens par une grenade offensive de la Gendarmerie nationale. Pas moins de 521 Ă©lĂšves, commissaires stagiaires, apprentis officiers et Ă©lĂšves gardiens de la paix sont rĂ©unis Ă  l'Ecole nationale supĂ©rieure de police ENSP de NĂźmes pour Ă©prouver de 08H00 Ă  23H00 les violences urbaines». A Sivens et Notre-Dame-des-Landes - des zones rurales dĂ©pendant de la gendarmerie - ou dans les citĂ©s sensibles - zones urbaines dĂ©pendant de la police -, le profil des adversaires est le mĂȘme de petits groupes violents et trĂšs mobiles. Rares sont les policiers qui acceptent de commenter la mort de RĂ©mi Fraisse. Le facteur malchance», estime laconiquement un des formateurs en assurant que cet Ă©vĂ©nement n'a absolument pas» changĂ© les mĂ©thodes des forces de l'ordre. Ce sont des situations compliquĂ©es», Ă©lude Charlotte, 30 ans, commissaire stagiaire qui a passĂ© cinq ans dans les situations compliquĂ©es» sont au programme des 15 heures d'exercices allant de la protection des pompiers agressĂ©s en pleine intervention Ă  l'exfiltration d'agents d'une brigade anti-criminalitĂ© BAC sĂ©questrĂ©s dans un hall d'immeuble ou encore Ă  l'intervention de nuit lors d'une rixe entre bandes. Capuche sur la tĂȘte ou le visage masquĂ© par des Ă©charpes, une partie des Ă©lĂšves - les plastrons» - jouent le rĂŽle des assaillants et harcĂšlent, verbalement puis physiquement, leurs camarades.En fonction de leur comportement, ça peut dĂ©gĂ©nĂ©rer», explique LĂ©onard, futur commissaire de 26 ans placĂ© dans le camp des agresseurs. S'ils arrivent casquĂ©s, avec la matraque au cĂŽtĂ©, on a pour instruction d'aller les chercher alors que s'ils font un contrĂŽle en tenue de voie publique, ça doit bien se passer».En tenue complĂšte casque, bouclier, tonfa, flashball..., leurs collĂšgues essuient des pluies d'insultes, de projectiles - des bouteilles en plastique remplies d'eau - et de coups de pied. Les assauts incessants, orchestrĂ©s de toutes parts par les formateurs, les mettent Ă  rude 'Les grenades, au sol!' -Perles de sueur au front, les trinĂŽmes policiers se tiennent par l'Ă©paule, pour Ă©viter de se retrouver isolé», explique GrĂ©goire, apprenti gardien de la paix de 35 eux, talkie-walkie en main, des Ă©lĂšves officiers ajustent la tactique aux imprĂ©visibles mouvements adverses, ordonnent les charges - les bonds offensifs» - et les tirs de grenade d'exercice qui ne projettent que du plĂątre ou de la aux gendarmes mobiles, les policiers assurent ne pas recourir aux grenades offensives, l'arme soupçonnĂ©e d'avoir provoquĂ© la mort de RĂ©mi Fraisse. Mais l'usage d'autres types de grenades est incontournable.Quand un petit groupe isolĂ© est accaparĂ©, il peut se dĂ©sengager avec des grenades de dĂ©sencerclement. Quand il y a une esplanade dĂ©gagĂ©e, on peut aussi utiliser des grenades lacrymogĂšnes pour combler un cĂŽtĂ© et se concentrer sur l'autre», explique les exercices, les encadrants rappellent quelques rĂšgles Les grenades, au sol!», Ne lance pas toute ton Ă©quipe Ă  la charge, ndlr, n'envoie qu'une partie», Surveillez les points hauts!»...Les sourires sont jouissifs chez les assaillants. CĂŽtĂ© policier, la nervositĂ© croĂźt au fil de la journĂ©e avec la fatigue et le stress.Et lĂ  encore, c'est un peu +un jeu+ les agresseurs sont des collĂšgues et les projectiles sont inoffensifs. Mais dans quelques mois, les projectiles seront plus dangereux et les agresseurs plus violents», souligne GrĂ©goire. On est excitĂ©s mais il y a aussi un petit arriĂšre goĂ»t d'apprĂ©hension de ce qui nous attend dans la rĂ©alitĂ©.»

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